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Les trafics transfrontaliers de plus en plus nombreux. Avec 17 000 passages quo- tidiens de voitures, les postes-frontières de l’Arc jurassien n’ont jamais autant enregistré de pas- sages. Principale raison bien sûr : l’augmentation du travail frontalier. (page 4) Les médecins de garde réforment leur système d’appel. Désormais, où que l’on soit en Franche-Comté, pour obtenir un médecin de garde, il faudra composer le 39 66. C’est la fin du système traditionnel qui imposait aux médecins une pré- sence accrue. (page 6) Les Suisses consomment moins dans le Val de Morteau. La clientèle helvétique aurait de moins en moins intérêt à venir consommer dans les supermarchés français. Les consommateurs suisses sont repoussés par le cours de l’euro. (page 10) Sénatoriales : la droite tire les leçons de sa cuisante défaite.Après la forte pous- sée de la gauche, la défaite des candidats de droite et notamment d’Annie Genevard, a créé la surprise. La candidate malheureuse analyse l’échec de son camp. (pages 25) Les frontaliers aiment le rail. Les travailleurs frontaliers sont de plus en plus nom- breux à préférer le train ou le bus pour se rendre sur leur lieu de travail. C’est une question de confort et d’économies aussi. (page 37)

(Dossier pages 11 à 19)

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R E T O U R S U R I N F O

ÉDITORIAL

L’actualité bouge, les dossiers évoluent. C’est à dire revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”. Le commerce mortuacien toujours en mouvement

Achetez ! “C’est à cause de vous !” accu- sent les promoteurs immobiliers et les agences bisontines. Les médias ont toujours bon dos quand on cherche une explica- tion à un phénomène qui com- mence à vous dépasser. Jamais, ces trois dernières années, les médias avaient été accusés, à force de rebattre les oreilles du public sur le sujet, de faire grim- per les prix de lʼimmobilier. Ces mêmes promoteurs et agents sʼétaient bien gardé de vouer aux gémonies le soi-disant pouvoir des médias dans une période où certains ont allégrement profité de lʼeuphorie immobilière. Mais maintenant que le temps de lʼopu- lence et de la facilité semble révo- lu, on a forcement dû trouver un bouc émissaire. Alors ce sera le pouvoir médiatique. Soit. On donnera tout de même raison aux professionnels de lʼimmobilier quand ils affirment quʼune des explications principales du ralen- tissement actuel du marché est dʼordre psychologique. Cet élé- ment se traduit par une baisse sensible du nombre de transac- tions immobilières dans le Doubs depuis un, de lʼordre de 30 à 40 % selon les notaires du cru. Bien sûr il y a eu aussi le sérieux coup de vis donné par les banques qui tentent aujourdʼhui de faire payer au consommateur leurs errances récentes. Les grandes manœuvres de la finance inter- nationale, qui a opéré un dévoie- ment sordide de la notion même de capitalisme, ne font rien pour arranger la morosité ambiante. La dernière crise immobilière du début des années quatre-vingt- dix était uniquement due à un phénomène de spéculation effré- né qui a fini par crever les pla- fonds et fait retombé la bulle immo- bilière comme un soufflé. Aujour- dʼhui, on nʼassiste aucunement à ce jeu dangereux. On ne fait que reproduire les craintes nées des errances de la finance mondiale. En quinze ans, le contexte inter- national a pris le pas dans lʼes- prit des consommateurs sur les schémas de pensée nationaux ou locaux. Si bien quʼaujourdʼhui, la fameuse mondialisation a des répercussions jusque dans le mar- ché immobilier bisontin. Alors pre- nons le contre-pied de cette moro- sité actuelle par cette incitation : cʼest le bon moment pour négo- cier les prix et investir dans lʼim- mobilier. Et si on tient ce genre de discours Messieurs les pro- moteurs, vous changez dʼavis sur les médias ? ? J ean-François Hauser

D ans sa dernière édition, le journal Cʼest à dire a publié un article sur le bilan du Téléthon 2007 à Villers-le-Lac. La rédaction a pointé du doigt le décalage entre le montant du don fait à lʼA.F.M. (seulement 4 383 euros) et le chiffre dʼaf- faires de la manifestation qui dépassait les 90 000 euros.Après examen du dossier, lʼAssociation Française contre les Myopathies a conclu que “l’organisation a manqué d’efficacité et de vigi- vité du commerce de chaus- sures tenu depuis 1984 par Patricia Salvi dans la Grande rue. Nous annoncions, à rai- son, que ce pas-de-porte serait repris par Damien Grenouillet et Édith Villier. Cʼétait sans compter sur les prétentions du propriétaire des murs qui avait gonflé le loyer de telle maniè- re quʼil a été impossible aux nouveaux gérants de confir- D ans notre précédente édition, nous faisions état de la cessation dʼacti-

lance” écartant lʼidée que ce déca- lage puisse être lié à des mal- versations. Un lecteur du journal Cʼest à dire a réagi à ce sujet sur le site Internet LePost.fr. (éma- nation du journal Le Monde) en sʼappuyant sur des extraits de lʼarticle. La lisibilité donnée dʼun coup à cette information est le point de départ à une efferves- cence médiatique autour de “lʼaf- faire du Téléthon.” Cʼest tout dʼabord la rédaction de France Soir qui relaie la première le sujet mer leur positionnement. “On s’est aperçu le jour de la signa- ture que le propriétaire avait convenu que les actuels gérants lui verseraient 6 000 euros pour maintenir le loyer actuel à 1 450 euros. Et avec des clauses de rétroac- tivité sur l’indice des prix de 2004, cela nous aurait fait un loyer de 1 880 euros d’ici trois. À ce prix-là, ça devenait impos- sible de conclure l’affaire avec M. Myotte” explique Damien Grenouillet. Le couple a donc

130 m 2 est prévue avant la mi-octobre.” Tenue par Édi- th Villier, ce magasin pro- posera une gamme éten- due de vêtements et chaus- sures pour enfants ainsi que des vêtements pour adolescents. De son côté, Patricia Sal- vi se retrouve également lésée par lʼaboutissement de cette affaire, contrain- te de continuer à payer un loyer au risque de perdre son droit au bail.

après en avoir pris connaissan- ce sur le web. La journaliste du quotidien parisien contactera Cʼest à dire avant de reprendre lʼinformation à son compte. “Mais où est passé l’argent du Télé- thon ?” , cʼest autour de cette question que se cristallisera la presse pendant quelques jours. Jean-Marc Morandini, lʼanima- teur dʼEurope 1 et de Direct 8, sʼen fera lʼécho sur son blog et sur Direct 8, avant R.M.C., Fran- ce 3, et dʼautres sites Internet intenté un procès au proprié- taire pour préjudice, lʼaffaire doit être examinée le 4 novembre par le tribunal. Lʼinstallation du magasin à lʼen- seigne “Orchestra distribution” a donc été ajournée au dernier moment. Édith Villier et Damien Gre- nouillet ont rapidement trouvé une autre solution. Ils emmé- nageront dans les locaux du magasin de jouets La Récré qui a cessé ses activités. “L’ou- verture de ce magasin de

Téléthon à Villers-le-Lac : les médias ont cuisiné le scoop

dʼinformation. En quelques jours, le sujet fera le tour de la sphè- re médiatique. LʼAssociation Fran- çaise contre les Myopathies serait-elle hors de tous soupçons comme elle le prétend ? Le bilan de lʼédition 2007 ouvre la porte au doute. La presse tenait là le scoop qui allait peut-être per-

mettre dʼégratigner - enfin - lʼima- ge de lʼA.F.M. qui sʼaffiche en gestionnaire rigoureux des dons. Mais rien nʼa été démontré. Pas de scandale, mais à cette joyeu- se soupe médiatique qui aura duré quelques jours, le journal Cʼest à dire aura apporté lʼes- sentiel : le sel.

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D u 17 au 19 octobre, Micro- polis accueille le salon de lʼHabitat, Déco et Jardins. 300 exposants vont se partager 15 000 m 2 dʼexposition. 25 000 visiteurs sont attendus à ce ren- dez-vous qui intéresse toutes les personnes qui sont en quête dʼidées pour donner de la consis- tance à leur projet immobilier. Celles-là pourront aussi repartir avec, dans leur besace, la nou- velle édition du Guide Bâticom- tois. Ce document de référence réalisé par la Chambre des Arti- sans et des Petites Entreprises du Bâtiment du Doubs (C.A.P.E.B.) a été entièrement relooké sur la forme et sur le fond pour son dixiè- me anniversaire. Il répond mieux à lʼattente des porteurs de pro- jets qui cherchent le chemin le moins scabreux pour concrétiser leur rêve. Au fil du temps, ce salon a assis sa réputation et enthousiasme les particuliers qui sʼinterrogent sur la rénovation, la décoration, lʼamé- nagement dʼun bien immobilier. La sectorisation des différentes activités et la diversité de lʼoffre proposée par lʼensemble des pro-

fessionnels permettent de répondre aux préoccupations actuelles et aux projets de cha- cun, que ce soit en matière dʼéco- nomie dʼénergie, de recherche dʼinnovations ou de déclinaison des dernières tendances. Le double thème de lʼenfant dans lʼhabitat et du développement durable est le fil conducteur tout au long du parcours du visiteur. Deux expositions sont program- mées. “La Maison Géante”, pour que les parents voient les dan- gers domestiques “en grand”. Cet- te mise en scène permettra aux adultes de se glisser dans la peau dʼun enfant de deux ans. Vous pourrez essayer dʼattraper le manche de la casserole ou de grimper sur un fauteuil à hauteur de votre tête. Avis aux amateurs… À voir également, lʼexposition “Mobidécouverte, les enfants desi- gners ” présentera du mobilier ima- giné par des enfants et réalisé par des professionnels de lʼameu- blement. Les parents pourront ainsi découvrir un ensemble de meubles et accessoires sorti de lʼimaginaire de leurs enfants sur le pôle déco.

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Ont collaboré à ce numéro : Jean-MarieSteyner(motsfléchés)

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V A L D E M O R T E A U

Les trafics transfrontaliers ne cessent d’augmenter L’observatoire statistique transfrontalier de l’Arc jurassien (O.S.T.A.J.) vient de publier sa première enquête annuelle sur l’économie et les flux transfrontaliers. La formidable pros- périté de la zone frontalière est à nuancer. Statistiques

En bref…

Celtivales Les Celtivales de Pierrfon- taine-les-Varans auront lieu du 25 au 31 octobre. Au pro- gramme côté musique, les groupes Riké, Ask et Anach Cuan le jeudi 30 octobre et la Volée dʼcastors, Celt Keys et Simon Genest le vendredi 31. Renseignements au 03 81 56 07 53 ou www.celtivales.com. Collectionneurs Dimanche 19 octobre à la sal- le des fêtes de Montlebon, 13 ème bourse des collection- neurs. Exposition, achat, échange, vente de cartes pos- tales, philatélie, télécartes, monnaies, pinʼs, capsules de champagne, opercules, fèves… Rens. au 03 81 67 33 05 ou 06 82 22 94 92. Dépendance LʼA.D.M.R. du Doubs propo- se deux cafés-débats autour dʼun cycle de conférences sur “lʼaccompagnement des per- sonnes en perte dʼautonomie” : samedi 18 octobre à 14 h 30 sur “accompagner un proche âgé… des aides existent” et samedi 15 novembre à 14 h 30 “aider un proche au quoti- dien… la famille comme res- source”. À la Roche du Trésor de Pierrefontaine-les-Varans. Renseignements : Laurent Bar- bier au 03 81 56 37 80.

E ntre fin 2001 et fin 2005, l’emploi a bais- sé de 0,9 % en Franche-Comté tandis qu’il progresse de 0,3 % dans l’Arc jurassien suisse. Il s’agit d’une situation inverse par rap- port à la période 1995-2001 où la Franche-Comté affichait une

7 000 emplois. Ces créations ne compensent pas les pertes industrielles du côté français contrairement à la Suisse. Entre juin 2004 et juin 2007, le nombre de chô- meurs recule de 22 % dans l’Arc jurassien. Cette baisse est plus marquée du côté suisse (- 29 %

Depuis 2003, le trafic aux postes de douane augmente de 7,5 % par an.

progression de l’emploi supérieure à celle de l’Arc jurassien suisse. Du côté français, les zones d’emploi jouxtant la frontière enregistrent pourtant un bilan moins

contre - 17 % en Franche-Comté). Les jeunes chômeurs (ayant moins de 25 ans) sont les premiers à profiter de cette embellie (– 35,3% en

comtois déclarent un lieu de résidence proche de Besançon ou Dole. En 2006, les 13 principaux postes-frontières de l’Arc juras- sien enregistrent une moyen- ne de 17 000 passages quoti- diens de voitures de tourisme en direction de la Suisse (envi- ron les deux tiers du trafic sont des véhicules français). L’entrée en vigueur des accords bilatéraux en juin 2002 n’a pas entraîné une hausse immédia- te du nombre de véhicules entrant en Suisse. En revanche, la période 2003-2006 marque une augmentation annuelle moyenne de 7,5 % du trafic.

l’embauche de travailleurs fron- taliers de l’Union européenne. En 2007, 27 250 ressortissants de l’Union européenne (dont 23 % de femmes) se sont ainsi “annoncés” pour fournir une prestation d’une durée de moins de 90 jours dans l’Arc jurassien suisse, ce qui correspond à 4 500 emplois en équivalents temps plein (0,65 % de l’emploi total de l’Arc jurassien suisse). Ce poids dans l’emploi local est plus élevé dans les cantons de Neuchâtel et du Jura (respec- tivement 1,2 et 1,7 %). Entre 2006 et 2007, le nombre de travailleurs “annoncés” aug- mente de 16 %.

L’Arc jurassien suisse attire une main-d’œuvre frontalière tou- jours plus nombreuse : 30 000 frontaliers viennent y travailler au 1 er mars 2008. Le nombre de frontaliers a pratiquement dou- blé entre les premiers tri- mestres 2003 et 2008 (+ 7 % en moyenne par an). La grande majorité d’entre eux se concen- trent dans quelques communes de travail suisses et quelques lieux de franchissement de la frontière. Plus de trois tra- vailleurs sur quatre résident dans le Doubs et travaillent majoritairement dans les can- tons de Vaud et de Neuchâtel. De plus en plus de frontaliers

Le taux de chômage baisse de 1,3 point.

favorable que le reste du ter- ritoire : - 3,7 % contre + 1,2 % dans le reste de la Franche-Com- té. En Suisse, l’emploi recule légèrement dans les districts frontaliers (- 0,3 %) alors qu’il augmente peu dans le reste de l’Arc jurassien suisse (+ 0,3 %). Au total, dans les zones fron- talières (françaises et suisses), l’industrie perd plus de 14 000 emplois en quatre ans. Dans le même temps, le tertiaire crée

Suisse et - 27 % en France). Entre fin juin 2004 et juin 2007, le taux de chômage baisse de 1,3 point de part et d’autre de la frontière. En juin 2007, ce taux est plus faible dans les zones d’emploi françaises et les districts suisses proches de la frontière. Grâce à la procédure d’annonce, l’accord sur la libre circulation des personnes (A.L.C.P.) a permis aux entre- prises suisses d’accroître

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V A L D E M O R T E A U

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L’incendie volontaire n’a pas lieu Villers-le-Lac Le maire de Villers-le-Lac Jean Bourgeois regrette vivement la polémique née de la décision qui avait été prise de mettre à disposition des pompiers une maison de Chaillexon pour un exercice grandeur nature.

La mairie préempte les locaux de la Précise Les Fins

L a polémique soulevée à propos de la destruction par le feu d’une maison de Chaillexon appelle quelques remarques selon le premier magistrat de Villers-le-Lac. Il justifie le bien-fondé de l’autorisation qu’il avait déli- vrée aux pompiers : “Le pro- priétaire de la bâtisse, après éva-

teur, il a donc été décidé que l’exercice des soldats du feu n’aura pas lieu, “afin de ména- ger les sentiments” pense M. Bourgeois. Il estime néan- moins qu’il est regrettable de n’avoir pu mener une opération grandeur nature, “ce qui est rare à notre époque. La formation des soldats du feu est utile à tous,

les terres diminuer, au profit de la sacro-sainte maison indivi- duelle. Réaliser du collectif, ce n’est pas faire n’importe quoi. Le confort des appartements d’aujourd’hui, n’a rien à voir avec les “cages à lapins” que l’on dynamite dans les banlieues.Les “Hauts de Chaillexon” veulent offrir onze appartements bien ensoleillés, jouissant d’une jolie vue, au pied d’un lotissement récent. On se doit, au vu des contraintes du développement durable, tout faire pour ména- ger notre planète…” Si on suivait le raisonnement de M. Bourgeois à la lettre, il faudrait encourager tout le mon- de, y compris lui-même, à tro- quer sa maison individuelle contre un bel appartement…

La municipalité des Fins pourrait acqué- rir l’ancienne usine désaffectée et installer Emmaüs dans une partie des locaux. L a mairie des Fins n’exclut pas de faire valoir son droit depréemptiondansla ven- te parBaud Industriesdeslocaux de La Précise situés rue de la Diligence. “Nous sommes inté- ressés par le site” admet le mai- re Gérard Colard. Les tracta- tions sont en cours entre le grou- pe jurassien et la municipali- té qui pourrait acquérir la friche industrielle. Cependant, dans cette opéra- tion, la collectivité n’est pas prê- te à tout concéder. Elle confir- mera son engagement sous cer- taines conditions. “Pour l’instant,

luation des possibili- tés de rénovation, s’est résolu à la démolir. En effet, les hauteurs sous plafond n’excèdent pas deux mètres et au vu de la taille de nos contem- porains, il devient

car l’éventualité d’un incendie guette chacun d’entre nous.Il n’y a pas de simulateurs pour préparer les pompiers devant un ordinateur.” Enfin, discréditer le projet immobilier qui

Au profit de la sacro- sainte maison individuelle.

Pour l’instant, la Précise n’est toujours pas vendue.

pollution et estimer les coûts d’un traitement des locaux en vue de les transformer. En fonction des résultats des analyses, la col- lectivité se prononcera ou non sur l’opportunité de récupérer ce lieu à son compte. Mais au- delà du bâtiment en lui-même, ce qui intéresse la mairie c’est le terrain d’1 hectare sur lequel est implantée La Précise. Pour en faire quoi ? Gérard Colard

vité se démène spécialement pour Emmaüs.Elle a également esti- mé que la mairie n’était pas dans son rôle en préemptant ce bâti- ment qu’il serait préférable de laisser à des investisseurs pri- vés. Une structure de loisir avait déjà fait savoir au groupe Baud qu’elle était prête à acquérir La Précise pour se développer. Un garage automobile et un gros- siste en matériaux étaient éga- lement sur les rangs de l’acquisition. La mairie est prê- te à s’effacer au profit des inves- tisseurs privés si le montant de transaction est trop élevé.Par contre, le cas échéant, elle s’opposerait à la transformation de l’usine en une structure de loisirs nocturnes qui pourrait générer “des nuisances dans un secteur pavillonnaire.” T.C.

doit y succéder “est réellement d’un autre âge” ajoute-t-il visi- blement en colère.Et de défendre la notion d’habitat collectif : “Les agriculteurs voient sans cesse

périlleux de passer sous les lin- teaux des portes” avance Jean Bourgeois. La valeur architecturale de cet- te maison, “faussement présen- tée comme une ferme plusieurs fois centenaire est difficile à cer- ner. Il faut bien reconnaître que l’édifice n’exhibe en rien les attri- buts de la ferme comtoise que chacun souhaite voir protégée dit-il. Regardez sa façade avec une pseudo-lambrichure sans relief ! Observez les fenêtres de taille inégale, la porte de gara- ge rajoutée ! Regardez la che- minée et rendez-vous à l’évidence du constat ! Cette construction remaniée, modifiée, défigurée peut difficilement prétendre deve- nir un joyau classé” ironise le maire. Après concertation entre le mai- re, les pompiers et le promo-

apporte un début de réponse à la question. “Au départ, nous nous sommes intéressés à ce bâtiment parce que nous cherchions des

nous n’avons pas tous les éléments en main pour nous prononcer.Il y a un certain nombre de choses à prendre en compte comme la dépol-

“Prendre en compte la dépollution des lieux.”

lution des lieux.” Le sol de l’ancien bâtiment industriel serait en effet imbibé d’huiles,conséquence de l’activité de décolletage de l’usine finnoise.Lamairie indique qu’une étude est en cours pour mettre en évidence les traces de

locaux pour Emmaüs.Nous avons imaginé que cette association pou- vait occuper une partie de ces locaux et que le reste serait affec- té à une autre activité” dit-il. L’opposition municipale s’est d’ailleurs étonné que la collecti-

La maison ne sera pas incendiée, mais néanmoins remplacée par un immeuble.

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V A L D E M O R T E A U

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Un numéro unique pour obtenir le médecin de garde Le système traditionnel des gardes a vécu. Désormais, où que l’on soit en Franche-Comté, pour obtenir un médecin de garde, il faudra composer le 39 66. Santé

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L es temps changent. L’époque où l’on pouvait joindre son médecin de famille 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 est révolue. Les nouvellesgénérationsdedocteurs ne sont plus disposées à offrir à leurs patients la disponibilité la pluslargepossiblequitteàcequ’elle empiètesurlaviedefamille. “C’est terminé. La moyenne d’âge des médecins généraliste est de 55 ans. Il y aura dans peu detemps des départs en retraite massifs trouvedes solutions pour rendre ces territoires attractifs” insis- te Christophe Gevrey, médecin généraliste. Ce professionnel de santé est aussi responsable opérationnel de l’association comtoise de régu- lation libérale (Acorelie). Le but de cet organisme créé par les médecins libéraux eux-mêmes, est de soulager les confrères de garde partout en Franche-Com- té. Comment ? L’Acoralie fonc- tionne comme un standard télé- phonique installé au C.H.U. de qui ne seront pas rem- placés. La profession se féminise à 70 %. À partir de là, soit on considèrequ’il n’yaura plus de médecins en milieu rural, soit on

té, en cas de problème, il n’est plus nécessaire de s’évertuer à chercher le numéro de télépho- ne d’un médecin de garde. En composant le 39 66,l’appel abou- tit directement à l’Acoralie qui en cas de besoin, vous indique- ra le cabinet médical le plus proche. Cette approche déper- sonnalisée de la médecine peut déranger une population atta- chée à son médecin de famille. Certains libéraux se sont aussi opposés à ce mode de fonction- nement estimant que le filtrage des appels amputait leur acti- vité. Mais actuellement, même les rares réfractaires finissent par accepter la méthode plé- biscitée par les nouvelles géné- rations de docteurs. Christophe Gevrey espère démontrer l’efficacité de cette organisation auprès des pouvoirs publics qui souhaiteraient davan- tage que tous les appels, quelle que soit leur nature, soient régu- lés par le centre 15. “Cen’est pas unebonneidée, car le15 n’aurait detoutemanièrepas les moyens de gérer tous les appels dit-il. Je crois qu’il faut séparer les choses entre le 15 qui est réservé aux appels d’urgence et le 39 66 qui relève de la permanence des soins.”

Besançon sur lequel sont systé- matiquement renvoyés tous les appels des patients qui cherchent à joindre le docteur de garde de leur secteur. Six médecins répondent au télé- phone. Ils rassurent, conseillent, diagnostiquent,évaluent le degré d’urgence et ne renvoient le patient vers le médecin de gar- de que s’ils estiment que le cas auquel ils ont affaire mérite une consultation en cabinet. Résul- tat, avec ce système, le profes- sionnel de santé tophe Gevrey. L’association a encore amélioré son mode de fonctionnement pour aider les patients à s’y retrou- ver. On peut comprendre qu’une personne se sente déroutée, si en composant le numéro du médecin de garde elle tombe sur un central d’appel avec au bout du fil un médecin qui lui pro- pose un diagnostic par télépho- ne. Désormais, l’Acoralie dispose d’un numéro unique : le 39 66. Où que l’on soit en Franche-Com- d’astreinte est beaucoup moins dérangé pendant le week-end. “À l’Acoralie, nous avons déjà reçu jus- qu’à 1 700 appels en un week-end” indique Chris-

SALAIRE TRÈS MOTIVANT È T

“1 700 appels en un week-end.”

La majorité des médecins généralistes franc-comtois ont adopté le numéro unique.

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V A L D E M O R T E A U

Le vendredi soir Possibilité de SOIRÉE PRIVÉE Repas + musique dans une salle privée de la discothèque pour vos repas d’en- treprise, d’anniversaire ...etc.

Nouvelle carte ! Menus du jour et d'affaire en semaine s j r t ' ff ir s i

Samedi 4 octobre Soirée TECHNO de minimale ................. ................ à progressive avec 5 dj's dont 1 GUEST

Vendredi 24 octobre Soirée POKER TEXAS HOLD'EM Inscrivez vous pour une soirée conviviale et passionante. De nombreux lots à gag- ner pour cette initiation au jeu qui fait fureur dans le monde entier. Renseignements et inscriptions au 03.81.43.51.29

Samedi 11 octobre Soirée N ATIONALE P RÉVENTION ROUTIÈRE CADEAUX AUX CONDUCTEURS QUI ASSURENT ... En collaboration avec les Bac pro des lycées techniques de Vercel et Les Fins

La nouvelle fruitière à comté des Frenelots mise en service Les Fins Après un mois de suspension, la fabrication a repris le 24 septembre pour les sociétaires de l’ancienne froma- gerie des Frenelots dans le nouvel atelier construit sur la route des Fins à proximité du terrain de foot.

C e lancement marque l’aboutissementd’unprojet qui a nécessité plusieurs annéesderéflexion.Chantier réa- lisé danslesdélais,perspectivede bénéficier d’un environnement de travail spacieux et fonctionnel, attrait d’un emplacement parti- culièrement attractif sur un axe à fort trafic, le moral est plutôt au beau fixe chez les sociétaires

également un jeune apprenti, Kevin Fortin. À l’arrière du local de fabrica- tion se trouve la pièce abritant un bain de saumure où sont trempés les comtés durant 4 à 6 heures en vue d’optimiser leur croûtage. Aujourd’hui, seules trois ou quatre fruitières à com- té ont un tel équipement.La cave de pré-affinage dispose d’une capacité de 1 000 places. L’un des grands changements apportés par rapport à l’ancienne fruitière réside dans le magasin de vente directe. À deux pas de la R.D. 437, l’ouverture d’une nouvelle fruitière ne pouvait guè- re faire l’impasse d’un maga- sin à part entière.Toujours tenu par deux vendeuses dont l’épouse de Thierry Arnoux, il présente

assuré par la maison Rivoire- Jacquemin à Montmorot. Ces données restent inchangées. Pourquoi alors investir dans un projet flambant neuf ? “L’ancien bâtiment s’avérait difficilement transformable.On avait déjà étu- dié l’option de le rénover mais ça ne présentait guère d’intérêt vu les coûts induits par l’opération. C’est pour ça qu’on est parti sur

toute la gamme des A.O.C. fro- magères comtoises sans oublier les produits laitiers. “On a choi- si d’étoffer l’offre en proposant d’autres produits régionaux com- me les salaisons et les vins du Jura. Ce point de vente ouvre tous les jours sauf le dimanche de 9 heures à midi et de 17 heures à 19 h 30 ” indique à son tour, Joseph Henriod,le sociétaire res- ponsable du magasin. Qu’adviendra-t-il de l’ancienne fruitière du hameau des Frene- lots ? Cette belle bâtisse construi- te en 1932 a été vendue à l’un des sociétaires pas encore tota- lement fixé sur sa future des- tination. Vu la pénurie de loge- ments locatifs sur leVal de Mor- teau, il aura toujours la possi- bilité d’investir dans ce sens.

commeparmile per- sonnel de la coopé- rative desFrenelots. Tous s’impatientent presque à l’idée de prendrepossessionde

une création complè- te. La commune a joué le jeu en nous propo- sant ce terrain bien situé à un prix rai- sonnable.” Le cabinet

Près de 2 millions d’euros d’investissement.

leurnouveloutil.Onlescomprend. À près de 2 millions d’euros d’investissement,on a envie d’en profiter. “On avait stoppé la fabri- cation dans l’ancienne coop à partir du 1 er septembre de façon à transférer une partie du maté- riel sur le nouveau site. Pendant ce temps, le lait était provisoi- rement livré aux Monts de Joux à Bannans” , précise Jean-Paul Billod, le président de la coop qui réunit 31 exploitations et transforme 5,4 millions de litres de lait en comté.L’affinage étant

d’architecture Artica à Dole a dessiné les plans du nouveau bâtiment qui couvre 750 m 2 de surface. À l’intérieur,c’est du grand luxe. Tous les murs de l’atelier de transformation sont recouverts en inox laqué. “Cet investisse- ment représente le plus gros pos- te de dépense sur le budget construction.” Tout a été conçu pour faciliter le travail du maître fromager Thierry Arnoux et de ses seconds Claude Bernard et Didier Prêtre. L’équipe compte

Avec des locaux spacieux et fonctionnels, un outil de travail moderne et un magasin de vente directe approvisionné avec toute la gamme des produits régionaux, la nouvelle fruitière à comté des Frenelots est conçue pour affronter l’avenir sous les meilleurs auspices.

Environnement

Renseignements : Les 4 et 5 octobre la L.P.O. organise des journées d’observation des oiseaux migrateurs. 03 81 50 43 10

La Franche-Comté, terre de cigognes Quelques cigognes font encore étapes dans le secteur. Les échassiers qui migrent vers l’Afrique effectueront leur retour au mois de mars.

Les échassiers volent ensuite jusque dans la région du Sénégal. Leur voyage dure en moyenne une quinzaine de jours. Leur retour en Allemagne, en Alsace ou même en Franche-Comté, où chaque département a deux endroits où nichent les cigognes blanches s’effectue au mois de mars. La cigogne fait encore partie des espèces protégées mais si en trente ans sa popu- lation s’est considérablement développée alors qu’elle était menacée d’extinction dans les années soixante-dix. Cet échas- sier a manqué de disparaître à l’époque puisque 14 couples étaient recensés sur l’ensemble du territoire national. Aujour- d’hui on en compte 1 374.

D es habitants de la région ont enco- re la chance d’assister au ballet des cigognes. Depuis le milieu du mois d’août, d’importants groupes de ces oiseaux

Elles atteignent ainsi des altitudes impor- tantes. Quand la chaleur retombe, les cigognes se laissent glisser dans l’air et sans battre des ailes elles peuvent parcou-

migrateurs se sont posés dans le Doubs comme à Saint-Vit, où le 10 août, 270 individus ont été comptés dans un pré. Le 16 août, 150 cigognes blanches (il en exis-

rir des distances de 200 à 300 kilomètres. Ces oiseauxsontdes grands planeurs qui voyagent de jour. Le problème est qu’au- dessus de la mer il n’y a pas de

“Ces oiseaux sont des grands planeurs.”

te des noires plus discrètes) ont été vues à Mamirolle, et plus tard, on en a recen- sé 30 à Osse, 82 à Pont-de-Roide et 100 à Liesle. Beaucoup d’autres également dans le Haut-Doubs. Depuis le début de la migration d’automne, 1 500 de ces échassiers ont été répertoriés par la Ligue de Protection des Oiseaux de Franche-Comté qui a pu identifier leur ori- gine. “Nous avons de la chance car envi- ron un tiers des individus du groupe qui s’est arrêté à Saint-Vit était bagué. Des ornithologues ont pu les observer à la longue- vue. Il s’avère que ces cigognes venaient d’Allemagne et d’Alsace” note Guillaume Petitjean de la L.P.O. de Franche-Comté. Ces oiseaux ne sont pas de passage par hasard dans le secteur. La vallée du Doubs, et plus globalement le massif du Jura consti- tuent un couloir important de migration de ces oiseaux, qui convergent ensuite vers la vallée du Rhône avant de continuer leur descente sur l’Afrique. Le passage de la Méditerranée se fait à hauteur du Détroit de Gibraltar. Là enco- re le choix du parcours a un sens. “Les cigognes ont des ailes larges qui leur per- mettent d’utiliser les ascendants thermiques.

thermiques, ils sontdonc contraints debattre des ailes pour la traverser.” Pour économi- ser leurs efforts, les cigognes passent là où la mer est la plus étroite à savoir dans les détroits de Gibraltar et du Bosphore.

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150 individus ont été vus au même endroit.

Manu Déco,

la touche créative ! Spécialisée dans la rénovation de façades et la décoration intérieure, l’entreprise Manu Déco donne une touche colorée à vos envies.

L a rénovation de la façade de la mai- son Taillard située au centre de Villers-le-Lac touche à sa fin. Bien- tôt, tous les échafaudages seront démontés. Les passants vont redécou- vrir ce bâtiment qui,décrépit par le temps, avait fini par passer inaperçu. Après un sérieux toilettage, il a retrouvé des cou- leurs éclatantes. C’est le moins que l’on puisse dire ! La façade est violine, le tour des fenêtres est jaune, et tous les élé- ments architecturaux intéressants ont été relevés par des teintes harmonieuses qui rehaussent le caractère de la mai- son sans la dénaturer. Cet important chantier de rénovation a été confié à l’entreprise Manu Déco, une société reconnue dans le Val de Mor- teau pour son attachement à la couleur. “Je trouve qu’ajouter des couleurs dans un Haut-Doubs où le temps est souvent gris, c’est amener un peu de vie aux bati- ments” lance avec humour Emmanuel Duffait. Cet artisan a créé son entreprise du bâtiment qui emploie deux autres personnes, Damien Bellabouvier et Marie- Pierre Boucard. Manu Déco intervient à la demande des P U B L I - I N F O R M AT I O N

particuliers qui ont en projet de rénover la façade de leur habitation, qu’il s’agisse d’une construction en dur ou d’un cha- let dont l’habillage en bois a besoin d’être poncé et repeint. “Lors du premier ren- dez-vous, je discute beaucoup avec mes clients. Soit ils ont une idée précise de la teinte qu’ils recherchent.Soit ils me deman- dent de les conseiller. Avant de leur pro- poser des couleurs dont ils n’ont pas for- cément l’habitude, je les invite à aller voir différentes maisons pour se rendre comp- te des effets que l’on peut obtenir.” Dans la mise en œuvre de peintures spé-

Emmanuel Duffait : “Je trouve qu’ajouter des couleurs dans un Haut-Doubs où le temps est souvent gris, c’est amener un peu de vie aux batiments”

Manu Déco rénove la façade du bâtiment Taillard à Villers-le-Lac. Vues avant et après.

cifiques qui protègent la façade pour long- temps, Emmanuel Duffait est attentif aux détails.“Dès que l’on peut mettre en évidence des éléments architecturaux par de la couleur, on le fait. Nous utili- sons uniquement des peintures miné- rales microporeuses haut de gamme, qui n’enferment pas l’humidité dans le bâti- ment. Tout est fait dans les règles de l’art” dit-il. Les maisons individuelles et les petits collectifs sont des chantiers auxquels s’attelle Manu Déco. “On ne fait que de la rénovation.” L’automne est la dernière limite pour restaurer les façades dans le Haut-Doubs. Par contre, c’est le bon moment pour mûrir son projet, se décider sur l’aspect

extérieur que l’on veut donner à son habi- tation avant de réaliser l’opération au printemps. L’entreprise Manu Déco ne s’arrête pas pour autant pendant la mauvaise sai- son. Elle se tourne vers la décoration intérieure, son deuxième métier. “Nous mettons en œuvre différents matériaux naturels qui sont tendance actuellement comme du bambou ou du jonc. On fait aussi beaucoup de peinture décorative et nous posons aussi des papiers peints dont les nouvelles collections reprennent des motifs des années soixante-dix retra- vaillés.” Le champ des possibilités est ouvert. L’effet matière est garanti, l’ambiance aussi.

Manu Déco peut rénover aussi les façades bois des chalets.

Un pavillon bleu accroché à la colline…

Peinture/Décoration 1, rue Fontaine l’épine 25500 MORTEAU Tél. 03.81.67.09.88 E-mail : manudeco@free.fr

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V A L D E M O R T E A U

Le tracé de la route des Microtechniques se précise Le Conseil général du Doubs a racheté une ferme située vers la piscine, là où doit passer la future route des Micro- techniques. Mais quand ? Le Conseil général a présen- té un nouveau projet aux élus locaux. Les Fins

En bref…

Frontaliers 43 % du personnel de lʼentreprise Stryker basée au Crêt-du-Locle est frontalier. La société qui fabrique du matériel médical recherche de nombreux collaborateurs, notamment des opérateurs sur machine et des opérateurs de contrôle (source Frontalier Magazine). Horlogerie HorloʼTroc est un nouvel évé- nement mis en place par le comité des fêtes des Fins en relation avec lʼoffice de tou- risme Val de Morteau-Saut du Doubs. Cʼest un vaste vide- grenier consacré intégrale- ment au monde de lʼhorlogerie avec vente de réveils, pen- dules, montres, matériel, mobi- lier, outillage, machines, auto- mates… Ce premier Hor- loʼTroc aura lieu dimanche 9 novembre à la salle poly- valente des Fins. Loto LʼAmicale des forestiers orga- nise un super-loto vendredi 10 octobre à Gilley, animé par Michel. Ouverture des portes de la salle polyvalente dès 19 heures. Principaux lots : G.P.S., machine à laver, télé écran L.C.D., paniers fumés, filets garnis…Buffet et buvette. Voitures Vente de véhicules dʼoccasion les 17 et 18 octobre à Mor- teau, avec la participation de la chorale des Fins.

“D epuis le temps qu’on évoque cette route, on a encore l’impression de parler dans le vide” commen- te Gérard Colard, le maire des Fins, dans un sourire. Lui et ses collègues du Val de Morteau ont écouté les dernières explications du Conseil général sur la pour- suite du tracé de la route des Microtechniques. Car la pro- chaine étape d’envergure,ce sera la portion entre le Bas-de-la- Chaux etVillers-le-Lac. “L’avant- projet sommaire d’itinéraire (A.P.S.I.) vient d’être révisé, on

a présenté la dernière mouture aux élus locaux” confirme Vin- cent Fuster, le vice-président du Conseil général chargé des routes. La collectivité départementale a acheté pour 190 000 euros l’ancienne ferme Cuenot, située sur la route des Sangles à proxi- mité de la piscine. Car c’est là que doit passer la future route des Microtechniques qui arri- vera du rond-point du Bas-de- la-Chaux, après avoir rejoint la route de Maîche à la hauteur de l’actuelle centrale électrique.

La future route des Microtechniques doit passer sur le stade actuel mais pas sur les vestiaires récemment construits.

de football. Néanmoins, le mai- re des Fins précise que “les ves- tiaires du foot sont hors empri- se du tracé. Dans le cas contrai- re, il aurait été impossible d’obtenir le permis de construi- re et nous avons conçu ce bâti- ment de telle manière à pouvoir

“La ferme fait en effet partie du tracé, nous l’avons rachetée dès que nous avons pu pour antici- per les choses” confirme M. Fuster. “Le Conseil général ne pouvait pas le prendre le risque de ne pas racheter cette maison” enchaîne Gérard Colard.

vers la Combe-Geay est toujours aussi compliquée à appréhen- der” avoue le Conseil général. Les prochains travaux à plus court terme sur cette route des Microtechniques concerneront d’abord la montée de Fuans et l’amélioration du carrefour de la Roche du Prêtre. Il est notam- ment prévu de changer le sens des priorités à cet endroit en donnant la priorité à ceux qui empruntent la route de Maîche. “Cet aménagement et l’amélioration de la montée de Fuans seront réalisés l’année prochaine” annonce le Conseil général.Reste à trouver un com- promis avec le restaurateur situé au carrefour de la Roche du Prêtre dont le parking de l’établissement est situé sur l’emprise du futur carrefour. J.-F.H.

en changer la des- tination et le cas échéant, le trans- former en loge- ments.” La déviation des Fins se précise

Le nouvel A.P.S.I. qui doit être validé avant la fin de l’année appor- te un changement notoire au premier pro- jet. L’idée de créer une

L’amélioration du carrefour de la Roche du Prêtre.

2 X 2 voies a été abandonnée, le tracé suivra une route à 2 X 1 voie classique. “Mais nous ferons des créneaux de dépas- sement” affirme le Conseil géné- ral. Par ailleurs, la nouvelle route passera également sur l’emplacement actuel du terrain

donc, sans pour autant que qui- conque ait la moindre idée des délais dans lesquels cette por- tion de route sera réalisée. Quant à la descente vers Villers-le-Lac, aucune option n’a encore été arrêtée. “La traversée par la forêt à flanc de coteau a été aban- donnée, la traversée du marais

Le Conseil général a racheté cette ancienne ferme qui sera elle aussi sur le tracé.

V A L D E M O R T E A U

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Les Suisses consomment moins dans le Val de Morteau La clientèle helvétique aurait de moins en moins intérêt à venir consommer dans les supermar- chés français. Réactions sur un parking d’une grande surface mortuacienne. Commerce

bataire et retraitée, vient de ter- miner ses commissions dans un supermarché français avant de repartir chez elle. Elle avoue elle aussi ne plus trouver de véri- table intérêt à venir acheter en France. “Je crois qu’un couple avec des enfants peut encore être

duits laitiers, un peu de viande, des fruits et légumes, de quoi remplir le réfrigérateur pour quelques jours. “C’est devenu très cher” confie-t-elle à son tour, affirmant qu’elle ne fait plus le déplacement jusqu’ici seule- ment pour faire ses courses.

ça reste encore avantageux com- me tous les articles qui concer- nent les soins du corps, ou les produits laitiers. Certaines viandes également sont toujours moins chères dans les supermar- chés français que suisses” ajou- te Sandrine qui a promis qu’elle ne dépenserait pas plus de soixante euros. Dans des pro-

gagnant à consommer ici, mais pour moi qui suis seule, je n’y vois plus d’avantages” dit-elle. Michèle n’est d’ailleurs pas venue de Suisse avec l’intention de fai- re ses courses, mais au départ pour “me promener.” Dans son panier, quelques pro-

À la question “avez-vous encore intérêt à venir faire vos courses dans les supermarchés fran- çais ?” , les réponses de la clien- tèle helvétique sont plutôt néga- tives. “Nous sommes venus à Morteau surtout pour faire une virée entre filles” sourit Sandri- ne en s’apprêtant à entrer dans une grande surface locale en compagnie de ses deux enfants. Il y a quelques mois encore, cet-

te mère de famille aurait fait le déplacement de Saint-Imier pour remplir son caddy de ce côté-ci

de la frontière. Mais l’euro fort a fait perdre à cette maman cette habitude. “Globalement, nous n’avons plus de véritable intérêt à consommer en France. Tout est plus coûteux

duits qui ne seront pas forcément de première nécessité. “Je ne fais plus mes courses hebdoma- daires en France. Le panier moyen se réduit, et je passe la frontière plus pour faire une bala-

Histoire

“Un couple avec des enfants peut encore être gagnant.”

Qui se souvient du Central garage ?

avec l’euro. Cependant, sur cer- tains produits très spécifiques,

de que pour consommer.” Un peu plus loin, Michèle, céli-

Où et quand a été prise cette photo ? Déposée à la rédaction de C’est à dire par Laure Béliard, elle représente le tout premier garage Chuard de Morteau, dans les années trente. Ce garage situé au centre-ville est aujourd’hui occupé par l’épicerie de la Halle. On remarque, à droite de la photo, le passage menant à la Poste.À gauche, c’est le début de la rue Gilbert-Ménie.

“Avec l’euro, tout est devenu cher !”. Même les Suisses pensent cela sur les parkings des grandes surfaces.

Votre partenaire carrelages, sanitaires et parquets Installée à Houtaud, Espace sols abrite un vaste hall d’exposition. Elle dispose d’une longue expérience pro- fessionnelle pour vous accompagner au mieux dans vos projets de construction ou de rénovation.

C’ est toujours plus facile de conseiller la clientèle quand on a déjà exercé dans le métier. En 1968, Monsieur Pianet crée son entreprise de pose de car- relage. À partir de 1984, l’enseigne ESPA- CE SOLS spécialisée dans le négoce de carrelages, dallages, parquets, revêtements de sols et de murs, équipements sanitaires s’implante à Labergement-Sainte-Marie. Cette activité se prolonge depuis 1992 à HOUTAUD. “On a arrêté la pose en 2005. Mais cette expérience acquise dans ce domai- ne nous permet d’anticiper les problèmes

Espace-sols, c’est 450 m 2 d’exposition consacrés à l’accueil du public pour présenter ses carrelages-dallages, salles de bains, revêtements de sols et revêtements muraux.

re, marbre, galets, pâte de verre, carre- lages et faïences, tous ces types de revête- ments minéraux sont disponibles en peti- te et grande dimension. Les amateurs de bois trouveront aussi leur bonheur dans un large choix de parquet de fabrication allemande qui se décline du stratifié au massif. Envie de changement, de produits de qua- lité, de conseils personnalisés, toute l’équipe d’Espace sols, Sandra, Jean-Paul et Hugues sauront répondre à vos attentes. “Ceux qui sont équipés d’Internet peuvent aussi fai- re un tour sur www.espacesols.com puis venir visiter notre exposition, nous serons à leur écoute” , suggère Hugues Pianet.

de globaliser la démarche jusqu’à la pres- tation complète, de la fourniture à l’installation (mise en relation avec un pro- fessionnel compétent de votre secteur).” Le hall d’exposition à l’intérieur du maga- sin d’Houtaud s’étend sur 450 m 2 . “Il com- prend des box de présentation dont le conte-

P U B L I - I N F O R M A T I O N

nu est renouvelé régulièrement en fonction de l’évolution des ten- dances.” L’agencement est struc- turé en quatre espaces consa- crés aux carrelages-dallages, salles de bains, revêtements de sols et revêtements muraux. “On couvre toutes les gammes de pro- duits qui proviennent essentiel-

rencontrés sur les chantiers. C’est un plus indéniable au niveau du conseil prodigué vis-à-vis de la clientèle” , explique Hugues Pianet qui assure la succession paternelle et dirige une équipe de 5 personnes. Grâce à ses partenaires, des car- releurs travaillant sur les dépar-

Une longue expérience professionnelle.

tements du Doubs et du Jura, Espace sols propose également des solutions de mise en œuvre correspondant à la nature du projet à réaliser. “On peut même envisager

lement d’Espagne et d’Italie. Ceci dans tous les styles, du rustique au contemporain.” Cette diversité se vérifie par exemple à travers le large choix des matériaux. Pier-

espace sols Tél. : 03 81 39 78 79 FAX : 03 81 39 74 17

2, Rue de l’Aérodrome 25300 HOUTAUD www.espacesols.com

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Hugues Pianet et son équipe vous apporteront des conseils personnalisés.

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