La Presse Pontissalienne 174 - Avril 2014

Le mensuel d'informations sur Pontarlier et le Haut-Doubs

AVRIL 2014 2, 50 € SPÉCIAL IMMOBILIER HAUT DE GAMME N° 174

Mensuel d’information du Haut-Doubs

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LES PLUS BELLES MAISONS DU HAUT-DOUBS

L’ÉVÉNEMENT en p. 6 à 9

LE DOSSIER

DÉLINQUANCE

p. 18 à 25

p. 5

Après les élections À la rencontre de votre nouveau maire

Une pétition lancée par les commerçants Face à la violence récurrente d’un individu, 90 commerçants du centre-ville réagissent.

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RETOUR SUR INFO

La Presse Pontissalienne n° 174 - Avril 2014

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Plus belle sera la bûche L’actualité bouge, les dossiers évoluent. La Presse Pontissalienne revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”. Orange recrute des jeunes francs-comtois

Désespoir Le coup de semonce envoyé par les élec- teurs lors des municipales sonne com- me un ultime avertissement à nos élus. Bien sûr, le Haut-Doubs a été épargné par le vote extrémiste et la colère des citoyens, faute de candidat Front Natio- nal en lice. Bien sûr, le focus a été mis sur les quelques villes conquises par le parti de Marine Le Pen à l’issue de ce scrutin, quelques-unes sur les milliers que compte le territoire national. Mais ce vote, qui va désormais bien au-delà de la réaction épidermique de quelques dizaines de milliers d’électeurs froissés, s’ajoute à la Bérézina socialiste et montre à quel point le citoyen français a perdu toute confiance en ses dirigeants et en un système à bout de souffle. En Franche- Comté, on l’a constaté dans les plus grandes villes comme Belfort, Montbé- liard et même Besançon où le maire sor- tant aura été malmené jusqu’au bout, presque désavoué. Pire encore, il y a désormais cette autre partie de la Fran- ce, invisible et muette, qui n’a même pas cru bon de se déplacer aux urnes parce qu’elle ne se sent plus impliquée du tout dans le destin du pays. Le Haut- Doubs reste un peu à part dans ce pay- sage électoral bouleversé. Cette terre de droite n’a pas failli à sa tradition, même si là encore, de nombreux maires n’ont été élus qu’avec moins de la moi- tié des électeurs inscrits. Exemples frap- pants dans certaines petites communes, des élus sont devenus maires avec les voix d’à peine 20 % des électeurs : à cause de l’abstention d’abord et ensui- te à cause du nombre impressionnant de bulletins nuls, rayés par des élec- teurs qui ne s’y retrouvent plus. Du Haut- Doubs, il apparaît donc que rien ne bou- ge vraiment. Mais il serait illusoire de le penser. Parce qu’ici comme ailleurs, le personnel politique a grandement per- du de son aura et le sentiment général qui prédomine est que quelque maire que l’on élise, il ne faut pas espérer en lui qu’il améliore la vie quotidienne de ses concitoyens. Ce sentiment est feu- tré dans le Haut-Doubs, région riche. Il suffit de se promener ailleurs en Fran- ce pour constater que la détresse et le sentiment d’impuissance qui va avec s’est accélérée de manière exponentielle en six ans. Plus qu’un recours crédible, le vote Front National a été pour ces milliers d’électeurs un cri de désespoir. À la nouvelle équipe gouvernementale de se saisir de cette douloureuse ques- tion, au plus vite. Jean-François Hauser Éditorial

J eudi 13 mars, Daniel Bon- net, délégué régional d’Orange en Franche- Comté a présenté le pro- gramme de recrutement de jeunes en alternance. L’opé- rateur compte déjà 5 000 jeunes alternants sur le terri- toire national, en contrat d’ap- prentissage ou en contrat de professionnalisation. Il lance aujourd’hui un plan de recru- tement de 1 000 alternants supplémentaires sur les métiers du Très Haut Débit (4G, Fibre), pour construire les réseaux de demain. “L’ambition de ce plan est forte puisqu’Orange pro- posera un C.D.I. à 800 d’entre eux après l’obtention de leur

diplôme : 400 en 2015 puis 400 en 2016” note le délégué régional. Sur la direction Orange Est (Alsace, Lorraine, Bourgogne et Franche-Comté), 380 alter- nants ont déjà été recrutés, dont une cinquantaine en Franche-Comté répartis sur les quatre départements. Les alternants sont majoritaire- ment positionnés sur des métiers liés au domaine client et à la technique (techniciens réseaux, informatique…). “80 jeunes supplémentaires en alternance seront accueillis à la rentrée 2014 dont une vingtaine en Franche-Comté. Ces nouveaux recrutements

seront réalisés dans deux éta- blissements partenaires de longue date d’Orange, le lycée Montjoux à Besançon et l’I.U.T. de Belfort-Montbéliard” ajou- te Daniel Bonnet. Orange est partenaire du Lycée Montjoux dans le cadre de l’apprentissage depuis plus de cinq ans. Dix-sept jeunes scolarisés dans cet établis- sement ont été accueillis en stage chez Orange. Cette année, l’Unité d’intervention de Bourgogne-Franche- Comté va accueillir 27 nou- veaux apprentis sur les métiers du Très Haut Débit. Les niveaux recherchés sont des Bac à Bac + 3.

Rémi Mouchart, le vainqueur du premier concours Vert Sapin.

L e concours de pâtisse- rie s’est déroulé le 20 mars dernier au lycée Toussaint-Louverture. Six jeunes candidats actuelle- ment en C.A.P. pâtisserie s’étaient pris au jeu de pré- parer un entremets en forme de bûche avec pour ingré- dient de base la liqueur Vert Sapin pour les uns et le concentré de bourgeons dont elle était tirée pour les autres. Deux spécialités de la distil- lerie Pierre Guy qui parrainait ce concours présidé par Clau- de Roy, président régional des chocolatiers, pâtissiers et glaciers. Rien n’est trop beau pour le Vert Sapin. Les meilleurs chefs et pâtissiers comtois étaient

présents pour composer un jury d’exception : Jacques Barnachon, Édouard Hirsin- ger, Marc Faivre, Jean-Paul Jeunet, Philippe Feuvrier et Roland Pfaadt. Du beau mon- de mis à contribution pour évaluer, noter la technique de montage, la réalisation du bis- cuit, le savoir-faire des élèves qui ont bûché trois heures trente sur le sujet. Au final, c’est Rémi Mouchart, 20 ans qui l’emporte avec sa bûche profiteroles au sapin. Une bel- le récompense pour ce talent prometteur déjà titulaire d’un B.E.P. et d’un Bac pro en cui- sine. Ses camarades Nico- las, Alexis, Quentin et les deux Margaux n’ont pas déméri- té. L’avenir leur appartient.

Clément Bertrand, apprenti chez Orange après un Bac Pro et Emmanuel Gay, son tuteur.

Préval : jusqu’au bout de la valorisation

nalisés et qui seront demain traités sur place. Le bâtiment en construction se veut être exemplaire sur le plan environ- nemental et l’intégration pay- sagère d’autant plus qu’il mar- quera l’entrée de la ville. La livraison est prévue début 2015. Le centre fera l’objet d’une exploitation déléguée à la socié- té S.I.T.A., filiale du groupe Suez comme Novergie qui gère aujourd’hui l’unité de valorisa- tion énergétique. La nouvelle structure va géné- rer la création de 18 emplois. Coût global du projet : 7,5 mil- lions d’euros hors taxes avec 20 % d’aide de l’A.D.E.M.E. L’avancée du chantier est fil- mée en continu par webcam. (http://preval.fr/).

L e chantier du nouveau centre multifilières a débu- té depuis quelques semaines sur le site de Préval au bord de la rocade pontissa- lienne. “Avec 65 % de la popu- lation en redevance incitative, le volume d’ordures ménagères ne cesse de diminuer et inver- sement la collecte sélective est en constante augmentation. D’où l’intérêt de traiter ce gise- ment sur place pour faire fonc- tionner l’unité de valorisation énergétique” , résume Jean-Yves Meuterlos, le directeur de Pré- val Haut-Doubs. La nouvelle structure s’étendra sur 5 500 m 2 et comprendra une unité de broyage d’encombrants et un centre de tri des déchets à recycler. À titre d’exemple, la collective sélective représente un volume annuel de 7 300 tonnes de déchets, livrés aujour- d’hui sur plusieurs centres exter-

est éditée par “Publipresse Médias”- 1, rue de la Brasserie B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 E-mail : redaction@groupe-publipresse.com S.I.R.E.N. : 424 896 645 Directeur de la publication : Éric TOURNOUX Directeur de la rédaction : Jean-François HAUSER Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction : Frédéric Cartaud, Édouard Choulet, Thomas Comte,

Jean-François Hauser. Régie publicitaire : Anthony Gloriod au 03 81 67 90 80

Imprimé à I.P.S. - I.S.S.N. : 1623-7641 Dépôt légal : Avril 2014 Commission paritaire : 1102I80130 Crédits photos : La Presse Pontissalienne, Agences immobilières, Rotary.

La livraison du chantier est prévue début 2015.

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L’INTERVIEW DU MOIS

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CULTURE

Rachat de la librairie L’Intranquille “L’exception pontissalienne en matière de commerce se vérifie aussi dans le livre”

Emmanuel Vandelle qui dirige les Éditions du Belvédère rachète la librairie L’Intranquille. Un projet parmi d’autres pour cet éditeur-libraire plein d’ambitions culturelles. Entretien.

L a Presse Pontissalienne : Qu’est-ce qui moti- ve l’acquisition de cette librairie pontissa- lienne ? Emmanuel Vandelle : On est dans une logique d’intérêts partagés. Pour ma part, j’avais envie de me diversifier et de m’investir dans ce type d’activité. Michel Méchiet le propriétaire de L’Intranquille souhaitait quant à lui se consacrer davantage à la création d’une nouvelle librairie généra- liste à Besançon qui ouvrira ses portes cet automne. L.P.P. : Avait-il besoin de revendre Pontarlier pour mieux s’installer à Besançon ? E.V. : Non, je ne pense pas. L.P.P. : Vous faites une bonne affaire ? E.V. : Le rachat porte sur l’ensemble des parts sociales de la librairie. L’acquisition est financée uniquement sur fonds propres. Cette librairie propose aujourd’hui plus de 30 000 livres dans tous les domaines et abrite un espace papeterie et carterie, le tout sur 350 m 2 . Elle a réalisé 1,3 million d’euros de chiffre d’affaires en 2013 et emploie 6 personnes.Toutes seront reprises dans la nouvelle entité qui s’intitulera librai- rie L’Intranquille-Mirabeau. J’ai déposé la marque. L.P.P. : Songez-vous déjà à faire évoluer cet outil ? E.V. : On va procéder à des travaux d’extension avec la volonté de développer les rayons sciences humaines, jeunesse, loisirs créa- tifs et bandes dessinées. Je vais communi- quer davantage en lançant une campagne d’affichage publicitaire au centre-ville et

va aussi profiter de l’aménagement du quar- tier Saint-Bénigne pour travailler en bon- ne intelligence avec la librairie-papeterie Rousseau. C’est une chance d’avoir encore deux librairies indépendantes dans une vil- le de cette taille. L.P.P. : Comment expliquer cette résistance ? E.V. : Je pense que l’exception pontissalien- ne en matière de commerce se vérifie aus- si dans le livre. C’est une question de pou- voir d’achat et d’habitudes de lecture qu’on ne retrouve pas forcément ailleurs. En règle générale, on constate que les libraires indé- pendantes se portent assez bien si ce n’est mieux que les enseignes du type Cultura spécialisées dans les biens et les loisirs cul- turels. À noter également, le projet d’organiser un festival du livre à Pontar- lier en 2015. Cet événement serait compa- rable au salon “À mots comptés” qui exis- tait avant dans la capitale du Haut-Doubs. L.P.P. : Allez-vous poursuivre vos activités dans l’édition ? E.V. : Bien sûr. L’achat de L’Intranquille s’inscrit d’ailleurs au sein du pôle librairie de Belvédère Holding nouvellement consti- tué. Cette opération relève d’une stratégie globale de développement des éditions du Belvédère qui forment le second pôle de la holding. L.P.P. : Comment se porte cette maison d’édition ? E.V. : Les éditions du Belvédère publient chaque année une cinquantaine d’ouvrages dans les régions du Grand Est de la Fran- ce : Franche-Comté,Alsace, Pays de Savoie, Bourgogne, Lorraine. On est l’une des rares maisons d’édition franco-suisse. 80 % de l’activité se concentre sur le territoire fran- çais et on publie environ une dizaine d’ouvrages par an en Suisse romande. L.P.P. : Une belle réussite ? E.V. : Oui et en partant de rien. Dans ce métier de l’édition, il y a beaucoup de para- mètres à maîtriser : choix des contenus, développement des collections, réseau d’auteurs, gestion du volet pré-presse, tra- vail avec les correcteurs et les imprimeurs. Sans oublier la partie distribution, diffu- sion et en bout de chaîne, les salons, la pro- motion. Il faut être chef d’entreprise en plus d’être créatif et original dans la concep-

“Au second semestre 2014, on va ouvrir un bureau et une galerie d’art en plein cœur de Strasbourg”, indique Emmanuel Vandelle, propriétaire désormais de la librairie L’Intranquille.

tion. En 2013, le chiffre d’affaires s’élevait à 800 000 euros pour un catalogue de 220 titres. Au final, près d’une douzaine de per- sonnes gravitent autour des Éditions du Belvédère. L.P.P. : Vous travaillez uniquement à l’échelle du Grand Est ? E.V. : Les Éditions du Belvédère présentent la particularité d’être implantée à Pontar- lier sans être axées uniquement sur la région Franche-Comté qui représente tout au plus un quart des ouvrages publiés.Trois collections consacrées à la montagne, au ski et à la nature ont été créées à l’échelon national. L.P.P. :Y a-t-il encore un avenir dans l’édition papier ? E.V. : Le livre papier, c’est 3 milliards d’euros de chiffre d’affaires. C’est un domaine qui s’en sort assez bien même si l’on note un recul d’1 % en 2013. On nous prédisait la disparition du livre physique qui serait remplacé par les supports numériques. Ce marché ne décolle pas. Avec la multiplica- tion des loisirs, les gens prennent moins le temps de lire. Les études montrent aussi une diminution du nombre de gros lecteurs. 70 % des Français sont toujours consom-

mateurs de livres. En moyenne, les Fran- çais lisent une quinzaine de livres par an. Le monde du livre, ce n’est pas la sinistro- se. On n’est pas à l’abri de pépin mais l’évolution est assez saine. L.P.P. :Avez-vous aussi des projets en lien avec vos activités dans l’édition ? E.V. : Au second semestre 2014, on va ouvrir un bureau et une galerie d’art en plein cœur de Strasbourg afin de poursuivre le déve- loppement de l’activité éditoriale en Alsa- ce et en Lorraine. Le plus gros projet, ce sera pour 2015 avec la création des Édi- tions Mirabeau. Sous cette entité, on publie- ra des livres à vocation nationale dans les domaines des sciences humaines grand public. Les éditions Mirabeau s’appuieront sur trois sites : Pontarlier et Strasbourg pour la partie administrative et technique et Paris pour l’éditorial et les relations pres- se. On agrandit aussi le siège pontissalien qui s’étendra sur 200 m 2 dans la rue des remparts. Dernier projet à signaler au début de l’année 2015 où il est prévu d’ouvrir une librairie généraliste dans une grande vil- le de Franche-Comté qui en est désormais dépourvu. Propos recueillis par J.-F.H.

Bio express Né à Salins-les-Bains, 45 ans Études : Institut d’Études Politiques de Paris Institut universitaire de hautes études internationales (H.E.I.) de Genève Création des Éditions du Belvédère en 2001 à Sainte-Croix (Suisse) Installation des Éditions du Belvédère à Pontarlier en 2005 Création de la galerie Âme Couleur à Fleurier (Suisse) en 2005 Rachat de la librairie L’Intranquille en 2014 Président du Festival du livre Les Mots voyageurs-Vallée de Joux (Suisse) Membre du

en Suisse voisine. On prévoit de créer un site Internet. On renforcera également les ani- mations auteurs avec des séances de signatures-dis- cussions et des manifesta- tions à thème. Notez bien qu’il n’est pas question de deve- nir une librairie régionale, on continuera à faire venir des auteurs connus. On tra- vaillera également de concert avec Michel Méchiet car il me semble plus facile d’attirer les auteurs sur Besançon pour qu’ils fassent ensuite un détour jusqu’à Pontarlier. On

“Le monde du livre, ce n’est pas la sinistrose.”

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PONTARLIER

La Presse Pontissalienne n° 174 - Avril 2014

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Patrick Genre : “Nous allons prendre des mesures” M aire de Pontarlier, Patrick Genre a conscience que le climat dʼinsécurité sʼest développé dans sa ville. Des caméras de surveillance (dont le marché est lancé) seront installées au centre-ville dʼici quelques semaines. Le maire prévoit lʼembauche dʼun policier municipal supplé- mentaire, de développer lʼîlotage en lien avec la Police natio- nale. Lʼédile ne veut pas noircir le tableau : “Nous savons quʼil y a une quinzaine de personnes qui posent problème à Pontar- lier. Trois ont été interpellées. Nous avons eu des agressions à lʼarme blanche mais cela reste des actes peu fréquents. Il faut des mesures et avoir courage de le dire, poursuit Patrick Genre. Ce nʼest pas une action qui réglera les problèmes mais une palet- te dʼactions.” Pour le cas de lʼindividu qui menace les commer- çants, le maire sʼavoue impuissant : “Nous demandons aux com- merçants de déposer des mains courantes. Ces pièces doivent permettre dʼalimenter un dossier. À lʼheure actuelle, nous nʼavons aucune raison, aucun droit, de lʼinterpeller.”

Des commerçants signent une pétition contre un Pontissalien jugé menaçant SÉCURITÉ Ils disent “stop” Bien connu des services de police, un homme d’une quarantaine d’années intimide des commerçants depuis plusieurs mois. Exaspérés, ces derniers ont signé une pétition pour alerter les forces de l’ordre. Crachats, invectives, bagarres : le climat se tend à Pontarlier.

S on image d’Épinal de vil- le “montagnarde tran- quille”, Pontarlier l’aurait-elle perdue ? Invectives, bagarres, menaces

merçants jugent “dangereux”. S’il ne s’agit que d’un individu, bien connu des services de poli- ce, ce cas est révélateur d’une crispation : “De nombreux com- merçants du centre-ville ont déjà été menacés par cette personne qui a l’alcool mauvais, témoigne un représentant de l’association. Son cas relève de la psychiatrie. Nous avons d’abord envoyé un mail à 90 commerçants et ensui- te adressé notre courrier aux forces municipales pour qu’elles prennent conscience…Nous vou- lons les interpeller avant que cet homme ne commette l’irréparable” poursuit l’association. Sans lien avec cette précéden- te affaire, un magasin de vête- ments pour homme situé rue de la République à Pontarlier a embauché temporairement un vigile. La gérante de la boutique et ses salariés en avaient assez des menaces de groupes d’individus squattant la devan- ture du magasin. Dernier méfait en date : l’agression “gratuite” en pleine journée d’un automobiliste. Cinq

L’association Commerce Pon- tarlier Centre a interpellé la mairie et les services de police afin qu’une décision soit prise contre un individu que des com-

verbales, créent un sentiment de peur. Certes, Pontarlier n’est pas Chicago…mais pour la pre- mière fois, des commerçants se mobilisent : ils disent “stop”.

d’évasion au poste : une pre- mière à Pontarlier. De source policière, beaucoup de faits divers ne se sont pas inscrits sur le fichier de la délin- quance parce qu’il n’y a pas eu de dépôt de plainte. Courant mars, les policiers sont inter- venus à la sortie d’un bar pon- tissalien. Ils ont récupéré un homme frappé au sol. Aucun témoin. Pas de plainte. Affaire classée. Autres méfaits, une copropriété devenue le refuge d’un groupe de jeunes ou enco- re ces intimidations à l’entrée de la bibliothèque municipale. Pontarlier a perdu de sa tran- quillité. Le maire espère la retrouver… E.Ch.

individus ont frappé sur la car- rosserie de sa voiture immobi- lisée au stop de la rue de la Répu- blique. L’homme, à peine descendu de son véhicule, a été

roué de coups. Il était 18 heures Les passants - pourtant pré- sents - n’ont pas bougé. La police a interpellé un individu (mineur), recon- nu par la victi- me. Conduit au poste, il s’est échappé avant d’être rattrapé in extremis . Une tentative

Une solution trouvée pour faire déguerpir une bande de jeunes : ouvrir les deux portes de la bibliothèque plutôt que les refermer.

“Avant qu’il ne commette l’irréparable.”

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Pour s’offrir ces biens d’exception, il faut au moins débourser 500 000 euros. Certains atteignent presque le million. Visite guidée avec La Presse Pontissalienne.

Demeures d’exception : un marché de niche Immobilier Plus de 500 000 euros Le marché des demeures d’exception est spécifique. Il intéresse une clientèle exigeante, qui a la surface financière pour acheter, mais qui ne court pas les rues.

L e marché des belles demeures est un marché de niche dans lequel s’engouffrent des acqué- reurs exigeants, prêts à débour- ser plusieurs centaines de milliers d’euros pour un bien de caractère. Dans cet environnement, les attentes sont différentes. Si des clients cherchent plutôt une habitation de charme en vieilles pierres, qui traverse les âges sans perdre son cachet, d’autres au contraire sont attirés par des maisons d’architecte ultra-modernes. Florence Spiesser, responsable de l’agence Haut- Doubs Conseil Immobilier, côtoie les deux types de clients. Elle a fait de la vente de fermes comtoises une de ses spécialités. Ce sont des biens rares. Rénovés ou pas, ils sont prisés. “Un client qui cherche une ferme comtoise

Ces maisons, symboles du patrimoine bâti local, ne sont pas légion sur le marché de l’immobilier. Les amateurs scrutent les annonces avec attention. “Ce sont des gens aux aguets. Il y a deux sortes de clients : des personnes du cru qui rêvaient depuis longtemps de vivre dans une ferme, et des C.S.P. plus” observe la responsable de l’agence Haut-Doubs Conseil Immobilier. En moyenne, il faut débourser entre 500 000 et 1 million d’euros pour une ferme comtoise située sur la bande frontalière. Florence Spiesser accom- pagne aussi des acquéreurs en quête d’une habitation moderne dans laquel- le ils sont prêts à mettre le prix. “Il y a une demande discrète pour de l’ultra- moderne. C’est une clientèle qui veut être en ville” dit-elle. Beaucoup de professionnels s’accordent pour dire que ce marché des belles demeures est moins fluctuant que le marché de l’immobilier traditionnel. La publicité autour de ces biens est plus ciblée et utilise des canaux sou- vent différents pour toucher les clients potentiellement intéressés. “Pour vendre ce genre de bien, logiquement, les délais sont toujours un peu plus longs. Il faut trouver les personnes qui ont les capa- cités d’acheter, et également, d’entretenir. Sur certaines bâtisses, l’entretien peut

est en quête de tran- quillité. Il faut de préfé- rence qu’elle soit isolée. Si la ferme est dans le périmètre d’un lotisse- ment, même si il y a 50 ares de terrain, elle est plus difficile à vendre. Nous travaillons avec des clients qui ont des moyens mais qui ont des exigences” explique Flo- rence Spiesser.

“Le nombre de visites sera beaucoup plus réduit.”

Cette maison moderne, située dans le Haut-Doubs pontissalien fait partie des demeures d’exception avec son jardin d’hiver et sa piscine enterrée. (Agence Century 21 Pontarlier).

l’agence Élixim. Il arrive aussi que l’intérieur de ces habitations ne soit pas à la hauteur de l’enveloppe. Sauf à revoir le prix à la baisse, ces biens peuvent rester long- temps sur le marché. T.C.

le bien, mais les délais sont plus courts. Pour les biens d’exception, les délais seront plus longs mais le nombre de visites sera beaucoup plus réduit. Les visiteurs ciblent beaucoup mieux les biens susceptibles de les intéresser” complète Emmanuel Guinchard de

atteindre plusieurs dizaines de mil- liers d’euros par an, notamment à cau- se des extérieurs” note ce profession- nel local de l’immobilier. Le nombre de visites est aussi plus réduit. “Sur les biens classiques, en général, il y a des dizaines de visites avant de vendre

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Ferme rénovée à hautes potentialités Ferme Près de 500 m 2 habitables Une ferme comtoise totalement rénovée dans un petit village au calme à 20 minutes de Pontarlier. Pour s’offrir cette propriété posée sur 82 ares de terrain, il faudra débourser 567 000 euros.

L’intérieur a été rénové, dans le respect de la tradition comtoise.

Spacieuse,moderne et pleine de confort Secteur Houtaud 240 m 2

La piscine de 12 mètres par 4 est chauffée par aérothermie.

L’originalité d’une maison ne réside pas forcément dans son architecture, son emplacement ou encore ses dimensions. La preuve avec cette demeure qui s’apparente à un petit complexe de loisirs.

L’ agence Élixim propose une belle ferme rénovée située à 20 minutes de Pontarlier en direction de Besançon,et à 10 minutes deValdahon.Le principal atout de cette vaste propriété de 14 pièces (avec 5 grandes chambres,dont une sui- te parentale), c’est non seulement sa surface habitable - 380 m 2 - mais aussi et peut-être surtout son vaste terrain de 82 ares. “En plus de la partie habi- table, il y a un appartement de 110 m 2 qui peut être relié à la partie principa- le, ce qui peut donc faire 500 m 2 habi- tables au total. Le bien dispose aussi d’une piscine de 12 mètres par 4, chauf- fée par aérothermie” décrit Emmanuel Guinchard, le responsable de l’agence Élixim. Le terrain est un grand verger d’arbres fruitiers. La propriété dispose également de six boxes à chevaux avec sellerie. “Les amateurs de chevaux peu- vent aussi louer des terrains juste à côté. Ce bien correspondrait évidemment par- faitement à quelqu’un qui a des che-

D ire qu’elle n’a pas de style serait mentir. Sa façade principale moderne et har- monieuse témoigne d’une recherche de forme élaborée qui lui confère un cachet indéniable. Elle est aussi plantureuse dans ses volumes et offre pas moins de 240 m2 habitable avec un vaste salon-séjour- cuisine, deux salles de bains grand standing, quatre chambres, un double garage. La maison famille nombreuse par excellence. Jusque- là, des caractéristiques qu’on retrou- ve ailleurs sans qu’il soit question

de rareté. L’exception se traduit déjà par une belle piscine intérieure où parents et enfants peuvent batifoler toute l’année. L’installation de chauffage géothermie adoucit la facture éner- gétique des contraintes d’une pis- cine chauffée. Dans le jardin se trou- ve un jacuzzi extérieur. Les propriétaires ont choisi d’équiper la salle de jeu d’un projecteur en aménageant la pièce en conséquence. Comme au cinéma… Ce bien est commercialisé par l’agence pontis- salienne de Bersot immobilier.

vaux.” Affichée à 567 000 euros, cette proprié- té exceptionnelle est en vente depuis un an environ. Un délai tout à fait normal selon Emmanuel Guinchard : “Pour vendre ce type de bien très spécifique, il peut falloir deux ou trois ans. Il faut jus- te trouver les bonnes personnes.En géné- ral, il n’y a pas des dizaines de visites, mais les visites sont toujours très ciblées. Je ne fais pas de souci, ce bien sera ven- du.” Sans doute pas au premier venu. Le profil-type de l’acheteur, c’est un grand chef d’entreprise ou encore un étranger qui souhaiterait y aménager des gîtes. Des Anglais se sont intéres- sés à cette propriété récemment, sans pour autant donner suite. À côté du vaste terrain de 82 ares, il y a encore la possibilité de louer des terres pour les chevaux.

La façade dénote un travail d’architecte à la recherche de lignes harmonieuses et contemporaines.

Avec son style bien à lui, le salon séjour ne manque pas de personnalité.

Cuisine équipée dernier cri.

Une ferme inspirée Secteur Orchamps-Vennes Coquet logis taille XXL Refaire du neuf avec de l’ancien n’est pas chose facile. Quelques restaurations de fermes comtoises sortent franchement des sen- tiers battus sans perdre de leur authenticité. Exemple.

“O n dit que c’est la plus belle ferme du pays” , sourit lamaîtresse des lieux. Après avoir fait le tour,effectivement,on ne doit pas être trop éloigné de la réalité pour qui aime bien sûr les fermes comtoises. Le véné- rable tilleul agrémenté aujourd’hui d’une coquette cabane veillerait sur la bâtis- se depuis plus de 250 ans. C’est dire qu’elle en a vu passer des familles de montagnons. Les derniers occupants l’ont transfor- mée de fond en comble avec goût et beau- coup d’imagination. Bâtisseur plein de ressources, son propriétaire n’a eu de cesse de faire de cettemasure un coquet logis taille XXL.L’ancienne étable a lais- sé place à une pièce à vivre chaleureu- se, confortable et pleine de trouvailles. Les bardages d’une vieille talvanne déco- rentmaintenant les façades desmeubles de cuisine. Le résultat est superbe. À l’extérieur,l’ancienne fosseàpurind’abord transformée en piscine est aujourd’hui occupée par un petit étang qui confère

un charme tout aquatique à l’ensemble. Ici, la vie n’est que cabanes. Cabanes dans les arbres, cabane pour déguster la fondue entre amis, cabane sauna, cabane qui abrite aussi le bain nordique. La ferme est suffisamment vaste pour abriter plusieurs appartements sans être à l’étroit. Le plus vaste dispose d’un chauffage auxgranulés bois.Dans chaque pièce, on retrouve la patte du bricoleur : traîneau transformé en lit, planches de grange utilisées pour faire un rocking- chair ou qui servent de marche d’escalier…Une ferme comtoise pleine de surprises.

Vue sur l’un des appartements créé de toutes pièces à la grange. Prendre un bain nordique en toutes saisons, ici c’est pos- sible.

Cette ferme est perdue en pleine nature.

L’ÉVÉNEMENT

La Presse Pontissalienne n° 174 - Avril 2014

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Arc-sous-Cicon

460 000 euros

Ferme à prix d’or

Réseau immobilier, filiale du Crédit Agricole de Franche-Comté, nous recrutons pour notre agence de Pontarlier Un(e) Conseiller(e) en Gestion Locative Nous vous offrons la force d’un réseau national, les moyens et les partenariats pour développer notre activité, des formations et de réelles perspectives d’évolution dans la gestion locative immobilière. Vous êtes dynamique, organisé(e) et doté(e) d’une grande déontologie professionnelle ? Rejoignez-nous ! Pourvu(e) de vraies qualités commerciales, vous justifiez d’une expérience

au pied du Crêt Moniot

D eux solutions avec cette demeure installée à Arc- sous-Cicon : vous investis- sez ou profitez de l’espace. Totalement rénové par les propriétaires, ce corps de ferme typique du Haut-Doubs, à la frontière avec le pays sauget, accueillait jusqu’à présent les touristes l’été et l’hiver. Ferme deve- nuemaisond’hôtes et gîte,elle est aujour- d’hui à vendre. Les 460 000 euros affichés s’expliquent Cette ferme entièrement rénovée dispose de mensu- rations exceptionnelles avec un salon séjour de 47 m 2 , une pièce à vivre de 45 m 2 . Elle servait jusqu’à présent de gîtes et maison d’hôtes.

Envoyer CV + lettre de motivation à : soniaseyranian@squarehabitat.fr

Bien exposée, la ferme est installée à Arc-sous-Cicon. Ses propriétaires l’ont transformée en gîte.

par la taille et la qualité des matériaux. Cette ferme située non loin des pistes de ski de fond comprend une cuisine meublée, un salon-séjour de 47m², sept chambres dont quatre avec salle de bains et W.-C., un bureau, une pièce à vivre de 45m², une buanderie, un gara- ge double et autres dépendances… Le tout sur 24 ares de terrain. Assez bien classée sur le plan énergé- tique, cette maison se chauffe au bois, fuel et géothermie. C’est l’agence Val- dahon Immobilier qui gère la vente. “Pour ce genre de bien, il faut compter un délai un peu plus long pour la ven- te” admet une conseillère immobiliè- re.

Une cuisine alliant le moderne à l’ancien.

derniers investissent moins que ces précédentes années en France. Elle pourrait également séduire des per- sonnes souhaitant vivre du tourisme.

Si elle peut intéresser des locaux, l’habitation pourrait plaire à des étran- gers, Suisses notamment, même si ces

Le salon et sa décoration de type chalet.

C’est ferme et définitivement authentique Saugeais Un parc de 40 ares

est fonctionnel et habitable même si quelques aménagements s’imposent encore pour retrouver l’accord parfait encore modernisme et temps jadis. Les deux tuyés prolongent leur course dans la grange cathédrale avec sa charpen- te qui témoigne encore du savoir-faire des montagnons bâtisseurs. “On trou- ve de moins en moins ce genre de ferme en si bon état. Ce bien s’adresse à une clientèle particulière et relève typique- ment d’un coup de cœur.”

Le Haut-Doubs recèle encore de superbes fermes com- toises. Celle-ci se distingue par son double tuyé, sa piscine chauffée en plein air et son emplacement exceptionnel.

Cette ferme comtoise dispose d’un superbe emplacement avec une vue imprenable sur les contreforts saugets.

“L’ emplacement, l’emplacement, rence Spiesser de l’agence Haut-Doubs Conseil Immobilier en évoquant le cadre unique cette belle ferme comtoise plan- tée au cœur du Saugeais. Vue dégagée à 180° sans voisin à la ronde, les ama- teurs de calme apprécieront un bien qui jouit également d’une superbe expo- sition plein sud. Le rêve jurassien en quelque sorte perché à 1 000 mètres d’altitude. l’emplacement” , mar- tèle en souriant Flo-

La construction de cette ferme remon- te à la Révolution comme le confirme la plaque à l’entrée d’une des deux fours à pains. C’est d’ailleurs l’originalité de cette vaste bâtisse qui dispose égale- ment de deux tuyés en parfait état de fonctionner. “Tout était conçu pour abri- ter deux familles.” La ferme s’inscrit dans un parc de 40 ares et dispose aussi d’une piscine exté- rieure chauffée. L’intérieur abrite de belles pièces dont certaines portent encore les boiseries qui font le charme des fermes comtoises authentiques.Tout

Dans la grange cathédrale, on retrouve les deux tuyés et les deux ponts de grange de cette ferme qui abritait deux familles.

Une piscine chauffée est construite à l’arrière de la ferme.

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La vue sur le lac a un prix Saint-Point-Lac 630 000 euros

Une demeure exceptionnelle du XVI ème siècle Vallée de la Loue Un parc d’1 hectare

Ce chalet construit il y a 22 ans est mis en vente

L a vallée de la Loue compte beaucoup de belles demeures. L’une d’elle est à vendre sur la commune de Scey-en-Varais à quelques kilomètres d’Ornans. “C’est un véri- table havre de paix” annonce l’agence Schnei- der de Besançon qui la commercialise. la mai- son cossue en vieille pierre date de du XVI ème siècle. Elle dispose de 300 mètres carrés habitables. L’espace se décompose en plusieurs pièces de réception, quatre grandes chambres et trois salles de bains. Les combles sont aménageables. À l’extérieur, il y a des dépendances et une pis- cine. La demeure trône au milieu d’un parc d’1 hectare à deux pas de la Loue. Ce terrain arbo- ré et clos d’un mur est constructible. La valeur de ce bien est inférieure à 900 000 euros.

par un particulier depuis le début de

“S i des personnes sont allergiques au bruit des cloches de vaches, ce n’est pas pour eux” s’amuse Yves Lehmann, le propriétai- re. Son chalet érigé en 1992 sur les hauteurs de Saint-Point- Lac baigne dans le calme et la verdure. Seuls les tintements des clarines troublent cette quié- tude… qui a un prix : comptez 630 000 euros pour vous offrir ce bien avec vue magnifique sur le lac Saint-Point. “Il était estimé à 600 000 euros il y a 3 ans, explique le propriétaire qui l’année. Récemment rénové, il surplombe le lac Saint-Point.

Un chalet rénové par les pro- priétaires.

acheteurs semblaient discrets : “J’ai eu quelques appels de per- sonnes qui souhaitent défisca- liser mais rien de concret” pré- cise le propriétaire qui prévoit de publier son bien en Suisse voisine. Bien entretenu (repeint tous les deux ans), ce chalet s’étend sur une surface de 320m 2 habitables, possède trois grands garages, deux abris de jardins, une piscine couverte et chauffée.

se sépare de cette bâtisse pour des raisons de santé. Depuis, nous l’avons aménagé et moder- nisé avec par exemple une chau- dière à granulés plutôt que du gaz” dit-il. Le propriétaire qui a publié son bien sur un site de vente en ligne bien connu a préféré ne pas s’adjoindre - pour l’instant - les services d’une agence immo- bilière. “Il n’y a donc pas de frais d’agence” poursuit-il. Les

Les dépendances de la maison.

Il y a 300 mètres carrés de surface habitable et les combles sont amé- nageables..

La vue sur le lac Saint-Point de lapiscine couverte et chauffée.

PONTARLIER

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La Presse Pontissalienne n° 174 - Avril 2014

EN BREF

SPORT

Un match couperet

Le foot rit, le rugby pleure Même nom mais destins différents pour les deux C.A.P. Les footballeurs

Vacances Vous êtes parents et vous résidez sur le territoire de la C.C.L. : venez inscrire vos enfants aux ateliers et stages A Tous Sports le mercredi 2 avril au théâtre Blier de 8 h 30 à 12 heures Nouveau : La ferme pédagogique “La Batailleuse” sera présente pour présenter ses animations. Les inscriptions se poursuivront dans les locaux du service Politique de la Ville. Tarif unique pour 2014 : 5 euros par enfant et par stage. Pour les résidents hors C.C.L. : inscriptions à partir du mercredi 9 avril dans les locaux du service Politique de la Ville. Tarif unique pour 2014 : 10 euros par enfant et par stage. Renseignements au 03 81 38 82 46. Dino-Zoo Grande chasse à l’œuf le week-end de Pâques au parc Dino-Zoo de Charbonnières-les- Sapins. En collaboration avec la maison Coquy, 20 000 œufs en chocolat, 16 000 œufs pour les omelettes. Un œuf géant de dinosaure en chocolat à gagner chaque jour d’une valeur de 180 euros. Et le grand show T-Rex expérience, un face à face incroyable

L es rugbymen pontissaliens n’ont plus leur destin entre les mains. S’ils gagnent leur dernier mat- ch à domicile dimanche 20 avril et que dans le même temps leur concurrent direct au maintien Mont- mélian s’impose, ils seront relégués en Fédérale 3. Jean-Louis Gagelin le pré- sident veut croire à un signe du destin : “Tout est encore possible. Nous allons retrouver pour ce dernier match une par- Le match de dimanche 20 avril sera couperet. sont premiers de C.F.A. 2 et les rugbymen proches de la relégation.

L’attaquant de Pontarlier Julien Schulzendorf peut avoir le sourire : le C.A.P. joue la montée (photo archives L.P.P.).

tie de nos blessés dont Teddy Parisot (3 ème ligne aile) et Steven Dechar- rière (pilier) notam- ment.” Pontarlier, qui ne maî- trise plus son destin, peut se mordre les doigts : “Au premier tiers du championnat, nous pensions aux play- offs, se remémore Jean- Louis Gagelin. Puis, on a commencé a parlé du maintien…” Une chu- te qui s’expliquerait,

en partie, au nombre de blessés : 12 joueurs, dont la plupart étaient des cadres de l’équipe. “Notre équipe est moins for- te physiquement et les joueurs qui ont remplacé les blessés sont fatigués” dixit Jean-Louis Gagelin. Si le C.A.P. rugby venait à s’incliner sur le terrain, il res- te un espoir du côté administratif. Certes, ce n’est pas un repêchage le plus glo- rieux, mais Pontarlier y pense : “Un dos- sier va être déposé car nos finances sont saines.” Pontarlier pourrait ainsi prendre la pla- ce d’une équipe de Fédérale 3 dont les

finances seraient bancales. Les hommes d’Alexandre Farina ont déjà connu pareille situation : rétrogradée il y a trois ans en Fédérale 3, l’équipe était parvenue à remonter la même année. Une descente n’est jamais sans réper- cussion : financièrement, les subven- tions de la Ville diminueraient de 20 000 euros. Chez les “footeux”, c’est le sentiment inverse. Les hommes de Jean-Luc Cour- tet ont créé la surprise. Ils sont premiers du championnat de C.F.A. 2 (équivalent de la cinquième division) à égalité de

points avec trois grosses écuries : la réserve professionnelle de Troyes, celle de Nancy et Metz. Les Pontissaliens sont premiers à la différence de buts.Meilleu- re défense du championnat (13 buts encaissés), le C.A.P. enfile également les buts avec son trio d’attaquants. La sai- son n’est toutefois pas terminée : deux déplacements attendent Samuel Vieille et ses coéquipiers. Le prochain match à domicile se déroule samedi 26 avril au stade Paul-Robbe (18 heures). Les sup- porters, du foot, ou du rugby, ont enco- re l’occasion de donner de la voix…

“Reste la chance administrative.”

avec un dinosaure. Renseignements au 03 81 59 27 05.

État civil de mars 2014

20/03/14 – Léonie de Thomas DURHÔNE, chauffeur et de Anaëlle CLERC, gouvern 20/03/14 – Maxence de Stéphane DE MIJOL- LA, responsable logistique et de Marie ORSET, responsable recrutement. 23/03/14 – Théo de Romain RENAUD, salarié agricole et de Amélie ROUSSELET, sans pro- fession. 22/03/14 – Sarah de Yohann DAVAL, cuisinier et de Donalie VUEZ, secrétaire médicale. 22/03/14 – Élian de Sylvain MEIGNIER, moni- teur en maison familiale et de Eve-Claire ANDRE, orthophoniste. 23/03/14 – Louise de Mickaël JEANNINGROS, charpentier menuisier et de Marie-Céline BEZ, sans profession. 24/03/14 – Joséphine de Mathieu JAVAUX, commercial automobile et de Maude BOLE, coiffeuse. 24/03/14 – Milo de Mathieu PERROT-AUDET, paysagiste et de Hélène BECQUART, aide soi- gnante. 24/03/14 – Alice de Frédéric GUIBELIN, infir- mier et de Delphine KRAWIEC, aide soignan- te. 25/03/14 – Léonel de Antoine MONTENOT, plombier chauffagiste et de Cyrielle CHATE- LAIN, aide médico-psychologique. 25/03/14 – Emma de Antoine CHARLES, concepteur vendeur et de Caroline CHEVREY, vendeuse. 25/03/14 – Alicia de Bertrand GLORIEUX, chauffeur et de Marie BONNEFOY, aide soi- gnante. 25/03/14 – Roze de Quentin SIRE, ouvrier poly- valent et de Sarah CAREL, étudiante en comp- tabilité. 25/03/14 – Nino de Sébastien MONNOT, bou- langer et de Sandy PARRIAUX, éducatrice spé- cialisée. 25/03/14 – Olivia de Lionel CHARTIER, major- dome et de Laura PERRIN, réceptionniste. 25/03/14 – Sirrine de Housin SALHI, chauffeur de bus et de Samia LAOUAR, sans profession. 25/03/14 – Juliette de Florian VOINET, chef de projet en agencement et de Elise ALLAZ, comp- table. 26/03/14 – Kevin de Samir PROSJANOVIC, employé municipal et de Hajrija MANJGAFIC, hôtesse de caisse.

26/03/14 – Gabin de Michaël FORTRYE, édu- cateur et de Stéphanie DANEZIS, gestionnai- re d’établissement de santé. 26/03/14 – Alix de Loïc MILESI, magasinier- cariste et de Elodie JACQUET, ouvrière en fro- magerie. 26/03/14 – Marius de Guy ORDINAIRE, fac- teur et de Camille ZAHND, agent d’exploitation. 26/03/14 – Léa de Thibaud GUINCHARD, ouvrier agricole et de Emmanuelle SCHALLER, sans profession. 26/03/14 – Alice de Maxime BERNARD, opé- rateur de production et de Anne CUINET, labo- rantine. 27/03/14 – Océane de David BRESSAND, coiffeur et de Claudia COQUELLE, assistante sociale. 27/03/14 – Livia de Nicolas GAVIGNET, aide soignant et de Mélanie STELLACCI, assistan- te maternelle. 27/03/14 – Thomas de Pierre-Antoine GUE- NOT, chef de projet et de Florence CHEVAL- LIER, assistante service après-vente. DÉCES 02/03/14 – Denise JACQUIN, 85 ans, retrai- tée, domiciliée à Arc-sous-Montenot (Doubs) veuve de Laurent GRILLON. 05/03/14 – Hélène VIEILLE, 71 ans, retraitée, domiciliée à Grand’Combe-Châteleu (Doubs) épouse de Maurice CÔTE-COLISSON. 06/03/14 – Pierre MORILHAT, 94 ans, retraité, domicilié à Rochejean (Doubs) veuf de Angè- le GRILLET. 07/03/14 – Marcel CLERC, 90 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs) époux de Marie TODESCHINI. 08/03/14 – André JEANNIN, 92 ans, retraité, domicilié à Orchamps-Vennes (Doubs) époux de Cécile GALLOIS-GARREIGNOT. 08/03/14 – Gérard DESPREZ, 85 ans, retrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Antoinette GIGANDET. 10/03/14 – Agathe PETITE, 91 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Ray- mond PAULIN. 11/03/14 – Roland DELACROIX, 86 ans, retrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Henriette MICHEL. 11/03/14 – Michel BENEDINI, 69 ans, retrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Marguerite SIMON.

14/03/14 – Emile WAKENHUT, 81 ans, retrai- té, domicilié à Les Fins (Doubs), veuf de Juliet- te MASNERI 15/03/14 – André TAILLARD, 85 ans, retraité, domicilié à Villers-le-Lac (Doubs), célibataire. 15/03/14 – Marceau LONCLE, 82 ans, retrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs). 16/03/14 – Louisette BARILLOT, 71 ans, retrai- tée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Jean FAVEAU. 14/03/14 – Pierre PARROD, 82 ans, retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Deni- se LAITHIER. 15/03/14 – Georges PERNET, 92 ans, retraité cultivateur, domicilié à Goux les Usiers (Doubs), veuf de Suzanne POURCHET. 15/03/14 – André GRÉCO, 68 ans, retraité chauffeur, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Marie-Louise SALVI. 17/03/14 – Bernard PICARD, 74 ans, retraité, domicilié à Boujailles (Doubs), époux de Gisè- le VIEILLE-GIRARDET. 20/03/14 – Maurice MINARY, 89 ans, retraité magasinier, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Colette PEYRETON. 22/03/14 – Charles MARÉCHAL, 86 ans, retrai- té, domicilié à Andelot-en-Montagne (Jura), époux de Marie DUBOZ. 24/03/14 – Edouard LECOULTRE, 88 ans, retrai- té, domicilié à Foncine-le-Haut (Jura), veuf de Carmen JEANNIN. 25/03/14 – Michel SAILLARD, 69 ans, retrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Marlène PASQUET. 25/03/14 – Léon RONOT, 96 ans, retraité, domi- cilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Andrée GUYON. 26/03/14 – Raymond LÉPINE, 82 ans, retrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Fernande VUILLAUME. 26/03/14 – Victor ANDRÉ, 92 ans, retraité, domicilié à Bulle (Doubs), époux de Geneviè- ve RIFFIOD. 26/03/14–JoséVIEGASMIGUENS,60ans,maçon, domicilié à Pierrefontaine-les-Varans (Doubs). 27/03/14 – Edouard PELLEGRINI, 87 ans, retrai- té éducation nationale, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Thérèse BEDAT. 30/03/14 – Roger BEAUSERGENT, 85 ans, retraité agent technico-commercial, domicilié à Chaudron, Montperreux (Doubs), époux de Micheline DELACHAUME

NAISSANCES 24/02/14 – Armand de Olivier RATTE, régleur dessinateur et de Marie GIRARDET, assistan- te gestion locative. 02/03/14 – Liam de Nicolas LOIDREAU, sala- rié agricole et de Idaline LOUVRIER, assis- tante de production. 28/02/14 – Elie de Thomas SPRUNCK, opé- rateur et de Mathilde CHOUX, laborantine. 01/03/14 – Maëlice de Mickaël MOUGET, maga- sinier vendeur cariste et de Pauline GRAPPIN, agent de service hospitalier. 02/03/14 – Tyméo de Prescillia REMONNAY, sans profession. 03/03/14 – Noah de Jérôme HEITMANN, chauf- feur mécanicien et de Sabrina PANTALEO, sans profession. 03/03/14 – Mathis de Jean-François BULLE, sans profession et de Emmanuelle VICAIRE, sans profession. 03/03/14 – Sacha de Vincent PROST, conseiller décorateur et de Mélanie LENZI, infirmière. 03/03/14 – Lenny de Julien GRIFFOND, ouvrier travaux publics et de Sabine BOBILLIER, ouvriè- re en horlogerie. 04/03/14 – Leny de Yohann DUBAIL, boulan- ger pâtissier et de Lucie BONNOTTE, infir- mière. 01/03/14 – Clémence de Marc LAVRUT, enca- dreur et restaurateur de peinture et de Marie- Eve BOIVIN, sans profession. 02/03/14 – Léo de Alexis RIEU, infirmier et de Sabrina APRILE, infirmière. 04/03/14 – Jennifer de Olivier COURDIER, maçon et de Nadine MICHEL, assistante de direction. 04/03/14 – Benjamin de Flavien HENRIET, sala- rié agricole et de Amélie GAGNEPAIN, employée commerciale. 04/03/14 – Laura de Thomas VERNEREY, opé- rateur sur commandes numériques et de Marion PERSONENI, fleuriste. 04/03/14 – Marlène de Jean-Louis ROY, fro- mager et de Reine MAMET, agricultrice. 04/03/14 – Mathis de Aurélien THIEBAUD, entrepreneur travaux publics et de Adeline PERROT, aide-soignante.

04/03/14 – Johan de Frédéric LINOTTE, tech- nicien et de DE TREY Lila, sans profession. 05/03/14 – Eliott de Romain LANGLOIS, pré- parateur en agroalimentaire et de Stéphanie GUYOT, animatrice en périscolaire. 06/03/14 – Georgiane de Philippe GOUGET, électricien et de Karine WASYLCZYK, agent des services hospitaliers. 06/03/14 – Léa de Thomas SCUDELLER, opé- rateur de production et de Julie BLONDEAU, orthophoniste. 06/03/14 – Noémie de Yannick PAYET, ouvrier et de Mélanie PELAY, diététicienne. 07/03/14 – Nayana de Jacques WARLET, cou- vreur zingueur et de Sandra NICOD, auxiliai- re de vie scolaire. 07/03/14 – Violette de Jean-Luc ROLOT, chauf- feur poids lourds et de Nathalie ROY, respon- sable de magasin. 08/03/14 – Lena de Simone PAGLIAI, méca- nicien monteur et de Nadège GIRARD, employée commerciale. 08/03/14 – Juliette de Nicolas BENARD, cui- sinier et de Sandra JACQUET-PIERROULET, ouvrière. 08/03/14 – Serena de Slavko JOVICIC, ouvrier polyvalent et de Laurie-Anne LE COSSEC, sans profession. 09/03/14 – Zoé de Julien BOLE DU CHOMONT, mécanicien et de Jessica PARIS, responsable de magasin. 09/03/14 – Lucie de Romaric PLAISSE, conduc- teur d'engins et de Bénédicte LANQUETIN, comptable. 10/03/14 – Cléa de Christophe MARION, tech- nicien en microtechnique et de Céline MÄR- ZENDORFER, préparatrice en pharmacie. 10/03/14 – Océane de Philippe PARIS, agri- culteur et de Sonia GUINCHARD, ouvrière en horlogerie. 10/03/14 – Éline de Bruno RAGUIN, restaurateur et de Anne-Suzy CHARMETTE, restauratrice. 10/03/14 – Charlotte de Rodolphe MENETRIER, scieur et de Julie MOREL, conseillère en éco- nomie sociale et familiale. 10/03/14 – Livia de Jean-Baptiste GAUTHIER, horloger et de Leslie MULLER, employée de commerce.

11/03/14 – Manon de Christophe JEANNE- ROD, pompier professionnel et de Céline THIOL- LET, professeur des écoles. 12/03/14 – Mohamedrayan de Said SAIS, ouvrier travaux publics et de Imane MKHIBACH, sans profession. 12/03/14 – Nohan de Illan PASTEUR, ouvrier et de Coralie NEVEU, employée restauration. 12/03/14 – Sacha de Vincent THOR, employé de distillerie et de Céline SULPIZIO, techni- cienne de laboratoire. 13/03/14 – Anaël de Alexis BRESSAND, ouvrier de scierie et de Audrey LOMBERGET, infir- mière libérale. 13/03/14 – Elise de Sylvain GÉHANT, techni- cien et de Karine TRIBUT, aide médico-psy- chologique. 13/03/14 – Serkan de Osman SAGLAM, ouvrier et de Esma ÇAKIR, sans profession. 13/03/14 – Callen de Bruno PALMA, décolle- teur horloger et de Corinne GRUET, ouvrière spécialisée. 13/03/14 – Louna de Benoit JOUSSAUME, menuisier ébéniste et de Frédérique VOU- THIER, employée de banque. 16/03/14 – Chris de Bastien MOUREAU, tech- nicien et de Anne-Laure BAROUDEL, profes- seur d’anglais. 16/03/14 – Nohan de Frédéric SANTAGATA, opérateur sur commande numérique et de Marie PARROD, sans profession. 17/03/14 – Margaux de Julien LAGARDE, chef de projet industrialisation et de Ketty RIVIE- RE, chef de produit. 17/03/14 – Ilkay de Mustafa AKCAY, opéra- teur et de Hicran UZUN, sans profession. 17/03/14 – Émeric de Etienne TORRESANI, infirmier et de Cécile BRUGEROLLE DE FRAIS- SINETTE, sans profession. 18/03/14 – Augustin de Hervé LAMBERT, affi- neur fromager et de Julie BULLIARD, contrô- leur de gestion. 18/03/14 – Soline de Emmanuel TROUTET, agent territorial et de Magalie MICHEL, secré- taire médicale. 19/03/14 – Mila de Tuncay BALCI, décorateur - angleur et de Céline MATRAT, responsable de rayon.

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