Journal C'est à Dire 94 - Novembre 2004

Le journal gratuit du Haut-Doubs

24 novembre 2004 N° 94

Le journal du Haut-Doubs

5 BIS , G RANDE R UE - B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX - T ÉL . 03 81 67 90 80 - F AX 03 81 67 90 81 I NFORMAT ION - R ÉDACT ION - PUBL I C I TÉ - ANNONCE S

Téléthon 2004 : tout le Haut-Doubs se mobilise ise

S O M M A I R E

Lotissement Huguenotte à Morteau : les travaux engagés à partir de 2005. Environ 170 logements devraient être disponibles sur ces terrains viabilisés en partie par la S.E.D.D. La plupart des constructions seront des maisons individuelles. (page 4) Montlebon : le centre commercial est en bonne voie. C’est sur l’actuel terrain de boules que doit être édifié le futur centre commercial de la commune. Pour que le projet municipal aboutis- se, il faut encore régler quelques détails. (page 4) Canons à neige : le potentiel du Val de Morteau serait insuffisant. Ce sont les conclusions d’une étude lancée par la communauté de com- munes. L’investissement à consentir serait bien inférieur aux retombées espérées. (page 6) La Poste supprime des bureaux. Le Haut-Doubs n’est pas épargné par la fermeture des bureaux de Poste. À l’image des Fins où le bureau permanent a été remplacé par un Point- Poste chez le buraliste. Une dizaine de communes est concernée par de prochaines fermetures. (page 8) Sécurité routière : le carrefour des Usines aux Fins bientôt en travaux. Les plans du futur carrefour à l’intersection des routes de Besançon et de Montbéliard sont prêts. Il n’y aura pas de rond-point à cet endroit. (page 10)

(Dossier pages 13 à 17)

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R E T O U R S U R I N F O

ÉDITORIAL

Moins d’accidents, mais ils sont plus graves

L’actualité bouge, les dossiers évoluent. C’est à dire revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”. D ans notre dernier numéro, nous avions consacré un article à l’enquête menée l’an dernier par la Direction Dépar- tementale de l’Agriculture (D.D.A.) concernant les épandages. Les services administratifs avaient conclu qu’un agriculteur du Doubs sur trois ne profitait pas des périodes propices de l’autom- ne pour vider sa fosse à lisier. La Commission de Protection des Eaux avait même annoncé que des contrôles par avion seraient effectués cet hiver pour repérer tout agriculteur qui enfreindrait cette interdiction d’épandage sur sol gelé ou enneigé. Cette annonce a fait réagir plus d’un agriculteur. “Comment fai- re quand on n’a une fosse de

Élan Voilà comme une entité admi- nistrative peut soudain se révé- ler être un formidable outil fédé- rateur. Avec la “célébration” du Téléthon chaque année, la com- munauté de communes du Val de Morteau forge son identité depuis 8 ans. C’est au tour du “petit dernier”, Le Bélieu, de montrer que la force mobili- satrice ne dépend pas du nombre d’habitants. Les 300 “mange-lards” ont su générer un véritable élan communau- taire de la part des 7 autres loca- lités du Val de Morteau, une nouvelle fois réunies sous la même bannière de la solidari- té. Ainsi se boucle, les 3 et 4 décembre 2004, ce premier “tour du Val” de la générosité. Le Bélieu, village-Téléthon relè- ve le défi. Ceux qui doutent de la capacité d’une si petite com- mune d’endosser les habits de village-Téléthon en seront cer- tainement pour leurs frais : c’est sans doute au Bas-de-la-Chaux que résonnera cette année un des plus forts échos de la soli- darité populaire. Au fil des édi- tions, on a l’impression que les participants à ce défi impulsé sur le plan local en 1996 - déjà - avec Morteau, ville télévisée du Téléthon, dépasse large- ment sa raison d’être, à savoir la mobilisation pour la recherche. Le Téléthon est presque deve- nu la grande fête annuelle de la communauté de communes du Val de Morteau à laquelle s’associent tous ses ressortis- sants. Les clivages entre com- munes sont oubliés, les rivali- tés de clocher enterrées, l’es- prit communautaire l’emporte, donnant là un exemple abouti de ce que devraient être au quo- tidien les relations intercom- munales. À croire que le Télé- thon aurait presque ici une por- tée politique…Sans oublier tout ce qui se fait ailleurs dans le Haut-Doubs, de Maîche à Pier- refontaine, il faut avouer que la dynamique insufflée dans le Val de Morteau ne s’est jamais démentie depuis ce soir de décembre 1996 où les camé- ras de télévision ont planté leurs objectifs sur le Val. Le retour de France 2 en 2005 à Morteau donnerait certainement l’élan supplémentaire pour les 8 pro- chaines années… ! Jean-François Hauser

A près une forte baisse liée à la politique dictée par l’ex- ministre de l’Intérieur Nico- las Sarkozy, le nombre de morts sur les routes de France a tendance à croître de nouveau. Dans le Doubs, à en croire les statistiques avancées par l’escadron départe- mental de la sécurité routière, on assiste au contraire à une légère baisse. Entre le 1 er janvier 2003 et le 31 octobre de cette même année, 264 accidents ont été recen- sés soit 44 tués et 342 blessés. Sur la même période en 2004, l’E.D.S.R. a enregistré 235 acci- dents soit 40 tués et 235 bles- sés. Entre les deux années, on constate une différence de 29 acci- dents, pour un nombre de tués qui est resté pratiquement stable. “Il y a certes moins d’accidents mais ils sont beaucoup plus violents” constate l’E.D.S.R. Pour cet esca- dron, le principal point noir reste le Haut-Doubs. “C’est là qu’il y a le plus d’accidents graves. Par contre, dans la région de Besan- çon, on assiste surtout à de la cas- se matérielle.” Faut-il pour autant parler de relâchement des auto-

mobilistes qui semblaient prendre l’habitude d’être plus vigilants au volant en levant le pied de l’accélérateur ? L’escadron départemental de la sécurité routière n’est pas aussi catégorique que cela. “On relève moins d’excès de vitesse, le phénomène du téléphone portable au volant tend à diminuer. La plupart des accidents sont avant tout liés à des conditions extérieures comme une chaussée glissante, même si le facteur humain n’est jamais écarté. Globalement, il y a une prise de conscien- ce des automobilistes, il faut voir maintenant si elle se confirme à long terme.” L’escadron départemen- tal de sécurité routière res- te attentif en sillonnant les routes du Doubs. Bientôt, il sera équipé d’un radar mobile pour renforcer encore les contrôles tant dans l’agglomération bisontine que dans le res- te du département. !

Épandages sur la neige : “On n’a pas le choix”

La communauté de communes reprend la patinoire de la combe Saint-Pierre

100 m 3 seulement et que l’on ne peut tenir qu’un mois et demi maximum ?” se demande Daniel Droz-Bartholet, agriculteur à La Chaux-de-Gilley. “Parfois, nous sommes obligés de vider l’hiver, bien que cela soit interdit” pour- suit-il. Pourtant, il existe des aides destinées aux exploitants qui souhaitent se mettre aux normes en changeant leur fosse. Mais tout le monde n’est pas éligible à ces aides. “Le zonage répond à une logique de bassins versants et de sensibilité au milieu natu- rel. Seules les zones où il y a dan- ger d’infiltration dans le milieu aquatique sont prioritaires pour l’attribution des aides” indique François Janex de la D.D.A.

“Nous ne sommes pas en zone classée pour avoir droit aux aides, poursuit l’exploitant de La Chaux. En plus, il faut avoir au moins 90 U.G.B. (unités de gros bétail). Et quand on n’est pas propriétaire, comment fait-on ? Mettre sa fos- se aux normes coûte au moins 22 500 euros. Je veux bien faire une nouvelle fosse mais sans aide, ça risque d’être compliqué. Si la Protection des eaux veut me la payer, je veux bien. J’ai l’impression qu’on cherche vrai- ment à nous faire arrêter l’agri- culture” ironise-t-il. Cet agri- culteur désemparé pose là un vrai problème qui pour l’instant, ne trouve pas de réponse satis- faisante. !

“A près le stade des Tuile- ries et la piscine, il sem- blait assez logique de reprendre cet équipement qui pré- sente comme les autres un inté- rêt communautaire” , souligne Lucien Rondot, le président de la communauté de communes du plateau maîchois. Cette décision a été officialisée par un arrêté pré- fectoral du 30 septembre 2004. Elle entraîne également la disso- lution du S.I.V.U., lequel avait été créé pour financer le projet et en assurer l’exploitation. La moitié de l’investissement avait été prise en charge par Charquemont qui sup- portait 50% du fonctionnement, le reste étant réparti entre les autres communes du S.I.V.U. au prorata du nombre d’habitants. Le trans- fert de compétence à la com- munauté de communes s’inscrit donc dans un souci d’équité. Jus- qu’à présent, il existait un tarif pré- férentiel pour les communes du S.I.V.U. “On ne pouvait pas main- tenir ce dispositif vis-à-vis de celles qui n’appartiennent pas à la com- munauté de communes en sachant qu’elles avaient elles aussi appor- té leur contribution à la création

de la patinoire. Pour éviter toute injustice, on a établi une seule et unique grille tarifaire.” La communauté de communes reprend la gestion du bâtiment d’accueil et de location de patins à glace. “On repart avec le même personnel embauché comme par le passé en contrat saisonnier.” L’an dernier en 3 mois et demi d’ouverture, 6 300 entrées avaient été vendues dont la moitié attri- buée aux centres d’accueil et aux scolaires. “La patinoire est ouver- te depuis le 21 novembre. On pro- pose de nouveau une location de patins gratuite le dimanche matin” , annonce Stéphane Brisebard, res- ponsable des activités sportives et touristiques à la communauté de communes. Pas d’autres nou- veautés à signaler au lancement de cette nouvelle saison. “On devrait connaître d’ici la fin de l’an- née les premiers résultats de l’étu- de d’aménagement du site de la Combe Saint-Pierre” note le pré- sident. Parmi les propositions inventoriées, l’une prévoit de cou- vrir d’un toit la patinoire. Une idée qui pourrait se concrétiser dans les prochaines années. !

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V A L D E M O R T E A U

Morteau

Agriculture

Après deux ans et demi de travaux, tous les apparte- ments et bureaux sont livrés. Il reste deux appartements de grande taille et un local commercial non occupé. “Point du jour” : plus qu’un local commercial disponible

Gare aux épandages d’hiver !

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/· REMHFWLI GH FH QRXYHO LPPHXEOHVLWXpDX%RLV 6ROHLOj0RUWHDX DQFLHQ QH XVLQH$OWHFK HVW GH SURSR VHU ´XQ QRXYHO DUW GH YLYUH HQ IDPLOOHµ GDQV XQ TXDUWLHU FDO PH j SUR[LPLWp GHV pWDEOLVVH PHQWVVFRODLUHV GHVFHQWUHVVSRU WLIV HW FXOWXUHOV HW j SUR[LPLWp GH OD YLOOH ORJHPHQWVVRQWUpSDUWLVGDQV FLVHeOLVDEHWK/DUWHDX GHO·DJHQ FH-HDQ 3LHUUH%HVDQoRQ,PPR ELOLHU ,OV VRQW YHQGXV GH j HXURV OH P µ &{WpEXUHDX[ ORFDX[pWDLHQW DX GpSDUW GLVSRQLEOHV /H SUH PLHUHVWRFFXSpGHSXLVSUqVG·XQ DQ SDU %ULJLWWH %RLOORQ 9LYRW KRPpRSDWKH /H VHFRQG VHUD RFFXSp SDU XQ FDELQHW G·RVWpR SDWKH G·LFLODILQGHO·DQQpH /H WURLVLqPHHVWWRXMRXUVHQDWWHQ WH G·XQ DFTXpUHXU ´&H ORFDO FRQYLHQGUDLWSDUIDLWHPHQWjXQH DXWUH SURIHVVLRQ SDUDPpGLFD OH HVWLPH eOLVDEHWK /DUWHDX GHX[EkWLPHQWV ´,O Q·HQUHVWHSOXVTXH GHX[ GHV JUDQGV DSSDUWHPHQWV GH SOXVGH P SUp

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est édité par “C.H.T. Diffusion” 5 bis, Grande Rue B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 et de la rédaction : Jean-François HAUSER Direction commerciale : Éric TOURNOUX et Éric CUENOT Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction : Thomas Comte, Frédéric Cartaud, Gilliane Courtois, Jean-François Hauser. E-mail : publipresse@wanadoo.fr Directeur de la publication

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Ont collaboré à ce numéro : Jean Hauser (mots fléchés)

Imprimé à I.P.S. - ISSN : 1275-8825 Dépôt légal : Novembre 2004 Crédits photos : C’est à dire, A.F.M., Aldebert, Blues Boys, Damien Jouillerot, Marché de Noël Gilley, Téléthon Maîche et Pierrefontaine.

Villers-le-Lac

Un peu à l’étroit dans ses La fromagerie des Majors fait peau neuve

V A L D E M O R T E A U

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Morteau

Le Val de Morteau en photos Retrouvez dans ce livre plus de 100 photos originales de votre région

d’équipement du département du Doubs)” indique le maire Annie Genevard. Compte tenu de l’ampleur de lotissement et des surfaces en Terrains Huguenotte : la commercialisation démarre Une première tranche de 30 parcelles sera proposée à la vente avant la fin de l’année. L’urbanisation des 12 hec- tares se fera ensuite petit à petit. cialiser en nom propre les 30 premiers lots. Pour le reste, elle va collaborer avec des lotisseurs privés” précise Annie Genevard. La taille des parcelles est de 5 à 10 ares et de 8 à 12 ares.

Le Val de Morteau

L a commercialisation du lotissement des terrains Huguenotte à Morteau va débuter avant la fin de l’année. Il s’agit d’un premier lot d’une trentaine de parcelles proposées à la vente au prix d’en- viron 60 euros le mètre carré. L’urbanisation des 12 hectares de terres situées sur les hau- teurs de la ville entre les Arces

et le Fort Madoux se fera ensui- te petit à petit. Car au total, le projet suivi par la munici- palité de Morteau prévoit la construction de 170 logements. “Pour l’essentiel, il s’agit de mai- sons individuelles. Il y a aura aussi des maisons en bandes et quelques petites copropriétés du “volume d’une grosse fer- me” selon la S.E.D.D. (société

jeu, la mairie coopè- re avec la société d’équipement du département du Doubs (organisme chargé d’épauler

de A… à Z

Le lotissement devrait être

La particularité de ce lotissement clas- sé en zone d’amé- nagement concerté

achevé en 2006-2007.

techniquement les collectivités). C’est elle qui réalise le lotisse- ment. “La ville n’est pas un lotis- seur. La S.E.D.D. va assurer la maîtrise d’ouvrage et commer-

(Z.A.C.) est qu’il n’est pas figé. Le projet prévoit une certaine flexibilité pour mieux répondre aux attentes des acquéreurs. Par exemple, s’il devait y avoir une forte demande pour de la maison individuelle, la construc- tion des maisons en bande pour- rait être éclipsée. Les travaux pour les 30 pre- mières parcelles débuteront au printemps 2005. Le lotissement devrait être achevé en 2006- 2007 selon les échéances annon- cées par la municipalité. Le dos- sier accuse du retard puisqu’à l’origine, la commercialisation des terrains Huguenotte était prévue pour la fin de l’année 2003. Les études importantes et la volonté de la mairie de créer un lotissement qui respecte à la fois des règles paysagères pré- cises et le bien-être des futurs acquéreurs sont les principales explications à ce retard. “Nous ne pouvons pas gâcher ces ter- rains. Il faut tenir compte d’un ensemble de préconisations” pré- cise Annie Genevard. Mais il y a urgence à agir, pour d’un côté atténuer la pression immo- bilière actuelle en répondant à la demande, et de l’autre, il s’agit pour Morteau de fixer la popu- lation sur son territoire. Trop attendre pour proposer des ter- rains à des acquéreurs, c’est prendre le risque de les voir

Photos Didier Jacquot

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aller s’installer dans d’autres communes. “Cette opération est capitale pour Morteau” car il est question du maintien d’une population jeune. C’est aussi l’opportunité pour la munici- palité en place de “rétablir l’équi- libre entre logements individuels (32% du marché) et logements collectifs (67%). Je souhaiterais réduire cet écart.” L’engouement actuel pour la construction de maisons indi- viduelles en particulier tout le long de la bande frontalière où le pouvoir d’achat favorise ce type d’investissement, va dans le sens de la politique dic- tée par la mairie. Les 30 pre- miers lots proposés à la vente

aux terrains Huguenotte devraient trouver preneurs sans trop de difficultés. Il y a déjà une liste d’attente de 80 acquéreurs qui cherchent à s’installer sur les hauteurs de Morteau. La plupart sont ori- ginaires de la communauté de communes du Val de Morteau. Les autres sont d’horizons très différents. Certains sont Suisses, d’autres viennent des Rousses. Les plus éloignés sont de Dun- kerque, preuve de l’attractivi- té du Haut-Doubs étroitement liée à la proximité du territoire helvétique encore plus convoi- té depuis la mise en place des accords bilatéraux. ! T.C.

Le projet prévoit la construction de 170 logements aux terrains Huguenotte.

Le centre commercial est sur les rails Le permis est déposé, les travaux de construction du futur centre com- mercial pourraient commencer au printemps. Mais il reste encore à dépla- cer le club de pétanque “exproprié” dans le cadre de ce projet. Montlebon

L e projet de construction du centre commercial de Montlebon est ficelé. Sur les esquisses, le futur bâtiment situé rue de Neuchâtel, à proxi- mité de l’école et de l’église, a l’allure d’une ferme comtoise ou d’un grand chalet. La surface au sol est de 700 m 2 , avec au rez-de-chaussée 4 commerces. Le dossier prévoit aussi l’amé- nagement de 5 appartements. L’ensemble porté par un inves- tisseur privé de Montlebon est destiné “à être vendu.” Le per- mis est déposé, “on espère pou-

nous demander de partir sans rien en échange. Nous avons besoin de cet espace. Dès qu’on organise un concours, on se retrouve à 250 personnes” indique le président de l’asso- ciation Gilles Bournez. Le mai- re Albert Rognon est sensible aux arguments du club. Le ter- rain de pétanque sera bien déplacé avant d’engager les tra- vaux. “Nous allons aménager un grand terrain de boule sous le terrain de sport” annonce le maire. La décision convient à la pétanque, véritable institution dans le village. “Pour l’ins- tant, nous travaillons en bonne entente avec la municipalité. Albert Rognon nous a donné sa parole sur ce dossier” ajoute Gilles Bournez. Si le déménagement du club semble tranché, une seconde interrogation subsiste concer- nant le petit local ou se réunit l’association, qui sera amené à disparaître. “Avant d’être expro- prié, on souhaiterait que la mai- rie construise un bâtiment suf- fisamment grand où les joueurs pourraient s’entraîner l’hiver au même titre que les clubs de Mor- teau ou des Fins. Car dans la

configuration actuelle, ce n’est pas possible et nous avons déjà perdu des licenciés à cause de cela. On espère que la munici- palité acceptera. S’il le faut, nous sommes prêts à prendre à notre charge l’aménagement intérieur de cette future construction.” Albert Rognon et son équipe sont ouverts à la discussion. La bon- ne entente avec l’association est nécessaire pour qu’aboutisse la construction du centre com- mercial, un des projets-phares du mandat du maire. Il s’agit pour la municipalité d’assurer ses arrières dans ce dossier qui a déjà connu des débuts chao- tiques suite au désengagement d’un premier promoteur. Cette fois-ci, l’affaire paraît bien enga- gée. La municipalité a confian- ce en la concrétisation de cet- te opération structurante pour le village. “Nous avons des exi- gences” insiste Albert Rognon. Il ajoute : “On veut que ce bâti- ment ait de l’allure. Je veux veiller aussi à respecter l’équi- libre commercial dans le villa- ge. L’idée est qu’il y ait dans ce centre une épicerie, une bou- langerie et un café.” Voilà qui devrait permettre de dynami- ser le commerce de proximité en milieu rural. ! T.C.

voir démarrer les tra- vaux au printemps” explique le promo- teur qui souhaite pour l’instant garder l’anonymat tant que l’opération n’est pas totalement finalisée.

“L’idée est qu’il y ait une épicerie, une boulangerie et un café.”

Car avant d’engager le chantier, il reste à régler la question du club de pétanque de Montlebon. C’est sur le terrain de boule actuel que sera construit le centre commercial. Il n’est pas question pour la quarantaine de boulistes de céder leur lopin de terre, propriété de la muni- cipalité, sans une compensation. “Notre terrain fait 2 400 m 2 . C’est nous qui l’avons toujours entre- tenu, la municipalité ne peut pas

C’est à la place du terrain de boule que sera construit le futur centre commercial.

V A L D E M O R T E A U

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En bref

Les Fins

Le carrefour des Usines entièrement repensé Point névralgique de la commune où se rejoi- gnent les routes de Besançon et de Montbéliard, le carrefour des Usines fait l’objet d’une gran- de opération de sécurisation.

33333332012,706965111 11111 " Orientation Le forum d’orientation du Haut-Doubs se tient jeudi 2 décembre de 8 heures à 12 heures au lycée Edgar-Faure de Morteau. Ce forum, qui concerne plus de 1 200 élèves, les informe sur les for- mations post-bac ou post- B.E.P. plus de 250 interve- nants qui représentent la qua- si-totalité des formations francs-comtoises, dialogue- ront avec les jeunes intéres- sés. Renseignements au 03 81 46 80 50. " De Gaulle L’article consacré dans notre dernier numéro à la rencontre entre le général De Gaulle et Winston Churchill à Maîche le 13 novembre 1944 a ravi- vé de nombreux souvenirs chez nos lecteurs. Plusieurs courriers nous sont parvenus pour rappeler divers épisodes de cette réunion au sommet. Bien sûr, les lecteurs attentifs signalent que le déjeuner qui a suivi la rencontre des deux hommes s’est déroulé à l’hô- tel du Lion d’Or à Maîche et non pas à Charquemont. " Chorale La chorale Saint-Michel de Maîche organise son grand concert de Noël le 12 décembre prochain à Maîche. Entrée libre.

C haque jour, 13 000 véhi- cules transitent par Les Fins. Automobilistes et surtout piétons sont confrontés à un véritable casse-tête lors- qu’il s’agit de traverser cet axe principal où se rejoignent les R.D. 461 et 437 en provenance de Montbéliard pour la première, de Besançon pour l’autre. Les accrochages sont fréquents, les accidents ne sont pas rares. Cer- tains sont mortels comme celui qui avait coûté la vie à un jeu- ne homme au début des années

2000. La commune des Fins a donc réclamé au Conseil général du Doubs (responsable des routes départementales), un aména- gement du carrefour des Usines. “Nous avions demandé la construction d’un rond-point mais cette proposition a été refu- sée au motif d’un coût trop éle- vé et du fait qu’un autre rond- point sera aménagé vers le sta- de au moment où les travaux de la route des Microtechniques seront réalisés” explique le mai-

Les accrochages sont fréquents à cet endroit stratégique.

re Gérard Colard. En attendant cette échéance - les premières études sur ce tron- çon de la route des Microtech- niques ne devraient pas débu- ter avant 2006, quant aux tra- vaux… -, la commune des Fins a souhaité prendre le problème à bras-le-corps. Un aménagement de ce dan- gereux carrefour sera donc réa- lisé au printemps prochain. “Nous avons commencé une pre- mière phase en réalisant des trot- toirs sur la route de Besançon, en amont du carrefour.” Le plus gros des travaux débutera au printemps prochain. “Nous avons réfléchi à un plan d’aménage- ment qui réponde à plusieurs exigences, poursuit Gérard Colard. Il s’agit de sécuriser la traversée de la route par les pié- tons, d’améliorer le stationne- ment aux abords du restaurant du Trappeur, de tenir compte de la réouverture du restaurant du

Vallon et d’anticiper l’installa- tion vers la salle polyvalente d’une future zone commerciale qui engendrera de la circulation piétonnière supplémentaire.” Une des principaux points noirs à régler est la vaste place, mal délimitée et sans signalisation, où débouchent les rues du Val- lon et Beau Soleil. “Les gens ne savent pas où passer. Nous regrouperons ces deux arrivées pour ne faire plus qu’un seul accès sur la départementale. Des aménagements paysagers, avec de la végétation, seront réalisés sur cette place pour délimiter les accès.” Pour le reste, il s’agira de rétré- cir la chaussée sur la départe- mentale venant de Besançon, à hauteur de la rue des Artisans jusqu’à l’hôtel du Vallon, “afin d’inciter les automobilistes à ralentir. Nous faisons un trot- toir de part et d’autre de la rou- te. La chaussée sera rétrécie à

une largeur de 6,50 m contre au moins 8 m actuellement.” À noter que le système de présélection pour les automobilistes venant de Maîche et se dirigeant vers Morteau ne sera pas modifié. Un bon mois de travaux sera nécessaire dès le retour des beaux jours au printemps pro- chain pour réaliser ces amé- nagements. La gêne à la cir- culation devrait être limitée. Ensuite, le Conseil général se chargera de refaire intégrale- ment l’enrobé de part et d’autre de ce carrefour central. Le coût des travaux de sécuri- sation du carrefour des Usines (hormis l’enrobé qui est du res- sort du Conseil général) s’élè- vera “aux environs de 60 000 euros.” La facture sera suppor- tée par la commune qui recevra des subventions du Conseil géné- ral à hauteur de 21%. ! J.-F.H.

Les plans du futur carrefour des Usines, tel qu’il sera au printemps prochain.

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V A L D E M O R T E A U

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Ski

Le Val de Morteau en photos Retrouvez dans ce livre plus de 100 photos originales de votre région

Coup de canon sur les pistes du Haut-Doubs

le site du Meix Musy, il faudrait prévoir 772 000 euros (H.T.) pour le réseau, le terrassement, les pompes, le compresseur et ennei- geur, et la retenue collinaire. Pour la Bonade, l’investissement serait de 266 000 euros (H.T.) et 142 500 euros (H.T.) pour le Chauffaud. À cela viennent se greffer les frais de fonctionne- ment et de maintenance estimés à 30 000 euros pour une piste comme celle du Meix Musy (per- sonnel, damage, entretien pré- ventif, énergie.)

nombre de jours d’ouverture du domaine skiable” et non comme un moyen technique de substi- tution très coûteux aux caprices de Dame nature. “Une installa- tion de production de neige de culture ne peut pas apparaître comme une panacée. Elle résul- te d’un choix raisonné de l’ex- ploitant.” Le rapport du S.E.A.T.M. invite donc à la pru- dence. Car aménager des canons à nei- ge implique de tenir compte de l’entretien supplémentaire, de

La communauté de communes du Val de Morteau a commandé une étude qui envisage l’installation de canons à neiges sur les pistes du Meix Musy, du Chauf- faud et de la Bonade. Les résultats sont mitigés.

Le Val de Morteau

de A… à Z

P our pallier le déficit nei- geux, la communauté de communes du Val de Morteau réfléchit à l’op- portunité de placer des canons à neige sur les sites du Chauf- faud, de la Bonade et du Meix Musy. La collectivité a sollicité les services du S.E.A.T.M. (ser- vice d’études et d’aménagement touristique de la montagne) qui s’est penché sur cette question. L’organisme d’État a rendu récemment un diagnostic précis sur “la faisabilité d’une instal- lation de production de neige de culture sur les sites de ski alpin.” En préambule, ce document fait état d’une première mise en gar- de en indiquant “que l’expérien- ce de dizaines d’années de pro- duction de neige de culture dans l’ensemble des massifs monta- gneux français a fait prendre conscience des aléas climatiques qui pèsent sur la production de neige de culture.” Les conditions de température ne sont pas tou- jours réunies pour envisager ce type de production. Une remarque valable pour le Haut-Doubs habitué depuis quelques années à des hivers moins fournis en or blanc. Pour l’affirmer, il suffit de se référer aux statistiques avancées par le S.E.A.T.M. sur le nombre de jour- nées de fonctionnement des trois sites du Haut-Doubs entre 1998 et 2004. Pour la saison 1998-1999, le Meix

Musy a ouvert 86 jours, contre 59 en 2003-2004, avec une chu- te à 9 jours seulement en 2000- 2001. Même constat pour la Bonade à Grand’Combe-Châte- leu puisque le nombre de jours de fonctionnement en 1998-1999 était de 41 contre 19 en 2003- 2004 et une fermeture complè- te en 2000/2001. Sur ces mêmes périodes, la pis- te du Chauffaud a fonctionné dans des proportions identiques à celles du Meix Musy. Évi- demment, le chiffre d’affaires à chaque remontée mécanique et la fréquentation des pistes est fonction de l’enneigement. À titre d’exemple, en 1998-1999, meilleu- re des 6 dernières saisons, le Meix Musy a réalisé un chiffre d’affaires de 98 778 euros et enre- gistré 323 974 visiteurs. En 2000- 2001, la moins bonne des 6 der- nières saisons, le chiffre d’af- faires était de 8 645 euros pour 24 669 passages. Compte tenu de cet ensemble de données, le rapport montre “la fragilité des 3 sites d’un point de vue économique. Fragilité en par- tie due à une durée de fonction- nement réduite.” On peut lire ensuite “qu’au vu de ces résul- tats, les choix d’investissement devront être mesurés et bien hié- rarchisés entre les trois sites.” L’installation de canons à neige est donc à considérer comme un complément au manteau nei- geux naturel “pour stabiliser le

L’ensemble de ces données servira de base de travail à un prochain débat de la communauté de communes. Mais l’in- terrogation sur l’op- portunité de miser

l’état de la surface des pistes qui “doivent être enherbées et drainées” et de l’alimentation en eau nécessaire au fonc- tionnement des machines . Sur ce der- nier point, pour ennei-

“Le problème est qu’il n’y a pas de point d’eau au Meix Musy.”

Photos Didier Jacquot

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sur le ski alpin compte tenu des aléas climatiques que connaît notre région s’annonce comme la clé de la discussion.

ger les 5,6 hectares du Meix Musy et du Pralot, il faudrait un besoin journalier en eau de 840 m 3 . Ainsi “pour 70 cm de neige produite, le nombre d’heures sur la saison serait de 230 pour un volume d’eau de 19 600 m 3 .” C’est à ce prix qu’il peut être envisa- gé d’étendre la saison de ski sur 2,5 mois (des vacances de Noël à la fin des vacances de février). “Le problème est qu’il n’y a pas de point d’eau au Meix Musy, donc s’il faut aménager une cana- lisation, ça risque de coûter très cher” indique un élu local. Mais il apparaît aussi que cette piste qui concentre “plus de 70% de la demande de ski a les meilleurs résultats économiques.” Le service d’étude et d’aména- gement touristique apporte, au terme de son rapport, une esti- mation des investissements nei- ge, hors travaux de pistes. Sur

Commentaire

Les skis-clubs du Val de Morteau favorables aux canons

G rande ambition que de vouloir enneiger artificiellement les pistes du Meix Musy, de la Bonade et du Chauffaud. Les coûts et les conditions de réalisation de ce projet en Les sportifs du secteur demandent à ce qu’une piste au moins soit équipée de canons à neige. La Bonade conviendrait.

intéresse, c’est d’avoir une piste pour s’entraî- ner. La Bonade nous suffirait. Nous souhaite- rions avoir de la neige pour Noël, une période où il fait souvent froid, mais la neige fait souvent défaut” indique Michel Ory, président du ski-club Val de Morteau, qui espère être consulté dans le cadre des prochains débats à venir. Mais les conclusions du rapport rendu par le ser- vice d’étude et d’aménagement touristique de la

feraient un dossier lourd à assumer pour la communauté de communes du Val de Morteau. D’autant que pour l’instant, l’estimation des retom- bées est ouverte à toutes les spé- culations. En revanche, certaines voix s’élè-

montagne inquiète le président du club. La question de la rentabilité arri- ve en première ligne de cette étude. L’inquiétude est que les élus rejettent le projet en faisant un choix écono- mique avant de penser à l’intérêt que représente l’enneigement artificiel

“Je crois qu’il y a un intérêt collectif à a ménager des canons.”

vent pour proposer aux élus de concentrer les moyens sur une seule piste : celle de la Bona- de. C’est la plus basse de toute en altitude. Mais la proximité d’un cours d’eau donne à ce site un atout considérable pour l’aménagement de canons à neige. Les ski-clubs du Val de Morteau et de Gran- d’Combe-Châteleu sont favorables à cette option. Ce sont eux qui, il y a deux ans, avaient sollici- té la collectivité pour qu’elle engage une étude sur l’enneigement artificiel. Car un tel équipe- ment permettrait à ses associations de s’en- traîner sur place une grande partie de la sai- son sans être obligés de se tourner vers les Alpes au moindre coup de “redoux”. Les déplacements finissent par coûter cher aux clubs. “Ce qui nous

pour les associations. “Si la communauté de com- munes veut faire quelque chose de rentable, ce n’est même pas la peine qu’elle poursuive les études. On sait d’avance que ce type d’équipement ne rap- portera pas d’argent. Maintenant, je dirais que lorsque la piscine s’est construite aux Fins, on ne s’est pas demandé si cet équipement devait être impérativement rentable. La décision est poli- tique. Je crois qu’il y a un intérêt collectif à aménager des canons à neige” poursuit Michel Ory. Pour le ski-club, le choix économique serait de concentrer les moyens sur une seule piste avant d’envisager d’équiper tout le massif au risque de repousser aux calendes grecques ce dos- sier trop onéreux. ! T.C.

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Il faudrait prévoir un investissement de 772 000 euros pour équiper le Meix Musy de canons à neige.

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En bref

Service public

La Poste : disparitions annoncées dans le Haut-Doubs Les syndicats dénoncent une “casse” des ser- vices publics. La Poste défend quant à elle l’adap- tation du réseau aux besoins de ses clients. Une chose est sûre : des bureaux de Poste s’apprê- tent à fermer dans le Haut-Doubs. Les Fins Le Point Poste ouvert 7 jours sur 7

" B.A.F.A. La Maison Familiale Rurale “La Roche du Trésor” orga- nise une session intitulée : “approfondissement B.A.F.A. “Petit Enfant” du samedi 18 décembre à 14 heures au jeudi 23 décembre à Pierre- fontaine-les-Varans. Ren- seignements et inscriptions à Familles Rurales Fédéra- tion régionale de Franche- Comté au 03 81 88 76 84. " Précision Contrairement à ce qu’il avait annoncé dans notre édition précédente, le traiteur mor- tuacien Emmanuel Davignon ne sera pas fermé jusqu’au 8 décembre. L’Atelier gour- mand rouvre ses portes le 27 novembre. " Doyenné Monseigneur André Lacram- pe, archevêque de Besan- çon, ira à la rencontre des chrétiens du doyenné du Haut-Doubs horloger (unités pastorales de Maîche, Mor- teau et Le Russey), mardi 7 décembre. " Santé Le 26 novembre et le 3 décembre la Mutualité Fran- çaise Doubs propose à Maîche des visites du nou- vel établissement pour per- sonnes âgées dépendantes.

R égi par une convention entre les gérants du Cel- tic’café et la Poste qui leur confie un certain nombre d’opérations postales minimales (courrier et services financiers), le Point Poste des Fins a été inauguré le 9 novembre der- nier. Il est entré en service le 1 er septembre, au moment où fermait l’agence communale de La Poste installée dans les locaux de la mairie. En échan- ge du service rendu, le com- merçant responsable d’un Point

Poste perçoit un forfait de 130 euros par mois, plus une com- mission sur les ventes courrier et colis (3 % sur les timbres, 5 % sur les prêt-à-poster) ain- si qu’une commission pour les retraits d’argent (0,76 euro par opération). “Toutes les opéra- tions effectuées auparavant à La Poste sont possibles ici, hor- mis les dépôts d’argent explique Frédéric Roland. Les retraits d’argent sont réservés aux habi- tants des Fins et limités à 150 euros par période de 7 jours.”

Le Point Poste des Fins a l’avan- tage d’être ouvert 7 jours sur 7. L’inconvénient, dénoncé par les défenseurs du service public postal, c’est lorsque les gérants d’un Point Poste prennent leurs congés ou qu’ils cessent défini- tivement leurs activités, la com- mune en question perd alors tout service postal. Aux Fins, il semble au vu des premières semaines d’activité, que le Point Poste remplisse parfaitement ses missions. !

L es Fontenelles, Bre- tonvillers, Cour-Saint- Maurice, Bonnétage, Frambouhans, Les Écorces, Charmauvillers, Gou- mois : toutes ces communes devraient être concernées, de près ou de loin, par des chan- gements en matière de servi- ce postal. Le 1 er décembre, les bureaux de Cour-Saint-Mauri- ce et Bretonvillers par exemple fermeront définitivement leurs

le plan national, 10 000 emplois ne seront pas remplacés dans les bureaux de Poste. Le terri- toire national va être découpé en “zones de vie” comprenant un seul bureau de plein exercice auquel seront rattachés 6 points de contact au maximum (bureaux de proximité, agences postales communales ou Points Poste). D’où la perte d’autono- mie pour 6 000 bureaux qui seront déclassés ou transformés en bureaux de proxi- mité.” une activité inférieure à 500 heures par an ou 1 h 40 par jour, un point de contact situé sur une commune de moins de 2 000 habitants, un point de contact avec moins de 300 usa- gers ayant un compte à La Pos- te ou un point de contact avec moins de 3 millions d’euros d’en- cours. Actuellement, maires ruraux et syndicats postaux se battent que pour “la spirale du déclin ne soit pas une fatalité.” ! J.-F.H. Selon nos informa- tions, les directeurs départementaux de La Poste peuvent créer un Point Poste si 3 des critères sui- vants sont réunis :

portes. Ailleurs, com- me aux Fins, le bureau de Poste installé dans les locaux de la mairie, ne fonctionne plus. Il est remplacé depuis quelques semaines par un Point Poste, instal- lé dans le bar-tabac Le

“Le maire a eu beau protester, il n’a pas eu le choix.”

Celtic, tenu par Sandrine et Fré- déric Roland (voir ci-dessous). Cette situation est pointée du doigt par les syndicats qui dénoncent une “véritable cas- se du service public postal. D’ailleurs, de plus en plus de maires ruraux demandent un vrai débat sur cette question. À Cour-Saint-Maurice par exemple, le maire a eu beau pro- tester, il n’a pas eu le choix” , explique Stéphane Hafner, res- ponsable du syndicat Sud P.T.T. du Doubs qui estime que “sur

Sandrine et Frédéric Roland sont les gérants du Celtic’café qui fait office de bar, tabac, kiosque à journaux et désormais Point Poste.

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