La Presse Pontissalienne 145 - Novembre 2011

Le mensuel d'informations sur Pontarlier et le Haut-Doubs

2, 20 €

Mensuel d’information des cantons de Montbenoît, Mouthe, Levier, Pontarlier, Vercel et du Jura voisin NOVEMBRE 2011 N° 145

IMMOBILIER LE HAUT-DOUBS TOUJOURS AU TOP

LE DOSSIER en p. 19 à 26

MÉTABIEF p. 29 Le bras de fer judiciaire La communauté de communes Mont d’Or-Deux lacs est prête à aller en justice pour récupérer une partie des sommes versées à la société Orex-Loisirs.

PONTARLIER p. 6 à 8 Subventions : les associations qui touchent le plus

Rédaction : “Les Éditions de la Presse Pontissalienne” - B.P. 83 143 - 1, rue de la Brasserie - 25503 MORTEAU CEDEX - Tél. 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 - redaction@groupe-publipresse.com

L’INTERVIEW DU MOIS

La Presse Pontissalienne n° 145 - Novembre 2011

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Éditorial

LE PRÉFET DU DOUBS L’État et le Haut-Doubs Christian Decharrière : “L’intérêt d’une voie verte n’est pas discutable”

Locomotive On l’a dit dans notre précédente édi- tion, la primaire socialiste était une formidable idée, celle que le citoyen attendait pour se réconcilier avec la politique. Plus qu’une bonne idée, elle a été aussi un magnifique succès popu- laire, quoi que s’en soient autoper- suadé certains barons de la droite qui ont fait preuve en l’espèce d’une mau- vaise foi crasse. Seulement, malgré l’engouement de toute la gauche pour ce rendez-vous démocratique qui a eu le mérite de bousculer les institutions poussiéreuses de la V ème République, paradoxalement, cette primaire socia- liste n’aura peut-être pas l’effet escomp- té et que les partisans de la gauche étaient en droit d’espérer : le chan- gement. Cette primaire a été rem- portée par un homme, François Hol- lande, dont on ne peut pas dire qu’il soit un jeune espoir de la gauche réfor- miste. Qu’en est-il de ce souffle de gauche dans le Haut-Doubs ? Si on analyse de près les résultats de ce ter- ritoire, on s’apercevra que la partici- pation a été moins forte que dans le reste du département. Et même si on suppute aussi que la sociologie du Haut-Doubs est en train d’évoluer - les nouveaux arrivants, frontaliers notamment, seraient plus à gauche qu’à droite -, encore faudrait-il, pour que ce territoire bascule à gauche, un vrai leader en mesure de contester en juin 2012 le candidat de droite Jean- Marie Binétruy s’il brigue un troisiè- me mandat de député, ou Annie Gene- vard si M. Binétruy décide de lui laisser la place au dernier moment comme on peut déjà l’entendre ici ou là. Le problème éternel de la gauche locale est qu’elle n’a pas de locomotive. Un Gilles Robert, maire du Russey, aurait certainement le bon profil pour ras- sembler. Il ne souhaite pas se lancer dans la bataille des législatives. Alors qui ? Les Pontissaliens Liliane Lucchesi, Christian Bouday ? Non. Si la gauche progresse sans doute dans le Haut- Doubs - on le constate sur les derniers scrutins - elle ne bousculera jamais la droite tant qu’elle ne sera pas incar- née par un vrai pilote. On peut sans doute affirmer que même si la droite perd le pouvoir au niveau national en mai 2012 (ce qui est loin d’être joué), elle a encore une sérieuse longueur d’avance sur la gauche dans le Haut- Doubs, ce territoire qui aime laisser du temps au temps… est éditée par “Les Éditions de la Presse Pontissalienne”- 1, rue de la Brasserie B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 E-mail : redaction@groupe-publipresse.com Directeur de la publication : Thomas COMTE Directeur de la rédaction : Jean-François HAUSER Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction : Frédéric Cartaud, Édouard Choulet, Thomas Comte, Jean-François Hauser. Agence publicitaire : S.A.R.L. BMD - Tél. : 03 81 80 72 85 François ROUYER - Portable : 06 70 10 90 04 Imprimé à I.P.S. - ISSN : 1623-7641 Dépôt légal : Novembre 2011 Commission paritaire : 1102I80130 Jean-François Hauser

Le préfet Christian

Decharrière estime que les projets routiers seront forcément contraints par

la situation budgétaire de l’État.

Le préfet du Doubs commente les principaux sujets d’actualité qui concernent le Haut-Doubs, des questions de sécurité routière aux relations transfrontalières, en pas- sant par la voie verte. Interview. L a Presse Pontissalienne : À votre arrivée dans le Doubs en décembre dernier, vous avez fait de la sécurité - routière notamment - une de vos priori- tés. L’accidentologie inquiétante ces dernières semaines est un constat d’échec à la politique de l’État en la matière ? Christian Decharrière : Nous avions eu un “bon” pre- mier semestre avec 16 tués à déplorer. Et depuis fin juin, la situation s’est dégradée avec 18 nou- veaux tués en trois mois à peine. Le problème, c’est que ces accidents ont toujours la même cause : la vitesse et l’alcool. Il s’agit bien du comportement de chacun. Plusieurs des jeunes qui par exemple se sont tués encore récemment dans le Haut-Doubs roulaient “comme des fous”, c’est cela qu’il faut changer impérativement. L.P.P. : La politique répressive liée aux radars s’avère donc inefficace ? C.D. : Non, au contraire. Depuis leur mise en place en 2002, les radars ont prouvé leur utilité. Les radars, ce n’est d’ailleurs pas que de la répression. Et nous continuerons à en installer. Nous en avons installé 16 dans le Doubs. D’ici la fin de l’année, 6 nouveaux radars-sanctions seront installés dans le Doubs, dont 2 dans le Haut-Doubs (nous précise- rons leur emplacement en temps voulu). Ils seront tous précédés de radars pédagogiques. Car contrai- rement à ce que certains affirment, le but des radars n’est pas que l’État s’en mette plein les poches. D’ailleurs, les collectivités locales en bénéficient aussi. Mais il faut bien que les gens se mettent dans la tête que les radars sont faits pour encourager des comportements respectueux des règles de cir- culation. Les radars ont eu un effet clair en matiè- re de préservation des vies humaines. C’est de la pédagogie positive.

L.P.P. : D’autres, à l’image du C.O.D.A.R.F. présidée par Patrick Genre, réclament une amélioration de la desserte routière. Le contournement de Pontarlier a-t-il une chance de voir se réaliser un jour ? C.D. : Premièrement, il faut d’abord avoir en tête que la question des finances publiques est un sujet d’actualité tout à fait palpable en ce moment. C’est une toile de fond dont il faut tenir compte. Le P.D.M.I. (plan de modernisation des itinéraires) 2009-2014 a fixé des priorités pour l’ensemble de la région Franche-Comté. Pour le Haut-Doubs, nous avons inscrit une étude d’opportunité sur le contourne- ment de Pontarlier et j’ai demandé à obtenir les crédits d’études sur le budget 2012. On fera donc avancer ce dossier pour voir quelles sont les solu- tions financièrement possibles. Quant aux autres sujets (déviation des Tavins, travaux à la Main…), ils ne seront pas examinés avant le prochain P.D.M.I. en 2014. L.P.P. :Vous avez récemment donné votre accord au projet de voie verte autour du lac de Saint-Point et ce, malgré les nom- breuses oppositions. Pourquoi ? C.D. : Mon rôle est de faire du droit, pas de l’opportunité. Et sur le plan du droit, il y a eu une commission d’enquête avec trois commissaires-enquêteurs indé- pendants, qui a donné un avis unanimement favo-

L.P.P. : La pollution récurrente de la Loue ou du Doubs fran- co-suisse est un autre sujet de préoccupation dans le Haut- Doubs. Que fait l’État dans ce dossier ? C.D. : Il y a eu en effet sur ces cours d’eau des mor- talités de poissons. On sait qu’il y a des soucis de cyanobactéries. C’est pourquoi l’État a mandaté une douzaine d’experts qui sont en train de tra- vailler sur les sources de ces pollutions. Les résul- tats seront connus début 2012 mais on sait déjà que cette pollution est multi-factorielle : elle dépend du débit, des obstacles le long des rivières, du réchauf- fement climatique… Et surtout pas d’un facteur exclusif qui serait l’agriculture. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faille pas progresser sur le plan agri- cole avec une meilleure gestion des épandages par exemple. La profession agricole a engagé la réflexion. Il faut aussi regarder du côté des collectivités locales et la façon dont elles traitent les effluents, il faut voir avec le monde industriel concernant le traite- ment du bois. C’est un plan d’action très large que nous avons engagé et qui donnera ses résultats dès l’année prochaine. L.P.P. : Les communautés de communes ont jusqu’au 31 décembre pour organiser leur rapprochement. Y a-t-il encore des points de friction ? C.D. : Nous sommes là dans une logique de dialogue et de coproduction. Nous n’imposerons rien, nous suggérons. Par exemple, les présidents des deux com- munautés de communesMont d’Or-Deux lacs et Lar- mont sont d’accord sur le principe de se regrouper car cette zone peut être un vrai pôle de développe- ment touristique. Il faut supprimer les incohérences comme par exemple la commune de Longeville qui est la seule du canton d’Ornans à être rattachée à la communauté de communes d’Amancey. L.P.P. : Un mot sur les accords bilatéraux entre l’Union euro- péenne et la Suisse. La Suisse ne reverse plus les cotisations chômage à la France depuis 2009 quand un frontalier est licencié et c’est l’assurance-chômage française qui paye. Est-ce normal ? C.D. : C’est une décision au minimum discutable. 25 000 frontaliers vont chaque jour travailler en Suisse. Il y a clairement un trou dans le dispositif. Il faudrait que l’on puisse rapidement décliner les nouvelles règles européennes qui permettraient de revenir à une situation plus logique. Propos recueillis par J.-F.H.

rable à la voie verte, avec deux réserves et recommandations. Vous constaterez que j’ai pris le temps d’analyser ce dossier à fond, je me suis même rendu plusieurs fois sur place discrètement. La vitesse et la sécurité autour de plusieurs alter- nats étaient deux sujets majeurs, j’ai voulu avoir des avis d’experts. C’est pourquoi j’ai consulté le centre d’étude technique des équipements (C.E.T.E.) de Nancy qui a suggéré de supprimer les alternats 8 et 9 et de réduire l’alternat 1. J’ai deman- dé au président du Conseil général de le faire. Au vu de tout cela, j’ai donné mon feu vert. L’intérêt d’une voie verte n’est pas discutable sur le développement du tourisme. Je ne voyais aucune raison juridique légitime pour ne pas délivrer cette déclaration d’utilité publique.

“Les radars ont prouvé leur utilité.”

Crédits photos : La Presse Pontissalienne, Paul Chevallier, Virgnie Faivre-Rampant, ` Philippe Parriaux.

RETOUR SUR INFO

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Voie Verte : le Conseil général veut continuer à dialoguer

L’actualité bouge, les dossiers évoluent. La Presse Pontissalienne revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”.

L e 5 octobre, le préfet Chris- tian Decharrière a décla- ré d’utilité publique la voie verte du lac de Saint-Point. Le Conseil général du Doubs qui porte le projet peut donc conti- nuer de le faire avancer. 2012

sera une année de concerta- tion avec les maires impliqués dans le dossier. “Nous allons avec eux, mesurer l’impact sur leur territoire communal de la voie verte, et préparer sa mise en conception détaillée” explique

Claude Jeannerot, président du Conseil général du Doubs. Dis- cussion également avec les agri- culteurs qui pestent contre cet- te voie verte car elle empiète sur les exploitations agricoles. “Ils doivent aussi trouver leur comp- te. La voie verte peut être un gisement de développement important pour eux, en terme d’agrotourisme par exemple” dit-il. Discussion enfin avec les propriétaires fonciers, “même si l’atteinte à la propriété est mince.” Pas question pour le Conseil général de passer en force. La collectivité souhaite

aller au-devant des conflits éven- tuels pour les désamorcer en dialoguant. “Le but n’est pas de faire avaler le projet mais de l’ajuster au fur et à mesure qu’il avancera” poursuit le président Jeannerot. L’enjeu pour le Département est d’éviter un recours au tribunal administratif qui viendrait retar- der ce projet de 15 millions d’euros T.T.C. Si le calendrier suit le cours prévu, les travaux de construction de la voie ver- te débuteront en 2012 pour une livraison de l’infrastructure en 2016.

Législatives : Liliane Lucchesi

candidate à la candidature

prématuré. “N’y a-t-il pas une élection pré- sidentielle avant ?” souffle-t-elle avec iro- nie. En juin 2012, les citoyens de la cinquième circonscription vont en effet choisir un nou- veau député, poste actuellement occupé par Jean-Marie Binétruy (U.M.P.) réélu dès le premier tour en 2007, en battant Chris- tian Bouday, actuel conseiller général du canton de Pontarlier. Jean-Marie Binétruy avait rassemblé 54,93%des suffrages prou- vant au passage que la 5 ème circonscription est enracinée à droite. Ce n’est pas cette difficulté qui a motivé Gilles Robert de ne pas se porter candidat : “La cinquième cir- conscription est peut-être réputée difficile mais rien n’est immuable en politique. Il y a un contexte national et une équation per- sonnelle, dit-il. Mon rôle de conseiller géné-

ral prend beaucoup de temps et je dois encore faire mes preuves sur le terrain. J’ai suffisamment à faire pour le canton.” Sa non-candidature laisse donc le champ libre à la Pontissalienne Liliane Lucchesi (P.S.) sachant que Christian Bouday ne se présentera pas. “Madame Lucchesi peut porter la gauche sur notre secteur, pense Christian Bouday. Il est nécessaire que le P.S. respecte la parité et le non-cumul des mandats. La gauche a remporté trois can- tons. Sera-t-il suffisant pour remporter cet- te cinquième circonscription réputée diffi- cile ? J’en doute…” dit-il. Une chose est certaine, le P.S. local se met en ordre de marche pour contrecarrer les plans de l’U.M.P. qui n’est plus en terrain conquis. Le candi- dat ou la candidate de la gauche sera choi- si(e) en décembre.

D ansunecinquièmecirconscription répu- tée difficile,LilianeLucchesipourrait por- ter lesvaleursduP.S.lorsdesprochaines législativessuiteàlanon-candidaturedeGilles Robert(LeRussey).Éludeterrain,GillesRobert estlepremierhommepolitiqueàavoirfait bas- culer le canton du Russey à gauche. C’était il y a six mois, preuve que le Haut-Doubs n’est plus une chasse gardée de la droite. Le mai- re du Russey à qui nous avons demandé s’il serait candidat aux législatives répond très franchement àmoinsdeseptmoisdu rendez- vous : “Je ne serai pas de ce combat-là” annonce-t-il après avoir mûrement réfléchi. Le champ est libre pour Liliane Lucchesi. “Je serai candidate à la candidature mais c’est aux socialistes de décider” dit l’opposante municipale de Pontarlier, sur- prise de ce questionnement qu’elle juge

Les travaux de construction de la voie verte doivent débuter en 2013. Elle sera opérationnelle en2016.

Celtivales 2011 : Nolwenn apporte le succès

A près une édition 2010 en demi- teinte - Jacques Higelin était pour- tant la tête d’affiche -, le festival celtique de Pierrefontaine-les- Varans a retrouvé toutes ses couleurs cette année avec la venue attendue de Nolwenn Leroy. Un public nombreux (1 800 personnes), parfois un peu fri- leux au goût de la chanteuse, et pour le moins éclectique (de la jeune fan de 10 ans au senior local) a chanté au rythme de la fée bretonne. Au total, plus de 4 000 personnes ont fait le déplacement cette année à Pierrefontaine sur les deux week-ends de fête. De quoi largement équilibrer le budget de cette édition 2011 qui avoisine les 70 000 euros. Voilà quin-

ze ans que les Celtivales sont organi- sées par un noyau de bénévoles réunis au sein de l’association Mélibée dont l’objectif est de “d’amener la culture en milieu rural et de la rendre accessible à tout le monde.” Ils sont parfois là depuis le début de l’aventure, à l’image par exemple de Laurent Barbier, Jean-Noël Perrin, Olivier Humbert l’actuel président ou encore Jean- René Vacheresse. “Nous sommes une tren- taine à l’année à préparer l’édition suivan- te et le jour J, plus de 150 bénévoles sont mobilisés” note Laurent Barbier. Les Celti- vales continuent à réussir ce pari incongru (mais historiquement justifiable) : faire souf- fler un vent de “celtitude” au cœur du Haut- Doubs.

La chanteuse bretonne a

conquis 1 800 “celtivaliers”.

PONTARLIER

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ÉCONOMIE Une réduction d’activité Dernier trimestre

au ralenti chez Armstrong Les effets de la rigueur se répercutent dans l’activité du fabricant de plafonds pontissalien contraint à des arrêts de production prolongés. Inquiétudes.

C haque fléchissement de l’économie donne la migraine à Armstrong qui évolue sur des marchés étroitement liés aux secteurs du bâtiment et de la construction. En 2009, la produc- tion de plafonds sur le site de Pon- tarlier avait chuté de 30 %. Cette réduction des carnets de commandes avait entraîné un plan social au printemps 2010. Avec 11 licencie- ments liés à la fermeture du servi- ce commercial transféré à Prague et la suppression d’une des 5 équipes

l’activité plafond, le budget 2012 prévoit un volume de production supplémentaire d’1 million de m2, ce qui conduira à un taux d’occupation du site de 90 % contre 82 % seulement en 2011. Le groupe a investi plus de 2,3millions d’euros en 2011 à Pontarlier et projette une enveloppe de 3,2 millions d’euros en 2012 avec des pistes de développe- ment aussi bien pour l’activité lai- ne minérale que pour la production de plafonds suspendus” , annonce André Boisier. De quoi se rassurer. Le délégué C.G.T. s’inquiète aussi des choix stratégiques susceptibles d’être pris dans la gestion du grou- pe Armstrong World Industries. “Une partie du capital appartient à Texas Pacific Group qui gère des fonds de pension. Ces gens-là ont plutôt l’habitude de raisonner sur des bases financières. Ils veulent des résultats. On vient d’apprendre que la note d’Armstrong a été déclassée par des agences. Cela aura une inci- dence sur la gestion du groupe et les choix stratégiques. C’est très, très inquiétant” termine le représentant syndical..

le sont en léger recul. La France, 40 % de l’activité, résiste mieux ain- si que les pays d’Europe centrale et du Sud. “L’activité sur l’Afrique et le Moyen-Orient aura toutefois été la principale cause de cette baisse globale d’activité. Les événements politiques dans cette région ont mené à une quasi-interruption des com- mandes, faute d’interlocuteurs au sein des administrations locales” , poursuit le directeur. Pendant les périodes de réduction d’activité, le personnel se verra pro- poser des formations. Certains effec- tuent déjà des opérations d’entretien habituellement confiées à des sous- traitants extérieurs. La direction souhaite aussi lancer des groupes de travail en lien avec les objectifs d’amélioration continue de l’entreprise. Tous auront droit à de belles vacances de Noël, la période de fin d’année étant traditionnel- lement non travaillée. La petite satisfaction à signaler au bilan 2011 concerne l’activité de vente de laine de roche qui termi- nera l’année en progression de 20 % par rapport au budget avec des pers- pectives encourageantes dès l’année prochaine. “En ce qui concerne

prévisions établies pour 2011. Le site de Pontarlier subit une nou- velle fois les effets conjugués du ralentissement de la demande aus- si bien dans le neuf que dans la rénovation. La tension relative à la dette des États et les plans écono- miques qui en découlent freinent la reprise. Ce qui fait dire à Jean- Manuel Fernandez, délégué syndi- cal C.G.T. : “Les plans d’austérité, ce n'est pas bon pour nous.Avec nos plafonds un peu vieillissants, à par- tir du moment où l’on serre les bou-

de production. 2011 ne sera pas l’année de la repri- se même si la situation n’est pas aussi catastrophique. “La produc- tion de plafonds sera réduite par rapport au volume budgétisé d’environ 20 jours au total pour les mois d’octobre (2 jours), novembre (9 jours) et décembre (9 jours)” , annonce André Boisier, le directeur du site pontissalien. En production plafond, ce ralentissement du der- nier trimestre représentera une baisse de 10,68 % par rapport aux

Armstrong Pontarlier connaît des arrêts de production plus longs que prévu en cette fin d’année.

lons, on a encore plus de soucis que les autres. Sur Pontarlier, c’est clair, il y a un retard dans la straté- gie de diversification de la gamme et la fer- meture du service com- mercial n’arrange rien.” Armstrong ne subit pas la crise de façon homogène. C’est tant mieux. L’Espagne et l’Italie, marchés tra- ditionnels qui repré- sentent 20 % de l’activité commercia-

Le groupe prévoit pourtant d’investir

3,2 millions d’euros sur le site pontissalien en 2012.

F.C.

L’ÉVÉNEMENT

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1,4 MILLION D’EUROS DE SUBVENTIONS AUX ASSOCIATIONS

ARGENT PUBLIC La ville annonce un gel des subventions Avec 450 associations sur son territoire, la Ville de Pontarlier détient un record en la matière. Si toutes ne sont pas actives et ne réclament donc pas de subvention, la plupart animent au quotidien le Haut-Doubs et pour vivre, ont besoin de l’argent public. La politique pontissalienne en matière d’associations est plutôt ouverte : outre la mise à disposition gratuite des équipe- ments municipaux, c’est près d’1,5 million d’euros qui sont consacrés chaque année au tissu associatif local. Le point. (tableaux : source Ville de Pontarlier) 450 000 euros en logistique

“sport” de la Ville. Club le mieux sou- tenu l’an dernier : le C.A.P. foot et ses 33 638 euros de subvention. Côté cul- ture où les subventions sont “calcu- lées par rapport à la programmation à venir des associations” , ce sont les Amis du musée de Pontarlier qui s’en sortent le mieux avec 41 747 euros de subvention, suivis par l’Harmonie municipale et ses 32 766 euros obte- nus l’an dernier. Il y a aussi les sub- ventions liées au volet “communica- tion” avec les ambassadeurs sportifs de la ville par exemple. Ainsi le biath- lète Ferréol Cannard a-t-il reçu l’an dernier une subvention de 1 000 euros. Au-delà de cette enveloppe globale d’1,357 million, il convient pour être complet d’ajouter la somme de 1,250 million d’euros versés, égale- ment sous forme d’une subvention, au C.C.A.S. de Pontarlier. Nouveauté pour l’année prochaine : le dossier officiel de demande de sub- vention sera refondu notamment pour faciliter le travail des associations. Une mise à jour du guide des asso-

Sur ces 450 structures, entre 250 et 300 sont actives, et une bonne centai- ne très active. C’est-à-dire qu’elles organisent plus d’une manifestation par an, outre leur activité au quoti- dien. Et toutes sollicitent chaque année la Ville de Pontarlier pour obtenir une aide publique. La pêche aux subventions représente chaque année à Pontarlier la coquet- te somme d’1,357million d’euros (chiffre 2010). “Cette enveloppe correspond au soutien direct, financier, accordé aux subventions. Cela n’intègre pas tout le soutien logistique qui représente plus de 450 000 euros chaque année” explique Patrick Genre. Parmi cet appui logis- tique, une aide de taille : la mise à dis- position gratuite et systématique des équipements municipaux : espace Pour- ny, piscine, gymnase, salle de concert…, et tout le personnel municipal et le matériel qui va avec. “Il n’y a qu’une exception, pour la soirée du Nouvel-An espace Pourny, qui est une soirée com- merciale. Là, nous faisons payer.” C’est la “politique de la ville” qui man- ge le plus de subventions à Pontarlier (voir pages suivantes). Ces montants élevés s’expliquent notamment par le large soutien apporté par exemple aux structures de quartier. Exemple : la Maison de quartier des Pareuses a obtenu l’an dernier 120 708 euros de subvention, la plus grosse subvention de l’année. Loin devant la M.J.C. des Capucins et ses 56 001 euros. “Sans ces subventions de la ville, la plupart de ces associations ne pourraient pas continuer” pense le maire. Viennent ensuite le sport et la culture. Le sport est organisé autour des fameux “contrats d’objectifs” qui déterminent le montant des subventions aux résul- tats sportifs obtenus par les clubs. Et à côté de cela, chaque association spor- tive se voit dotée d’une subvention ordinaire de fonctionnement, propo- sée par l’O.M.S. (office municipal des sports) et validée par la commission

Parmi les mesures présentées récemment par la municipalité de Pontarlier, le gel des dépenses publiques, et notamment celles qui sont destinées au tissu associatif de la ville. Quelle est la règle ?

A ssociations, il va falloir vous y faire : le temps de la rigueur a sonné. Discuté lors du débat d’orientations budgétaires en conseil municipal le 26 octobre, le bud- get 2012 à Pontarlier sera celui de l’austérité. Et comme la municipalité a décidé de geler les dépenses de fonc- tionnement de la ville (gel des dépenses liées à l’énergie, baisse de la masse salariale par mutualisation à terme avec la C.C.L…) et… augmentation de

la fiscalité locale (les taux passeraient de 2 à 4 %), le reste suivra. Dans ce climat de contraintes, le maire deman- de donc au monde associatif de “par- ticiper à cet effort.” Conséquence, l’enveloppe globale dévolue aux sub- ventions sera gelée en 2012. Pas un euro de plus. “Ce qui ne signifie pas que certaines associations ne peuvent pas prétendre avoir plus que cette année” tempère Patrick Genre, le maire de Pontarlier. Au sein de chaque com-

mission, l’enveloppe qui lui est attri- buée peut en effet être ventilée diffé- remment, et s’il y a un reliquat parce telle ou telle association n’organise rien de particulier et ne réclame rien, il pourra également être redistribué à d’autres. En résumé, malgré ce gel des subventions, certaines pourront avoir plus, mais au cas par cas.” Sur le sol pontissalien, plus de 450 associations sont répertoriées. Un record pour une ville de cette taille.

ciations sera également réalisée. Enfin, toujours en 2012, un forum des associations sera orga- nisé et revisité par rap- port aux années précé- dentes. Et malgré, le gel des dépenses, le monde associatif continuera à être “soigné” à Pontar- lier. Le maire annonce notamment la premiè- re tranche des travaux d’équipements sportifs sur la plaine Pourny et la création d’une vraie maison des associations dans l’ancienne Segpa du lycée Xavier-Mar- mier où sont déjà ins- tallées une dizaine d’associations. J.-F.H.

Un nouveau forum des associations en 2012.

La Maison de quartier des Pareuses est la plus subventionnée des structures d’accueil à Pontarlier (photo archive L.P.P.).

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Toutes les subventions versées en 2010 Source : Ville de Pontarlier

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L’ÉVÉNEMENT

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Les 35 plus grosses subventions

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État civil d’octobre 2011

16/10/11 – Dylan de Florian TORREADRADO, opérateur et de Roxane POURRET, hôtesse de caisse. 16/10/11 – Pablo de Cédric FAILUTTI, mani- pulateur en radiologie et de Aurélie POUR- CHET, factrice. 16/10/11 – Grégory de Mickaël NICOD, tech- nicien et de Alexandra MINY, employée admi- nistrative. 16/10/11 – Lise de Adrien PRIEUR, technicien et de Virginie ROUXBEDAT, sage-femme. 18/10/11 – Myriam de Damien BOILLEY, ingé- nieur et de Isabelle SCELLIER, infirmière. 18/10/11 – Hugo de Thibault NONNOTTE, mécanicien et de Christelle PICCAMIGLIO, opératrice. 16/10/11 – Laurine de Thomas PELLEGRINI, ouvrier agricole et de Magali MAYA, édudiante. 19/10/11 – Naëlle de Francesco MODICA, magasinier vendeur et de Sandrine BLON- DEAU, coiffeuse. 13/10/11 – Angelina de Pascal FRANCISCO, plombier chauffagiste et de Delphine MINA- RY, sans profession. 12/10/11 – Adèle de Pierre BENOIT, agricul- teur et de Dorothée SALVI, ouvrière polyva- lente. 13/10/11 – Julian de Darim DJENET, respon- sable qualité horlogerie et de Karine PIGEARD, conseillère en vins 13/10/11 – Célia de Philippe JACQUET, arti- san et de Maryline COURGEY, ouvrière. 14/10/11 – Lily de Régis DEFRASNE, cadre commercial et de Sandrine BAILLY, consul- tante. 15/10/11 – Jules de Jean-Luc PARENT, ouvrier et de Angélique CUSSEY, ouvrière en horlo- gerie. 15/10/11 – Léo de Jean-Noël SCALABRINO, menuisier et de Marie DROZ-VINCENT, ostéo- pathe. 16/10/11 – Clarisse de Lionel HENRIET, pro- grammeur régleur en horlogerie et de Fanny HUMBERT, assistante maternelle. 14/10/2011 – Tiya de Yannick REQUENA, employé de restauration et de Léonie VER- NAY, sans profession. 16/10/11 – Saraléna de Frédéric THORENS, gendarme et de Alexandra DUSSEL, profes- seur des écoles spécialisées.

16/10/11 – Dylan de Florian TORREADRADO, opérateur et de Roxane POURRET, hôtesse de caisse. 16/10/11 – Pablo de Cédric FAILUTTI, mani- pulateur en radiologie et de Aurélie POUR- CHET, factrice. 16/10/11 – Grégory de Mickaël NICOD, tech- nicien et de Alexandra MINY, employée admi- nistrative. 16/10/11 – Lise de Adrien PRIEUR, technicien et de Virginie ROUXBEDAT, sage-femme. 18/10/11 – Myriam de Damien BOILLEY, ingé- nieur et de Isabelle SCELLIER, infirmière. 18/10/11 – Hugo de Thibault NONNOTTE, mécanicien et de Christelle PICCAMIGLIO, opératrice. 16/10/11 – Laurine de Thomas PELLEGRINI, ouvrier agricole et de Magali MAYA, édudiante. 19/10/11 – Naëlle de Francesco MODICA, magasinier vendeur et de Sandrine BLON- DEAU, coiffeuse. MARIAGES 08/10/11 - Eric BENCETTI, gendarme et Céci- le BOUCHER, employée commerciale. 08/10/11 - Admir MEHMEDINOVI Ć , mécani- cien et Emmanuelle WEINBERGER, sans pro- fession 22/10/11 – Mickael CHOPARD-DIT-JEAN, édu- cateur sportif et de Marie-Camille MAINY, pro- fesseur. 22/10/11 – Mickael CHOPARD-DIT-JEAN, édu- cateur sportif et de Marie-Camille MAINY, pro- fesseur. DÉCÈS 3/10/11 – Michel BRETAND, 69 ans, retraité, domicilié à La Planée (Doubs), époux de Marie HUMBERT. 03/10/11 – Gilles PAULIN, 57 ans, sans pro- fession, domicilié à Pontarlier (Doubs). 04/10/11 – Marcel VERLY, 93 ans, retraité Arm- strong, domicilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Denise FLUCHOT. 03/10/11 – Aimée MOCKLY, 96 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de André PATOZ. 06/10/11 – Camille CARREZ, 86 ans, retraité, domicilié à Remoray-Boujeons (Doubs), époux de Gisèle ROLOT.

06/10/11 – Salah SAOUDI, 71 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Henia SAOUDI. 07/10/11 – Juliette TROUTTET, 92 ans, retrai- tée, domiciliée à Pontarlier (Doubs) veuve de Maurice ROBBE. 08/10/11 – Jeannine FAIVRE, 82 ans, retrai- tée, domiciliée à La Rivière Drugeon (Doubs) veuve de Léon LORIOD. 10/10/11 – Raymond MIDROUILLET, 73 ans, retraité, domicilié à Morteau (Doubs) époux de Marie TASSETTI. 11/10/11 – Yves ANGUNOT, 64 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs). 12/10/11 – Jean EMMEL, 65 ans, retraité, domicilié à Morteau (Doubs). 14/10/11 – Gilles RAMSEYER, 62 ans, retrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs) époux de Claudine GUYON. 14/10/11 – Camille BOUTHER, 94 ans, retrai- té, domicilié à Bulle (Doubs) époux de Hen- riette TROUTTET. 14/10/11 – Albertine JOUFFROY, 89 ans, retrai- tée, domiciliée à Mouthe (Doubs) veuve de Louis LONCHAMPT. 17/10/11 – CARIOU Marcel, 90 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs) veuf de Jean- nine PAGNIER. 19/10/11 – Pierre BULLE, 85 ans, retraité employé de Mairie, domicilié à Chantrans (Doubs) veuf de Marie ROY. 18/10/11 – Raymond JEANGUIOT, 75 ans, retraité, domicilié à Malbuisson (Doubs) époux de Andreina CHIODO. 21/10/11 – Jean FERREUX, 67 ans, ensei- gnant retraité, domicilié à Les Longevilles Mont d'Or (Doubs), pacsé avec Liliane BERNE. 14/10/11 – Albertine JOUFFROY, 89 ans, retrai- tée, domiciliée à Mouthe (Doubs) veuve de Louis LONCHAMPT. 17/10/11 – CARIOU Marcel, 90 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs) veuf de Jean- nine PAGNIER. 19/10/11 – Pierre BULLE, 85 ans, retraité employé de Mairie, domicilié à Chantrans (Doubs) veuf de Marie ROY. 18/10/11 – Raymond JEANGUIOT, 75 ans, retraité, domicilié à Malbuisson (Doubs) époux de Andreina CHIODO. 21/10/11 – Jean FERREUX, 67 ans, ensei- gnant retraité, domicilié à Les Longevilles Mont d'Or (Doubs), pacsé avec Liliane BERNE.

NAISSANCES 29/09/11 – Lilian de Christophe COURLET, ouvrier et de Aurélie BELOT, secrétaire comp- table. 29/09/11 – Lenny de Yannick SCHROLL, chauf- feur routier et de Aurélie GUINCHARD, assis- tante commerciale. 30/09/11 – Antoine de Vincent PROST, ébé- niste et de Mélanie LENZI, infirmière. 30/09/11 – Ramazan-Ali de Hasan CINAR, peintre et de Ebru NAR, sans profession. 30/09/11 – Merve de Enver COSGUN, ouvrier et de Sükran CALIS, sans profession. 30/09/11 – Raphaël de Ugo FAYS, kinésithé- rapeute et de Julie BOLY, comptable. 01/10/11 – Ariel de Thierry DAL MAGRO, res- ponsable commercial et Lydie GRAND- VUILLEMIN, commerçante. 01/10/11 – Thalia de Ronald BOEFFARD, cadre industrie et de Brigitte RODRIGUES, inspec- teur qualité. 03/10/11 – Augustin de Mickaël MAUGAIN, artisan scieur et de Anne-Laure MARGUET, professeur des écoles. 03/10/11 – Maxens de Thomas ROBBE, agent d'exploitation et de Céline VIEILLE MARCHI- SET, sans profession. 03/10/11 – Léa de Pascal JEANNIN, exploi- tant agricole et de Laurence PAGNIER, sala- riée agricole. 03/10/11 – Théo de Jacques ISCH, cuisinier et de Sophie HAIART, assistante maternelle. 03/10/11 – Enora de Anthony GIRARDET, régleur et de Lucie CHOPARD, fleuriste. 04/10/11 – Tao de Emmanuel FRITSCH, ouvrier et de Emily MAIRE, magasinière. 04/10/11 – Lou de Emmanuel NICOD, dessi- nateur et de Nathalie BONNET, esthéticien- ne. 05/10/11 – Eliot de Damien BOBILLIER, inté- rimaire et de Hélène DIMPRE, sans profes- sion. 04/10/11 – Ajdin de Amer PRUSI, artisan fores- tier et de Enisa DZAFOVIC, sans profession. 04/10/11 – Lucie de Loïc DURIAUX, artisan et de Flavie GOGNIAT, sans profession.

05/10/11 – Louna de Sébastien BORRAZ, cui- sinier et de Coralie DUTHY, assistante de ges- tion. 05/10/11- Mathias de Johanne ROUSSILLON, menuisier et de Coralie GATOUNES, employée de commerce. 05/10/11 – Elif de Metin ÖZDEMIR, mécani- cien et de Leyla ELIBAL, sans profession. 06/10/11 – Nathan de Jérôme ALEX, agent territorial et de Aurélia GUINCHARD, secré- taire. 06/10/11 – Félix de Gaël MARANDIN, ambu- lancier et de Anne-Laure PARRIAUX, infir- mière. 06/10/11 – Edgar de Alexis BAUD, photo- graphe et de Marion BRUN, infirmière. 07/10/11 – Jérémie de Stéphane BERHAMEL, agent de sécurité et de Emilie CHOUMIL, ouvrière. 07/10/11 - Marylou de Yannick FARADON, chauffeur routier et de Delphine BRISEBARD, assistante qualité. 07/10/11 - Elena de Mickaël DA ROCHA, peintre en bâtiment et de Ana TENORIO DE OLIVEIRA, sans profession. 07/10/11 – Anna de Steve ROUSSEL-DELIF, décolleteur et de Aline BARTHOD, acheteu- se en horlogerie. 08/10/11 – Arthur de Vivien FUSIER, moniteur auto-école et de Céline GONCALVES, sans profession. 08/10/11 – Jeanne de Philippe CLAUDON, agent de maintenance et de Mireille BRE- TILLOT, sans profession. 08/10/11 – Emy de Cédric LECOULTRE, char- pentier menuisier et de Aurore BRIDE, secré- taire. 08/10/11 – Emine de Muhammet KARACA , maçon et de Suna CEYLAN, ouvrière. 08/10/11 – Florian de David BREDER, bou- langer et de Julie GRIFFITHS, sans profes- sion. 09/10/11 – Jonas de Audrey ROUGEOT, sans profession. 09/10/11 – Sofiane de Walid MOIADA, étu- diant et de Mélanie COURVOISIER, sans pro- fession.

10/10/11 – Eliott de Marc BÔLE-FEYSOT, tech- nicien en bureau d'études et de Elodie CHO- PARD-LALLIER, sans profession. 11/10/11 – Callie de Eddy CRESTA, électri- cien et de Mélitine MOREL, comptable. 09/10/11 – Owen de Marc LE BIAN, respon- sable qualité et de Claire-Marie PITON, infir- mière. 11/10/11 – Louise de Lionel BONNEFOY, régleur et de Christelle GRANCLÉMENT, sans profession. 11/10/11 – Stan de Romain CORNU, char- pentier et de Sarah MOUTARLIER, infirmière. 12/10/11 – Loumen, de Henri JEANMONNOT, opérateur en maroquinerie et de Jezabelle KUENZI, secrétaire médicale. 12/10/11 – Lenzo de Grégory DESVIGNES, gendarme et de Audrey MORENO, gendar- me. 13/10/11 – Angelina de Pascal FRANCISCO, plombier chauffagiste et de Delphine MINA- RY, sans profession. 12/10/11 – Adèle de Pierre BENOIT, agricul- teur et de Dorothée SALVI, ouvrière polyva- lente. 13/10/11 – Julian de Darim DJENET, respon- sable qualité horlogerie et de Karine PIGEARD, conseillère en vins 13/10/11 – Célia de Philippe JACQUET, arti- san et de Maryline COURGEY, ouvrière. 14/10/11 – Lily de Régis DEFRASNE, cadre commercial et de Sandrine BAILLY, consul- tante. 15/10/11 – Jules de Jean-Luc PARENT, ouvrier et de Angélique CUSSEY, ouvrière en horlo- gerie. 15/10/11 – Léo de Jean-Noël SCALABRINO, menuisier et de Marie DROZ-VINCENT, ostéo- pathe. 16/10/11 – Clarisse de Lionel HENRIET, pro- grammeur régleur en horlogerie et de Fanny HUMBERT, assistante maternelle. 14/10/2011 – Tiya de Yannick REQUENA, employé de restauration et de Léonie VER- NAY, sans profession. 16/10/11 – Saraléna de Frédéric THORENS, gendarme et de Alexandra DUSSEL, profes- seur des écoles spécialisées.

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La Presse Pontissalienne n° 145 - Novembre 2011

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EN BREF

ENGAGEMENT Le faucheur volontaire en procès 1 500 euros, le prix du silence pour François Mandil L’État a tenté d’acheter le Pontissalien pour qu’il stoppe les poursuites judiciaires. Condamné pour fauchage volontaire d’O.G.M., François Mandil avait refusé de se soumettre à un test A.D.N.

Les Fourgs Fort de ses 30 ans d’expérience, le Syndicat d’Initiative des Fourgs accueillera le Championnat d’Europe des courses de chiens de traîneau du 17 au 19 février 2012. À cette occasion, 200 attelages et 1 200 chiens seront présents sur le site pour disputer les courses. En marge des compétitions, de nombreuses animations grand public seront organisées : initiation à la conduite d’attelage, construction d’igloos, sculpture sur glace. Rens. 03 81 69 45 13. d’industrie du Doubs organise un stage de formation à la création d’entreprise, du 17 au 24 novembre dans ses locaux à Besançon. Thèmes abordés : le marché, la politique commerciale, la communication, les aspects financiers, comptables, juridiques Entreprise La chambre de commerce et

Le combat de François Mandil contre “le fichage A.D.N.” semble gêner l’autorité française. Procès au printemps.

“D es marchands de tapis.” Voilà comment François Mandil juge le comportement de l’État fran- çais qui a adressé à son avocat une lettre pour le moins équivoque. C’était à la mi- octobre. Dans celle-ci, l’État demande au Pontissalien de stopper les poursuites judiciaires en acceptant 1 500 euros.

j’ai hurlé de rire lorsque mon avocat (maître Randall Schwerdoffer) m’a annon- cé la nouvelle” dit après coup François Mandil qui n’a pas accepté ladite som- me. L’élu d’Europe Écologie-Les Verts n’a pas d’intérêt financier dans ce com- bat qu’il porte “par concours de cir- constances” , puisque sur les 100 fau- cheurs volontaires, seulement deux ont été condamnés. Le Franc-Comtois agit pour une cause. Non pour l’argent. Comment vit-il ces affaires judiciaires à répétition ? “Très bien” répond Man- dil qui se déclare être “fier” de mener ce combat contre le fichage, quitte à devoir payer de sa personne. En 2009, il avait été condamné à 60 jours amende à 7 euros (soir 420 euros) et 1 400 euros de dom- mages et intérêts à la société Monsan- to par la cour d’appel de Besançon puis par la cour de cassation. La solidarité de la Confédération paysanne et d’individuels lui a permis de régler ces frais. Il a engagé un recours près la Cour

déroulé à Nice pour protester contre le sommet qui réunit les 3 et 4 novembre les 20 chefs d’État des pays les plus riches à Cannes. En attendant le printemps et une éven- tuelle décision de justice, l’écologiste n’oublie pas son engagement local. Pro- chain combat du conseiller municipal : le vote du budget de la ville de Pontar- lier. Moins médiatique mais tout aussi important. E.Ch.

européenne des Droits de l’Homme (C.E.H.D.). Le Pontissalien est conscient que cette action visant à l’acheter n’est pas dénuée de tout sens sachant que “le procès pour- rait intervenir juste avant l’élection pré- sidentielle. Si la Cour européenne venait à condamner la France, ce serait un véri- table camouflet” annonce-t-il. Confiant, ce porteur d’idées poursuit le combat : il était présent le 1 er novembre au contre-sommet du G-20 qui s’est

Rappelons qu’une affai- re en justice transmise à la Cour européenne des droits de l’Homme l’oppose à la haute autorité dans le cadre d’un fauchage volontaire d’O.G.M. où l’élu vert avait refusé de se soustraire à un prélè- vement d’A.D.N. Il accu- se l’État de ficher la popu- lation alors que le prélèvement ne doit s’appliquer qu’aux terro- ristes ou délinquants sexuels. “Franchement,

Présent au contre-

sommet du G-20.

FINANCES PUBLIQUES Paradis fiscaux Avoir des garanties sur la provenance de l’argent Les élus verts demandent la transparence financière des partenaires bancaires lorsque la Ville emprunte. La majorité approuve cette idée mais ne veut pas d’un texte à la volée qui la priverait de fonds. L’ idée est d’Europe Écologie-Les Verts. Lorsque Pontarlier emprunte entre 1,5 et 1,8 million d’euros par an sur les marchés financiers pour assurer son fonctionnement, elle ne connaît pas la provenance de l’argent. Idem pour les particuliers. Vient-il d’un paradis fiscal ? Cette question reste sans réponse. Pour contractualiser les emprunts, le groupe Europe Écologie-Les Verts dirigé par François Mandil propose une motion visant à s’assurer de la trans- parence des partenaires bancaires ou financiers. L’idée paraît utopique. Elle n’a rien d’un quelconque “jackpot” politique : “Nous ne faisons pas cette motion pour nous faire plaisir politiquement, corrige d’emblée François Mandil. À nous de demander à l’organisme prêteur de s’engager sur la provenance des fonds” dit celui qui a appliqué ce principe à sa propre personne en choisissant sa banque. Patrick Genre et sa majorité vont plus loin que la motion. Le maire a demandé à ses services de travailler un texte juridique qui demanderait aux par- tenaires de s’assurer de la provenance des fonds “sans se priver de tout emprunt bancaire” prévient le maire de Pontarlier. Lorsque la ville a besoin de finance- ment, elle consulte toutes les banques “de la place.” Elle possède environ cinq partenaires. À Besançon, le groupe écologiste a tenté de faire adopter cette motion par le maire Jean-Louis Fousseret (P.S.) qui a refusé au motif qu’elle est inapplicable. La majorité pontissalienne (U.M.P.), elle, serait prête à voter “pour” dans un contexte où trouver un financement auprès des banques paraît difficile. D’autres collectivités ont - déjà - fait le choix de la transparence bancaire à l’instar de la région Île de France, de la communauté urbaine de Bordeaux… Elles deman- dent notamment aux banques de déclarer leurs filiales éventuelles implantées dans les territoires non-coopératifs définis par la loi de finances. Cette motion colle à l’actualité et au futur G-20 qui se tient à Nice le 4 novembre. La question des paradis fiscaux y sera largement évoquée. Suite à la crise ban- caire et financière qui a débuté en 2007 et mis en évidence les dérives du sys- tème financier international, le G20 - dont la France - s’est engagé dans la lut- te contre les paradis fiscaux. Ces pays et territoires proposent des conditions fiscales anormalement avantageuses à des opérateurs bancaires et financiers peu scrupuleux. 40 à 50 % de l’ensemble des flux financiers mondiaux transi- tent par ces “paradis fiscaux”, générant chaque année une perte de 125 mil- liards d’euros de recettes fiscales dans les pays en voie de développement, et de 10 à 20 milliards d’euros pour la France. Pontarlier, à son échelle, pourrait emboîter le pas. Réponse en décembre. E.Ch.

et sociaux. Coût : 120 euros. Rens. 03 81 25 25 25.

28 ANS, GERANT d’entreprise, dynamique, entreprenant, ne se prend pas la tête avec de faux problèmes, va au bout de ses objec- tifs ! Cél. Valeurs familiales importantes, respectueux, honnête, res- ponsable : autant de qualités qui vous promettent un avenir heureux à ses cotés !Vacances oui mais à deux,VTT natation, ski, s’intéresse aux actualités, reportages, économie… Veut une relation sérieuse, durable, fonder un foyer avec vous : 25/35 ans, CVD prof indif . fémi- nine, de la joie de vivre, valeurs morales, le feeling. Réf.P4407. 37 ANS,VEUT LAISSER du temps au temps, laisser les sentiments s’installer dans la relation.EMPLOYE, cél.Carré, regard bleu, le sourire d’un homme confiant. Sens de l’humour, bon public et…super gentil, câlin, tendre.Il aime son job, a des loisirs variés, voit ses neveux, sa fa- mille, fait du tourisme. Envie de fonder une famille avec vous : 38/40 ans, CVD, prof.indif., naturelle, équilibrée, préf.non fumeuse. Réf.P4408. 46 ANS, ALLURE JEUNE, look moderne, cheveux poivre et sel, yeux gris/bleu. EMPLOYE, div. Calme, posé, ouvert au dialogue, très à l’écoute, attache de l’importance aux valeurs morales et traditionnelles. Saura vous surprendre, vous séduire, week-ends imprévus, nature, sorties variées et vacances oui, mais à deux.Vous : 40/50 ans, CVD, prof.indif., féminine, aimant joies du foyer, profiter de la vie… Réf.P4409. 52 ANS, SAIT FAIRE la part des choses entre travail, famille et cœur… TRAVAILLEUR IND., div., gds enfts, prop. 1m80, brun, yeux bleus, tonique et séduisant ! Une passion pour l’histoire, conférences, expos, peinture, musique, poésie… Ex sportif de haut niveau, pratique ski de fond… nature, plein air. Education, esprit ouvert, n’aime pas la vulgarité.Vous : âge en rap., CVD, prof.indif., expressive, équilibrée, vie saine. Réf.P4410. 65 ANS, PAS FACILE de faire des rencontres quand on est un homme sérieux, un peu réservé et que l’on mène une vie plutôt calme et tran- quille ! RETRAITE veuf. Présentation soignée, grand, cheveux grison- nants, souriant, aimable, sociable.Honnête, du cœur, il est le compagnon attentionné et sincère que vous attendez ! Actif, ouvert, aimerait voyager, rencontrer, partager de bons moments avec vous : âge en rap. CVD prof indif féminine, caractère agréable, préf. non fumeuse. Réf.P4411. 71 ANS , OUVERT, sympathique, fait plus jeune que son âge, c’est dans un esprit positif qu’il envisage votre rencontre. RETRAITE, div. prop.Sourire aimable, posé, courtois, présentation agréable, châtain, des rires dans le regard. Thés dansants, bricolage++, balades, res- taurants, aimerait voyager à deux.Souffre de solitude affective et vous imagine :âge en rap.voire un peu plus jeune, CVD prof indif, naturelle, envie de partager une vie simple, un bonheur tranquille. Réf.P4412.

41 ANS, MODERNE, cheveux longs, silhouette féminine. COM- MERCANTE, div., 2 enfts qui grandissent. Veut laisser parler son cœur de femme tendre dans les bras d’un homme sincère.Sens de l’humour, positive, ne se prend pas la tête avec de faux problèmes. Vous : 35/50 ans, CVD, prof. indif., niv. en rap., posé, clair, rassu- rant. Enfts bienvs. Réf.P4401. 47 ANS, MINCE , élancée, jolis yeux bleus, belle féminité ! CADRE, cél.Séparée d'une UL, sans enfant.Anti-conflits, s'ouvre au dialogue, sait exprimer ses sentiments. Randos, montagne, voyages, privilégie une vie saine, quelques sorties.Vous : 45/50 ans, CVD, prof. indif. niv en rap, valeurs morales, sincère, sociable, enfts bienvs. Réf.P4402. 48 ANS, A LA FOIS CLASSE ET FANTAISIE… Une femme épa- tante au beau dynamisme et au bel équilibre. Mèches blondes, yeux verts, jolies formes, féminité actuelle :parait plus jeune ! EMPLOYEE, div., sans charges, prop.Centres d’intérêt variés, besoin d’être deux, d’être dynamisée, PARTAGER…Vous :un peu plus jeune., CVD, prof. indif., allure et esprit jeunes, décontracté, gds enfts bienvs. Réf.P4403 . 51 ANS , CHALEUREUSE ET POSITIVE, vous remonte le moral, vous donne envie d’y croire !EMPLOYEE, veuve enfts.adultes, les années passent, elle pense à un nouveau départ avec vous : âge en rap. jusqu’à 57 ans, CV prof. indif, esprit ouvert, hygiène de vie, valeurs morales.Un peu pulpeuse, coquette, souriante++.Balades, nature++, cocooning (prop. villa), ouverte à toutes sorties avec vous et partager un quotidien fait de tendresse et de confiance. Réf.P4404. 56 ANS,TEMPEREMENT SIMPLE, sympathique, elle a son franc- parler, n’aime pas l’hypocrisie, vous offre tendresse et affection sincère.Cheveux blonds, châtains très clairs, yeux verts, coquette, actu sans prof., veuve, sans charges, prop. villa. Souffre de soli- tude affective et veut tourner la page avec vous : la cinquantaine, CVD prof indif, présentation agréable mais surtout des valeurs hu- maines, ouvert au dialogue, vie saine. Réf.P4405. 65 ANS, UNE RETRAITE active et heureuse, elle est bien déci- dée à partager avec vous tous les petits bonheurs que la vie offre, pouvoir dialoguer, offrir affection en confiance! RETRAITEE, div., bonne santé, bon moral. Mince, élancée, charmante brune.Vous : 60/70 ans, CVD prof indif, pas trop casanier, sincère, affectueux, valeurs morales. Réf.P4406.

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