La Presse Pontissalienne 118 - Août 2009
Le mensuel d'informations sur Pontarlier et le Haut-Doubs
N° 118
Août 2009
2 €
Le premier mercredi du mois
Mensuel d’information des cantons de Montbenoît, Mouthe, Levier, Pontarlier, Vercel et du Jura voisin
L’événement
p. 12 Polémique Forages du Mont d’Or : attention aux fuites… Sitôt le lancement des premiers forages dans le Mont d’Or effectués, des rejets sont consta- tés dans le Bief Rouge. Les protecteurs de l’environnement montent au créneau. Aménagements p. 14 Le Drugeon joue la carte du tourisme
ÉLUS, SPORTIFS, PERSONNALITÉS DU HAUT-DOUBS… OÙ PASSENT-ILS LEURS VACANCES ?
Trois nouveaux équi- pements viennent d’être ouverts au public pour valoriser cette vallée d’une grande richesse environne- mentale.
p. 20 Économie L’entreprise Ferrari veut être numéro 1 Le spécialiste pontissalien des produits en béton tente de trouver des parades à la cri- se actuelle. L’entreprise poursuit ses inves- tissements et joue la carte de l’environnement.
Lire en p. 4 et 5
Dans un cahier spécial de 10 pages en fin de numé- ro, La Presse Pontissalienne a sélectionné les plus bellesmanifestations dumois d’août dans leHaut- Doubs. Venez à la rencontre d’un vrai patrimoi- ne, authentique et joyeux. Excellentes vacances. Spécial vacances Les meilleurs plans de l’été dans le Haut-Doubs
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p. 25 à 34
Rédaction et publicité : “Les Éditions de la Presse Pontissalienne” - B.P. 83 143 - 1, rue de la Brasserie - 25503 MORTEAU CEDEX - Tél. 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81
RETOUR SUR INFO
La Presse Pontissalienne n° 118 - Août 2009
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Éditorial
A uteur du livre “Le grand coq de b r uyè r e : my t he ou réali- té ?”, Bernard Prêtre est pour la réintroduction dans le massif de lʼanimal. Bernard Prêtre, domicilié à Annecy-le- Vieux, réagit après avoir lu lʼarticle rela- tif à volonté dʼun éleveur suisse de vou- loir réintroduire des coqs de bruyère dans le massif jurassien dans le numéro 117 de La Presse Pontissalienne (juillet 2009). Selon lui, “300 coqs dans l’Arc jurassien chiffre donné par Marc Montadert, char- gé de mission “grand tétras” à lʼOffice national de la faune sauvage (O.N.C.F.S.) - D.I.R.E.N. Franche-Comté et Rhône- Alpes semblent un chiffre très optimiste.” L’actualité bouge, les dossiers évoluent. La Presse Pontissalienne revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité pontissalienne. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”.
Le bout du tunnel programmé à l’arrivée des premiers flocons “O n va lancer les appels d’offres cet automne avec les demandes de subven-
Insouciance Lʼété est installé, période habituel- lement réglée comme une horloge pour les habitants du Haut-Doubs, saison dédiée à lʼinsouciance, pau- sesalutaireconsacréeauxvacances. Pour ceux des résidents qui ne par- tent pas, lʼété est ici toujours riche de fêtes et dʼanimations, œuvres de toutes les bonnes volontés qui font vivre et égayent leHaut-Doubs. Lʼinsouciance, cʼétait aussi celle de ces centaines de salariés dont la vie professionnelle est habituelle- ment rythmée par la cadence des “vacances horlogères”, tradition- nelle trêve située entre le 14 juillet etle15août,immuablerythmeimpo- sé jadis par les entreprises horlo- gères françaises, aujourdʼhui par les sociétés suisses. Cet été est quelque peu différent des précé- dents. Ces salariés-là, cette année, ne berceront sans doute pas leur été de tendre insouciance. Non, lʼheure est aujourdʼhui pour leHaut- Doubs aux questions, aux doutes. Aux angoisses aussi pour ces dizaines de travailleurs qui ont per- du leur emploi ouqui naviguent dans lʼincertitude dʼun chômage partiel. Car cʼest bien lʼeldorado suisse qui vacille en ce moment. Le Haut- Doubs pontissalien avait trouvé en ce pays voisin le salut de sa propre industrie perdue. Pendant tant dʼannées, il sʼest reposé sur la soli- de épaule helvète pourvoyeuse de milliers dʼemplois. La rentrée de septembre sera sans doute pour les élus duHaut-Doubs lemoment où ils prendront vraiment conscien- ce des faiblesses de ce territoire, le Haut-Doubs, vaillant économique- ment et épargné par le chômage jusque-là. Seulement, sous le ver- nissuisseapparaissentlesfaiblesses dʼun secteur qui a vu se déliter len- tement son tissu économiquemais que le paravent suisse préservait de tout risque. Il sʼagit aujourdʼhui dʼengager une véritable mutation que personne, hélas, nʼa vraiment anticipée. Le ralentissement actuel de lʼautre côté de la frontière doit être considéré comme un avertis- sement. LeHaut-Doubs doit se trou- ver une nouvelle voie de dévelop- pement. En attendant cette rentrée plus incertaine que les autres, sou- haitons néanmoins les meilleures vacances à ceux qui profiteront des animations et des richesses dʼun territoire qui a tant de choses à proposer. ? J ean-François Hauser
Pourquoi une si longue attente ? “Le problème était de savoir où les mettre car personne n’en voulait” , explique Michel Morel. Près dʼune centaine dʼanalyses ont été réalisés depuis 1989. Sans résultat. Les élus ont souvent “tiqué” sur le coût de lʼopération évalué à 1,2 mil- lion dʼeuros. “À ce prix-là, je préfère encore les sortir moi-même avec une charrette et un bourricot” , lance lʼélu en précisant plus sérieusement quʼil refu- sera toute proposition allant au-delà du million dʼeuros. Lʼopération ne pose aucun problème technique. La seule restriction porte sur lʼimpossibilité dʼutiliser un engin à moteur thermique car les gaz dʼéchappement pourraient se révéler dangereux dans
ce tunnel totalement obstrué du côté des Hôpitaux-Neufs. “On peut très bien envisager d’avoir recours à du matériel au gaz ou électrique qui fonctionne dans les mines.” Quant à la destination de ces broyats, ils seront probablement trans- portés sur le site classé de Corcelles- Ferrière.
tions. Si tout va bien, l’opération pour- ra commencer au début de l’hiver” , annonce Michel Morel. Le président de la communauté de communes du Mont dʼOr et des Deux Lacs souhaite en finir une bonne fois pour toutes avec ce dos- sier de lʼévacuation des broyats du tun- nel de Jougne. 1 500 m 3 de dossiers inertes en prove- nance de la décharge de Labergement- Sainte-Marie ont été déposés à cet endroit en 1985. Ils y sont toujours malgré toutes les actions menées notamment par la commission de protection des eaux qui nʼa jamais pu obtenir gain de cause.
Coq de bruyère : “Plus rien à perdre”
Le périple haïtien de Patrick Genre
L e maire de Pontarlier est revenu le 13 juillet dʼun voyage de six jours en Haï- ti. LʼÉtat des Caraïbes qui pas- se pour être un des pays les plus pauvres du monde nʼa pas laissé indifférent Patrick Gen- re qui sʼy rendait pour déve- lopper des actions de coopé- ration. Patrick Genre sʼest dit “perturbé” par cette plongée dans la misère quotidienne. “Ce n’est plus le Tiers-monde, c’est le Quart-monde ! On a du mal à imaginer comment des personnes peuvent vivre comme ça…” Après une visite de la citadelle
Auteur du livre “Le grand coq de bruyè- re : mythe ou réalité ?” paru aux éditions Cabédita, Bernard Prêtre estime “qu’il n’y a plus rien à perdre.” En effet, même si certains naturalistes dénoncent la réin- troduction pour les effets quʼelle induit (maladies, génétique), lui assure “que l’on ne risque rien d’essayer.” “C’est vrai que la réintroduction réussit rarement, mais certains y sont parvenus - si l’on lâche la poule et sa ponte après un bon nettoyage des prédateurs, renards et martres (…). Dommage pour l’éleveur suisse qui a réussi à la reproduction du grand coq en captivité. Les éleveurs fran- çais - il y en a quelques-uns - ont aussi été découragés.”
du roi Christophe (successeur de Toussaint Louverture) à Milot, le maire de Pontarlier a rencon- tré différents élus locaux et ministres haïtiens avec qui il sou- haite désormais engager des actions concrètes de coopéra- tion. “Nous voulons franchir une étape supplémentaire en forma- lisant dès la rentrée les termes de cette coopération dans diffé- rents domaines : culturel, édu- cation, appui institutionnel…” Mais pour Patrick Genre, “il n’est pas question d’imposer quoi que ce soit, on veut tendre vers une coopération bilatérale partagée. Les Haïtiens vivent un désastre sanitaire, environnemental, éco- nomique, social. Mais cette popu- lation a beaucoup de richesses à nous communiquer et une gran- de fierté. Les Haïtiens ont du potentiel” pense Patrick Genre qui rentre visiblement troublé de cette destination qui concentre, selon ses termes, “la misère de la misère.” Les liens qui unissent le Haut- Doubs à Haïti sont nés de la marque que Toussaint Louver- ture, né en Haïti, a laissée dans notre secteur et notamment au château de Joux. Prochain numéro de La Presse Pontissalienne : mercredi 2 septembre 2009
est éditée par “Les Éditions de la Presse Pontissalienne”, S.A.R.L. de presse Directeur de la publication : Thomas COMTE Directeur de la rédaction :
Jean-François HAUSER Directeur commercial : Éric TOURNOUX Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction :
Frédéric Cartaud,Édouard Choulet, Thomas Comte,Jean-François Hauser.
Imprimé à I.P.S. - ISSN : 1298-0609 Dépôt légal : Juillet 2009 Commission paritaire n° 0212 I 79291 Crédits photos : La Presse Pontissalienne, associations et organisateurs (cahier de l’été), FrançoisVonnez. La Presse Pontissalienne 1, rue de la Brasserie - B.P. 83 143 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 E-mail : publipresse@wanadoo.fr
L’ÉVÉNEMENT
La Presse Pontissalienne n° 118 - Août 2009
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Claude Jeannerot “Le bonheur est dans le pré”
OÙ PASSENT-ILS LEURS VACANCES ?
Les personnages publics s’accordent quasiment tous une pause salutaire
en cet été 2009. Sportifs ou élus, responsables
associatifs ou retraités, où ont-ils décidé de se ressourcer cette année ? Petites indiscrétions sur la vie estivale des “people” du Doubs.
M auvaise nouvelle pour le président du Conseil géné- ral duDoubs et sénateur : il a dû repousser l’échéance de son départ en vacances. “La session parlemen- taire est repoussée d’au moins une semaine et je dois inter- venir entre le 20 et le 27 juillet au Sénat sur la question du travail le dimanche. Le président veut absolument que le texte sur cette question soit voté avant les vacances” obser- ve Claude Jeannerot qui “espère” donc partir la semaine suivante. C’est dans le Sud-Ouest, région d’origine de son épouse, que Claude Jeannerot ira se ressourcer. Au pays du foie gras et de l’armagnac, entre Gers et Tarn-et-Garon- ne. “C’est un pays de Cocagne où on cultive l’art du bien vivre” dit-il. Après un emploi du temps bien rempli, celui qui a été élu sénateur du Doubs en septembre dernier “aspire à poser ses valises.” Repos, ce sera donc le maître-mot pour Claude Jeannerot qui embrayera ensuite sur quelques jours au bord du lac de Lugano (Suisse) où il rendra visite à de la famille et à des amis. Cet été, Claude Jeannerot prend trois semaines de vacances. “J’éteins mon portable, je consulte quand mes messages le soir…”
TENDANCE
Baisse constante Et vous, partez-vous en vacances ?
et de 15 jours à l’étranger (- 1 jour par rapport à 2008), “ mais seulement de 9,5 jours en hébergement payant (- 1,5 jour par rapport à 2008).” Il apparaît enfin que les vacanciers partent de plus en plus en camping, “en village de vacances et en résidence de tourisme, concepts plébiscités par les familles.” Les héber- gements gratuits (résidences secon- daires, parents, amis, échanges de mai- sons…) sont également en hausse régulière. C’est dans l’Est de la France que le taux de départ pour les longs séjours est le plus faible puisqu’il est de 38 % cet été contre 42 % en 2008. La baisse n’épargne plus la Franche-Comté où sur l’année 2007, elle enregistrait encore un taux de départ de 73,9 % pour des séjours de 4,4 jours en moyenne.
C’est pour des raisons financières qu’une majorité de Français ne partent en vacances cet été. Le sujet concerne surtout les ouvriers et les employés.
L a crise modifie les habitudes des Français. Cette année, plus de la moitié d’entre eux fait impasse sur les vacances d’été ! La ten- dance est confirmée par une récente étude réalisée par le cabinet Protou- risme qui indique que 52 % “disent ne pas partir en vacances, soit 3 points de plus que l’an dernier.” L’analyse préci- se que cette baisse des taux de départ est particulièrement “forte chez les employés et les ouvriers et plus généra- lement pour les foyers dont les revenus sont inférieurs à 2 000 euros par mois.” Cela représente les 2/3 des non par-
tants. En revanche, “les 20 % de Fran- çais aux revenus les plus élevés partent de plus en plus avec 80 % de taux de départ pour les foyers dont les revenus sont supérieurs à 5 000 euros.” Malgré tout, la question des moyens est au centre des préoccupations des ménages qui bouclent leurs valises puis- qu’un quart des partants envisagent de réduire leurs dépenses sur le lieu de villégiature, contre 13 % qui préten- dent dépenser plus. Protourisme relève aussi que la durée moyenne des séjours sera de 13 jours en France (- 1 jour par rapport à 2008),
Georgette Bertin Pas de répit pour Madame la Présidente
Marie-Guite Dufay Vacances sportives pour la présidente
P our décompresser, la présidente de Région va marcher. Beaucoup marcher. Dans les Alpes dans un premier temps puis en Auvergne dans un second. Le Cantal est sa région d’origine, un minuscule et authentique village, peut-être
G eorgette Bertin ne prend pas de vacances. Ce n’est pas dans les habi- tudes de la Présidente du Saugeais. La fonction qu’elle assume avec sérieux est très chronophage. “Je n’ai pas le temps. J’ai rarement quelques jours de répit. Je n’ai pas non plus envie de partir, je suis tellement bien dans le Haut-Doubs” confie-t-elle. À 75 ans, la première dame de la République autoproclamée a un agenda chargé. Elle n’a guère l’occasion de se prélasser, surtout en été. C’est une des périodes où elle revêt le plus souvent son écharpe tricolore pour venir à la rencontre des touristes toujours ravis de la rencontre. “En juillet et en août, je participe à l’accueil des touristes organisé au syndicat d’initiative de Montbenoît.”
le plus beau de ce département, Pailherols, où elle a encore de nombreuses attaches. Ensuite, Marie-Guite Dufay se rendra à Belle-Île-en-Mer “pour respirer l’air de l’océan.” Des vacances sportives ponctuées de marche et de vélo. Presqu’un Tour de France…
Elle se déplace également sur demande quand des cars de visiteurs font étape à La Longe- ville. Lorsque Georgette Bertin est à la mai- son, elle passe son temps à répondre à une masse de courrier qui lui vient de toute la France. Quel que soit le motif, “je réponds per- sonnellement à toutes les lettres” sans oublier de joindre à chaque fois un laissez-passer et une brochure du Saugeais.
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Patrick Genre Parenthèse méridionale pour le maire
Michel Morel Bol d’oxygène dans l’arrière-pays provençal
Christian Bouday Sur le mythique
Transsibérien…
S ur les trois semaines de congés qu’il bloque dans son agenda officiel, lemai- re de Pontarlier en passera seulement une en dehors de notre région. C’est dans leMidi, au bord de la Méditerranée, que Patrick Genre et sa famil- le se délasseront durant une semaine. “Mes vacances n’auront rien d’exceptionnel. La priorité est d’abord de se retrouver en famille. Après plu- sieurs années au bord de l’Atlantique, nous avons choi- si cette année la Méditerranée. Un mobil-home dans un cam- ping, des petites visites dans la région où on sera, bref, des choses simples.” Après cette semaine méditer- ranéenne, Patrick Genre sera de retour dans le Haut-Doubs. Au programme, quelques esca- pades en région, au bord des lacs, en Suisse voisine et…des passages réguliers en mairie
L e président de la Com- munauté de Communes Altitude 800 a choisi la Bretagne pour ses vacances d’été qu’il passe en famille dans un gîte. L’élu de Levier est un habitué de cette destination. “Je suis en vacances pour 15 jours, dans la région de Quim- per” précise-t-il. Les ciels changeants, le patri- moine architectural, les ani- mations, la musique, la gas- tronomie, la langue, l’océan fougueux, les légendes et les mystères, cette terre tout en contrastes séduit Jean-Pierre Gurtner. “Pour moi qui fais beaucoup de photos, c’est un régal !” Les côtes bretonnes sont aussi propices à la pra- tique de la randonnée. L’élu du Haut-Doubs ne boude pas son plaisir en arpentant par s’octroie d’abord une petite semaine à domicile consacrée au jardinage et à l’entretien de la maison. “Puis je m’échappe pour éviter d’être sollicité sans arrêt” , annonce l’élu. 15 jours d’escapade toujours en France. Cette année, la famille Morel a mis le cap sur l’arrière-pays pro- vençal et plus précisément la petite cité de Fayence. Envie de soleil et de tranquillité. “On s’offre un grand bol d’oxygène. Cela nous permet aussi d’avoir des idées.” Chassez le naturel… Même en vacances, l’élu Michel Morel reste sur le qui-vive. Il emmagasine des forces et mémo- rise surtout les exemples d’aménagement historique ou culturel qu’il croise au fil de ses visites. Il discute aussi volon- L e maire de Jougne joint l’utile à l’agréable pen- dant ses vacances. Il
V acances plutôt exotiques pour Christian Bouday, le conseiller général du canton de Pontarlier. Un périple de 18 jours qu’il a entamé mi- juillet le conduira jusqu’en Sibé- rie, aux confins de la Russie et de laMongolie, sur les rives du lac Baïkal. “C’est un peu excep- tionnel cette année. Mes amis ont contribué àm’offrir ce voya- ge pourmes 60 ans. Je pars avec ma compagne et une petite équi- pe de 8 personnes, nous dor- mons chez l’habitant. C’est une aventure” confie ChristianBou- day. Arrivée à Moscou, embar- quement sur le Transsibérien, lamythique ligne de chemin de fer. Quatre jours et quatre nuits dans le train, cinq fuseaux horaires traversés et un dépay- sement garanti pour l’homme du Drugeon. “J’ espère partir,mais où, quand et comment, ce n’est pas encore défi- ni.” Le père Cheney n’a pas arrê- té ses vacances.Ce n’est d’ailleurs pas sa préoccupation principale en l’absence de deux autres prêtres pour cause de congés qui officient àPontarlier.Avec le père Ruffiot, il organise son emploi du temps de manière à assurer les missions quotidiennes de l’Église. “Il faut assumer par exemple les mariages qui sont prévus. Il faut être là” résume-t- il. Jean-Marie Cheney célèbre l’office à raisondedeuxdimanches par mois à Pontarlier et deux dimanches à Levier.L’agenda est chargé, peut-être plus encore en été. “Il faut jongler pour trouver dix ou quinze jours de repos” reconnaît le prêtre qui occupe en plus d’autres fonctions dont cel-
tiers avec d’autres élus. “En dis- cutant, on réalise qu’on est tous confrontés aux mêmes problèmes et qu’on n’est finalement pas si mal chez soi.”
Une fois le périple sibérien ter- miné, retour en avion à Saint- Pétersbourg à la découverte des joyaux de l’ancienne capitale russe fondée par Pierre le Grand. “J’ai toujours aimé découvrir d’autres cultures, d’autres mondes, c’est une façon idéale de se ressourcer” estime M. Bouday. Pour l’élu pontis- salien, la reprise du travail dans le Haut-Doubs est prévue dès le début du mois d’août.
pour s’assurer que tout roule. Pendant ses vacances, le por- table de M. le maire est bran- ché en permanence, “au cas où” , et quand il passe en mai- rie, c’est en short et en cla- quettes. Jusqu’à la rentrée offi- cielle du maire le 24 août.
Jean-Marie Cheney Le prêtre espère pouvoir prendre des vacances
Jean-Pierre Gurtner Voyage à Quimper pour un Breton de cœur
Jean-Marie Binétruy Vacances bretonnes pour le député du Haut-Doubs
S ession parlementaire à ral- longes cette année pour les députés : le président de la République ne les “libère” pas avant la fin juillet. C’est donc début août que Jean-Marie Binétruy quittera le Haut-Doubs pour mettre le cap à l’Ouest. “J’ai réservé une petite semai- ne dans un hôtel de La Trinité- sur-Mer” dans le golfe du Mor-
le de doyen. Malgré tout, Jean-Marie Che- ney n’exclut pas de pouvoir poser ses vêtements liturgiques pour s’offrir quelques jours de répit. Les vacances sont toujours l’occasion pour ce prêtre origi- naire deBesançon de rendre visi- te à sa famille installée dans Sud et le Sud-Ouest de la France. “Je partirai, je le pense. Mais il fau- dra s’organiser.”
allé début juillet à Pampelune en Espagne pour la feria. Il faut aimer la sangria (rires). Fin août, je partirai une semai- ne àVenise. Pampelune : c’était magique. Vous voyez des dizaines de milliers de per- sonnes habillées de la même façon. Les rues sont envahies, les personnes vont de bar en bar. L’après-midi, il y a la cor- rida et la mise à mort de six taureaux. L’enceinte est spec- taculaire et lorsqu’un toréador manque lamise àmort, les spec- tateurs lancent des coussins. Le lendemainmatin à 6 heures, il y a la montée des taureaux dans les rues. Il y a eu un mort et deux blessés graves. Moi, je suis resté de l’autre côté des barricades, je ne suis pas fou.” bihan. Une bonne bouffée d’iode pour le député du Haut-Doubs mais Jean-Marie Binétruy est avant tout un amateur de mon- tagne. Ce skieur confirmé assouvira donc son désir d’alpage avec “quelques jours à Morzine” avant de retrouver sa circonscription à la mi-août et recommencer le cycle habi- tuel des contacts. Première apparition publique du dépu- té sur ses terres à l’issue des vacances d’été avec “Le pre- mier Flambée de la Morteau”, la fête locale dédiée à la sau- cisse de Morteau le 22 août. Puis en ligne de mire, déjà, l’éventuelle session parlemen- taire de septembre que le pré- sident Sarkozy parle d’instaurer. Cette année, les vacances ne s’éterniseront pas pour le dépu- té Binétruy.
exemple le sentier des doua- niers qui longe le littoral. Jean-Pierre Gurtner est peut- être Breton de cœur, il reste ambassadeur de la Franche- Comté en terre celtique. Ses vacances sont toujours l’occasion de faire découvrir à ses hôtes nos produits régio- naux au moins aussi savou- reux que le kouign aman bre- ton.
Jean-Luc Courtet, entraîneur du C.A.P. Foot “Au bord du lac Majeur”
Jean-Louis Gagelin “Il faut aimer la sangria”
Vincent Defrasne “3 000 km en 17 jours”
J ean-Louis Gagelin, pré- sident du club de rugby de Pontarlier : “Je suis
D olce vita italienne pour l’ancien footballeur pro- fessionnel aujourd’hui entraîneur du C.A.P. Foot, club qui évolue en C.F.A. 2. “Tous les ans, du 1 er au 15 juillet, je pars en famille au lac Majeur en Italie dans la maison de famille. Je suis d’origine ita- lienne du côté de ma mère. Durant deux semaines, c’est des vacances de rêve et je coupe tota- lement, notamment par rapport au foot. En juin, c’est toujours chargé entre le recrutement et la préparation de la nouvelle saison. Pendant ces deux semaines, nous n’avons eu que du beau. J’ai pu décompresser. Notre premier match, c’est le 15 août à Metz et le prochain à domicile le 22 août face àThion- ville.”
“J e suis déjà parti en vacances, c’était en Afrique du Sud au mois d’avril. L’été, c’est le moment que je réserve pour l’entraînement. En juillet, je suis allé m’entraîner en Nor- vège, en août dans les Alpes.
En septembre, je serai en Autriche. Je suis parti avec ma famille enAfrique du Sud avec la volonté de découvrir la cul- ture, les gens, les animaux.Nous avons parcouru 3 000 km en 17 jours” explique le champion olympique de biathlon.
LE TOUR DE FRANCE EN IMAGES
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RE-TOUR SUR LE TOUR : L’ÉVÉNEMENT La météo maussade en début de matinée n’a pas empêché des milliers de personnes
à venir assister au départ des coureurs du Tour ce dimanche 19 juillet. Pontarlier a été à la hauteur de l’événement. Animations, musique, rencontres, dédicaces, personnalités, bonne humeur… Le Tour est toujours une fête aussi populaire.
Des milliers de spectateurs s’étaient massés place Jules-Pagnier pour assister au départ de l’étape Pontarlier-Verbier.
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À PONTARLIER
Moment de franche rigolade lors de la remise à Patrick Genre de sa caricature par les organisateurs du Tour. Passage des échappés au pied de la montée de Verbier. Ci-dessous, à gauche, l’arrivée de Lance Armstrong à Verbier.
Visite amicale du secrétaire d’État Alain Joyandet.
Ci-contre, le geste du vainqueur pour le grand gagnant de l’étape Alberto Contador.
Bernard Hinault sous le charme de Miss Franche-Comté.
Ci-dessous, Patrick Genre à l’arrivée à Verbier : “Une magnifique étape et une organisation irréprochable d’A.S.O.”
En haut à gauche : l’absinthe et les produits régionaux étaient à l’honneur.
L’ancien ministre Bernard Laporte au village départ.
En haut à droite : le comice de Pontarlier
a salué le départ à grands coups de clarines.
En bas à gauche : le jeune public en délire après le passage de la caravane à la Gauffre. En bas à droite : La Presse Pontissa- lienne a suivi le Tour au volant de la toute nouvelle Kia Soul,
Defrasne père et fils, par amour du sport.
prêtée par Kia Automobiles, concessionnaire à Pontarlier.
Richard Virenque a dédicacé casquettes et photos.
PONTARLIER ET ENVIRONS
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PONTARLIER Plus besoin d’injection L’hôpital au top des I.R.M. Le groupement qui associe le centre hospitalier et les médecins libéraux de Pontarlier, Morteau et Champagnole sera bientôt doté de la dernière génération de ces appareils. Mise en service début septembre.
CIRCULATION Il a filmé son périple Houtaud-Pontarlier : piétons en danger C’est le constat d’un habitant d’Houtaud qui rejoint son travail à pied. Il demande aux élus de prendre leurs responsabilités. Coup de gueule. Réponse du maire d’Houtaud.
M ême le C.H.U. Jean- Minjoz ne dispose pas d’un tel équipe- ment qui conforte encore la qualité du plateau technique pontissalien. Cette “prouesse” réside dans la réus- site même de cette coopération public-privé construite sous la forme d’un Groupement d’Intérêt Économique qui fut le premier du genre en Fran- ce. “L’installation du premier I.R.M. à Pontarlier remonte à
tellement vastes et complexes qu’elle mobilise un technicien référent à plein-temps, en l’occurrence Sébastien Salvi. Le temps d’examen est prati- quement divisé par deux, la précision augmente avec la seconde génération qui pré- sente aussi l’intérêt de tra- vailler en 3 D. Cet équipement va sans contes- te renforcer encore l’attractivité du service d’imagerie médica- le. 4 100 examens d’I.R.M. ont été effectués en 2008 et 2 400 sont déjà comptabilisés fin juin 2009. “L’I.R.M. ne remplace pas tout, tient à préciser le radio- logue. La gradation se fera tou- jours en fonction de ce que l’on doit chercher. La précision sup- plémentaire apportée avec la nouvelle machine va nous per- mettre de réaliser des examens encore plus ciblés.”
le machine avec tous ses pro- tocoles” , précise Gilles Perri- guey, l’un des radiologues du G.I.E. L’Imagerie par Résonance Magnétique permet de réali- ser des examens ostéoarticu- laires et neurologiques. Prin- cipal avantage et non des moindres de cette technologie : l’absence de rayons X. Pas d’irradiation donc et petite révolution, plus besoin de pro- céder à des injections avec cet- te nouvelle génération d’I.R.M. “La durée de l’examen est tou- jours plus longue qu’avec un scanner même si elle tend à se réduire. Autre contrainte, l’I.R.M. nécessite l’immobilité parfaite du patient. Certains sont également indisposés par le bruit généré” , récapitule Gilles Perriguey. Les possibilités d’exploitation de la nouvelle merveille sont
M ichel Claude habi- te Houtaud. Pour rejoindre son lieu de travail à Pon- tarlier, l’homme utilise ses jambes. “C’est environ cin- quanteminutes demarche spor- tive” concède-t-il. Jusque-là, rien d’exceptionnel, sauf que ce tracé s’apparente à chaque fois qu’il l’emprunte à un par- cours du combattant. Dans le sens Pontarlier-Hou- taud (et inversement), les trot- toirs sont quasi absents obli- geant fatalement le piéton à empiéter sur la voie de circu- lation . “La goutte qui a fait déborder le vase fut cette agres- sion, heureusement sans consé- quences, dont je fus victime en octobre 2008. (N.D.L.R. : son bras a heurté le rétroviseur d’une voiture qui quittait une place de stationnement)” dit- il. Du coup, cet Hostasien a adressé une lettre agrémen- tée d’un C.D. contenant un dia- porama montrant toutes les difficultés pour se rendre à son lieu de travail au sous-préfet, au commandant de gendar- merie, à Patrick Genre, prési- dent de la communauté de com- munes du Larmont et maire de Pontarlier, au président du Conseil général et à Gérard Rognon, maire d’Houtaud. Sur ces six destinataires, seul un a répondu : le sous-préfet. “Et encore, c’était très laco- nique. Il dit qu’il a communi- qué à la D.R.I.R.E.” regrette Michel Claude qui estime qu’il “y aurait plus de piétons si le parcours était sécurisé, la pal-
2004. Comme on arrivait au terme du contrat de location renou- velable tous les 5 ans, Général Electric nous a fourni ce nouvel appareil. On sera les seuls à dispo- ser en Franche- Comté d’une tel-
Plus besoin de procéder à des injections.
Aller à pied d’Houtaud à Pontarlier relève du vrai parcours du combattant.
09/07/09 – Dilan de Cédric RACOUCHOT, ouvrier et de Jennifer MICHELET, factrice. 10/07/09–AnoukdeAntoineWARNERY,ingénieur et de Marianne BLANC, ingénieur. 10/07/09–LoladeJérômeCLERC,magasinierven- deur et de Sonia BALANCHE, vendeuse. 10/07/09 – Rosie de Sébastien FRANCHINI, tech- nicien et de Morgane HERMELLE, employée com- merciale. 10/07/09 – Ayleen de Florian DA ROS, informati- cien et de Christine LLOYD, formatrice en anglais. 04/07/09 – Olivier LUDWIG, magasinier et Isabelle MAZUR, secrétaire. 04/07/09–JulienCHABOD,ouvrieretMélanieMAZ- ZOLENI, vendeuse. 04/04/09 – Michel DECOBECQ, boulanger-pâtis- sier et Elise BISSO, employée de commerce, 11/07/09–JamesBRUTILLOT,commercialetHélè- ne BONNET, manipulatrice en radiologie. 11/07/09 – Laurent LÉCHINE, professeur et Elodie BÉLIARD, professeur des écoles. 11/07/09 – Pascal ROLLET, maçon et Elodie MOREAU, responsable adjointe magasin prêt-à- porter. 11/07/09–DavidGONÇALVES,menuisieretAnnie MORIN, sans profession. MARIAGES me revenant à la commune d’Houtaud, puisqu’on note l’absence de trottoirs…”. Dans son diaporama, on aperçoit ses difficultés à traverser le rond- point “Renault” à Pontarlier ou l’absence de trottoirs depuis l’entrée de l’agglomération (rond-point “Cuenot”) jusqu’au C.D. 130. Pour l’heure, son plan A n’a pas véritablement fonctionné. Il pourrait passer à un plan B.À savoir lancer une pétition ou coller des affiches sur son véhiculaire utilitaire, ou se garer sauvagement devant la mairie voire devant le domi- cile du premier magistrat à qui il reproche de ne pas fai- re son devoir de police. Ce der- nier s’en défend : “Nous n’avons pas attendu le courrier de M. Claude pour engager des projets, se défend Gérard Rognon. Nous allons engager en 2010 des travaux (avec le
23/06/09 – Auguste TROUTET, 85 ans, retraité, domicilié à Bannans (Doubs), veuf de Juliette LAI- THIER. 22/06/09–LaureMAUGAIN,95ans,retraitée,domi- ciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Marius TYRO- DE. 24/06/09 – Julien BULLE, 22 ans, ouvrier, domici- lié à Pontarlier (Doubs), célibataire. 29/06/09–GuyGUERREIRO,77ans,retraité,domi- cilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Raymonde BOBILLIER-MONNOT. 01/07/09 – Charles BOBILLIER-CHAUMONT, 83 ans,retraité,domiciliéàMontlebon(Doubs),époux de Andrée PETIT. 02/07/09 – Marie-Françoise AUBRY, 49 ans, agent demaîtrise,domiciliéeàLaRivière-Drugeon(Doubs), épouse de Gérard EDME. 05/07/09 – Ernest GRAF, 84 ans, fromager retraité, domiciliéàJougne(Doubs),veufdeNoëlleRYCHE- NER. 07/07/09 – Jeannine JACQUES, 78 ans, retraitée, domiciliéeàDoye(Jura),veuvedeMauriceJACQUES, 08/07/09 – Henri LANQUETIN, 83 ans, boucher- cuisinier retraité, domicilié à Pontarlier (Doubs), époux de Jacqueline PÔNE, 09/07/09 – Yvonne MOLTENI, 87 ans, retraitée, domiciliéeàPontarlier(Doubs),veuvedeLouisROU- CHON, 09/07/09 – Jean-Marie GUYON, 71 ans, contrôleur desdouanesretraité,domiciliéàPontarlier(Doubs), époux de Jacqueline DAMELET, 10/07/09–JeannineCLERC,79ans,retraitée,domi- ciliée à Pontarlier (Doubs), épouse de Henri ART- MANN, 10/07/09 – Marie PIANET, 77 ans, retraitée, domi- ciliéeàLesHôpitaux-Neufs(Doubs),veuvedePaul GUYON, Traversé par plus de 13 000 véhicules par jour, Houtaud réclame depuis belle lurette une déviation…que le Conseil général n’a toujours pas accor- dée. “On l’attend” dixit l’édile. Concernant le rond-point “Renault”, Gérard Rognon admet que ce nœud de com- munication est compliqué car il oblige à traverser une natio- nale. En revanche, la création d’un chemin blanc depuis la salle des fêtes reliant Houtaud à Pontarlier est plus facile- ment réalisable. Il n’empêche : les projets ont l’air d’avancer à l’image du pas d’un randon- neur. C’est-à-dire à faible allu- re. E.Ch. Conseil général) pour amélio- rer une partie de la sécurité sur la route départementale et pour les sorties des voies com- munales. L’appel d’offres est lancé.”
L’I.R.M. mobilise un technicien référent, Sébastien Salvi, ici aux côtés de Gilles Perriguey (à droite), l’un des radiologues du G.I.E.
du Scanner du Larmont.
État-civil de juillet
05/07/09–ZéliedeCharlesJEANBOURQUIN,ébé- niste et de Louise DE GRIBALDI, sans profession. 05/07/09–OrhandeMehmetYÜCEL,maçonetde Hatice KAÇMAZ, sans profession. 05/07/09 – Téo de Pierre-Olivier CHIAVEGATO, agentd’entretienetdeAngéliquePOBELLE,ouvriè- re. 05/07/09 – Loris de Christophe SUTTY, marbrier et de Carole VINCENT, coiffeuse. 06/07/09 – Léna de David ALENTEJANO, chauffa- giste et de Amélie CHAVANNE, secrétaire. 06/07/09 – Mélina de Amir HASANOVIC, magasi- nier et de Céline BULLE, aide-soignante. 06/07/09 – Tidéa de Pascal ROUSSET, ouvrier et de Gaëlle HAUBRY, coiffeuse. 06/07/09–MaeldeJulienANDRÉ,mécanicienauto- mobileetdeLaurèneBERNARDET,carrossierpeintre. 06/07/09 – David de Frédéric GUYON, agriculteur et de Véronique GIRARD, sans profession. 07/07/09–MayanedeYannickCOMTE,agriculteur et de Sandra HEELEY, adjoint administratif. 07/07/09–CharlydeYannDEFRASNE,chefd’équipe et de Lydie PICARD, chargée de clientèle. 07/07/09 – Juliette de Nicolas BARBE, éducateur spécialisé et de Isabelle PETITE, comptable. 07/07/09 – Lucia de Stéphane TOURNIER, chauf- feur livreur et de Line MAMET, responsable planifi- cation. 07/07/09 – Kélian de Julien MICHAUT, technicien et de Adeline VACHÉ, technicienne de laboratoire. 08/07/09 – Mathis de Thierry CHABOD, agriculteur et de Marielle DEVILLERS, infirmière. 08/07/09 – Maïlys de Marc CHAMBON, collabora- teur scientifique et de Claire GERBEAUD, formatri- ce. 09/07/09 – Clément de Romain CHERBUY, méca- nicien et de Sabrina FRAGNIÈRE, ouvrière. 09/07/09 – Marlon de Mathias BOURNEZ, respon- sablequalitéenvironnementetdeAudreyCUENOT, aide comptable.
NAISSANCES
24/06/09 – Hugo de Jean-Marie FUMEY, cuisinier et de Isabelle POURNY, ouvrière. 25/06/09 – Gabin de Yvan BINOT, éducateur spor- tif et de Karine LOCATELLI, secrétaire. 25/06/09–FiniadeDanielMATTHEY,agriculteuret de Manuela STEIGER, conjointe collaboratrice 26/06/09 – Marius de Gaël MARANDIN, ambulan- cier et de Anne-Laure PARRIAUX, infirmière. 27/06/09 – Antoine de Philippe DUQUET, employé territorial et de Odile BAUJAT, institutrice. 27/06/09 – Flavie de Philippe PASTEUR, sans pro- fession et de Mélanie SAGE, comptable. 27/06/09 – Clémence de Antoine MAIRE, acheteur et de Laurence ANNICHINI, comptable. 27/06/09 – Valentin de Nicolas WENGER, gérant et de Christelle DARD, commerciale. 28/06/09 – Léna de Christophe MATHIEU, ges- tionnaire de stock et de Maryline LANDOIS-MAL- APERT, opératrice de production. 28/06/09 – Clémentine de Samuel GOUX, chargé deprojetetdeChrystelleRENARD,chargéedepro- jet. 28/06/09 – Samuel de Pierre-Alain HADJEB, ven- deur en électricité et de Jessica POULTAIT, sans profession. 27/06/09 – Jao de Anthony CHARGÉ, employé de banque et de Angélique VOUE, responsable agen- ce intérim. 29/06/09 – Rafael de Cédric DELGRANDE, méca- nicien automobile et de Fabienne FERRERO, employée de banque. 30/06/09–FlorinadeRizahHAJDARI,ouvrieretde Céline GUYON, professeur des écoles. 30/06/09 – Lilian de Pierre-Yves BOUTTEÇON, contrôleur de gestion et de Lucille PERREY, horlo- gère.
30/06/09–MargauxdePierre-HenriETHALON,chef d'entreprise et de Delphine BOILLON, secrétaire. 01/07/09 – Alice de Jérome TROUTET, exploitant agricoleetdeFabiennePAILLARD,employéeadmi- nistrative. 01/07/09 – Julie de Jean-François PORTE, infor- maticien et de Stéphanie PLADEAUD, ouvrière. 01/07/09–Paul-LouisdeAndyBIENAIMÉ,infirmier et de Nathalie GALAS, infirmière. 02/07/09 – Moktar-Hannibal de Ibrahima BATHILY, éducateur et de Saïda HAMZA, éducatrice spécia- lisée. 02/07/09 – Laura de Jérôme BRENET, comptable agricole et de Sylvie BOURDENET, aide-soignan- te. 03/07/09–NinodeCédricBONGARZONE,employée de commerce et de Fanny LAITHIER, gérante. 02/07/09–HugodeHervéBAUD,maçonetdeSté- phanie COTTON, hôtesse de caisse. 02/07/09 – Fanny de Bin YANG, restaurateur et de Hongman ZHAO, restauratrice. 02/07/09 – Lenny de Gaby QUINCAMPOIS, intéri- maire et de Elodie GUITARD, sans profession. 02/07/09 – Dylan de Julien BETTONI, ouvrier et de Laëtitia BARATTO, ouvrière. 03/07/09 – Alban de Nicolas MARGUIER, électro- mécanicien et de Isabelle CORREIA, aide médico- psychologique. 03/07/09 – Océane de Frédéric CLAUDEL, menui- sieretdeVirginieROY,manipulatriceenradiologie. 04/07/09 – Léna de Aurélien PERREAU, peintre industriel et de Sabrina GUSMINI, horlogère. 04/07/09 – Émile de Vivian LOUVEL, ingénieur et de Elodie FAMEL, artiste. 03/07/09 – Lila de Paulo ELIAS COELHO, ouvrier et de Aurélie TARARE, ouvrière.
19/06/09 – Nino de Lionel PASTEUR, agent d’assuranceetdeStéphanieBROCARD,assistan- te commerciale. 19/06/09 – Noa de Anthony MOREL, serveur et de Laurence MICHEL, vendeuse. 20/06/09 – Thibault de Jérôme PERSON, cuisinier et de Céline HENNEQUIN, sans profession. 20/06/09 – Chloé de Cyrille TOURNIER, carrossier peintre et de Emmanuelle FAIVRE, coiffeuse. 21/06/09–CandicedePhilippeSOLT,agentdeser- vicedeseauxetdeEmmanuelleLORANGE,accom- pagnante de proximité. 21/06/09 – Hortense de Eric DUBERNAT, ambu- lancier et de Sandrine BEURET, ambulancier. 21/06/09 – Sibel de Muhammet ÖZDEMIR, chauf- feur camion et de Mélanie MEN, sans profession. 21/06/09 – Laura de Christophe RIGOLOT, exploi- tant agricole et de Fanny CHARRIERE, ouvrière. 22/06/09 – Nathan de Hugo MODOUX, charpen- tier et de Béatrice BOURGEOIS, éducatrice. 22/06/09 – Charly de Lionel PONTARLIER, techni- cien de maintenance et de Aurélie MAINIER, aide- soignante. 22/06/09 – Mathis de Nicolas PERNET, agriculteur et de Séverine FAURE, préparatrice en pharmacie. 23/06/09 – Maëlle de Yann PELLEGRINI, cuisinier et de Flore LAGUERRE, ouvrière. 23/06/09 – Louis de Rémy MOURLOT, mécanicien affûteur et de Isabelle VIEILLE-MECET, éducateur sportif. 23/06/09–AlexisdeFabriceDÉSARMÉNIEN,agent de sécurité et de Valérie GUET, caissière. 23/06/09–SanadeJean-FrançoisBILLANT,ouvrier et de Mounira DJEBAR, sans profession.
DÉCÈS
21/06/09 – Pierre MARTIGNONI, 80 ans, ingénieur TP retraité, domicilié à Morteau (Doubs), époux de Geneviève BINETRUY. 20/06/09–JulesJEANNIN,89ans,gendarmeretrai- té, domicilié à Pontarlier (Doubs), veuf de Concet- tina SORMANNI.
PONTARLIER ET ENVIRONS
La Presse Pontissalienne n° 118 - Août 2009
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CONSOMMATION
Zoom Tarification eau potable à Frasne EAU - TRANCHE TARIF 2010 Tranche 1 : de 1 à 50 m 3 0,70 euro par m 3 Tranche 2 : de 51 à 1 000 m 3 0,65 euro par m 3 Tranche 3 : + de 1 000 m 3 0,59 euro par m 3 Frais Fixe compteur 10,00 euros
Exemple à Frasne
En explorant les limites de la tarification décrois- sante en place dans la plupart des communes, Michel Renaud, un citoyen de Frasne, met en évidence les travers du système qui n’incite pas à réduire sa consommation. Eau potable : pour payer moins, consommez plus !
terait les gros à moins gaspiller. Première idée : le prix unique. Basée sur le tarif de la tranche média- ne, cette option lui semble la plus simple et
Nouveau calcul établi sur une consommation de 1 200 m 3 . En tarification unique, la facture s’élèverait à 780 euros. Elle serait légèrement supérieure avec la seconde méthode préconisée : 787 euros. Michel Renaud esti- me alors tout à fait justifié ce montant proportionnel arguant du fait “qu’un gros consomma- teur sollicite plus le réseau de distribution” , le coût de main- tenance étant forcément plus cher. À méditer.
À se demander parfois s’il ne vaudrait pas mieux gaspiller l’eau…
À Frasne comme ailleurs, mieux vaut consommer annuellement 51m 3 plu- tôt que 50 m 3 car vous paierez 33,15 euros au lieu de 35 euros. La différence reste modique mais symptomatique. Cela devient en revanche plus intéressant aux limites des
pages de l’équipe municipale en place. Au lieu du “payez moins, consommez plus” , il propose deux solutions qui avantageraient les faibles consommateurs et inci-
infiniment plus avantageux puis- qu’il vous en coûtera seulement 590,59 euros. Soit une différence de 59,41 euros qui correspond à une consommation de 91,4 m 3 en tranche 2 ou de 100,7 m 3 en tranche 3. Enfin, pour payer 650 euros, le consommateur de la tranche 3 devra utiliser plus de 1 101 m 3 . “Tout ceci est très inégalitaire” , mentionne Michel Renaud tout en admettant qu’il s’agit d’une démonstration par l’absurde appliquée à des cas extrêmes. Ce qui ne l’empêche pas d’ajouter : “Cet état de fait met en évidence les effets per- vers de la tarification utilisée par la commune de Frasne.” Toutes ces informations sont
publiées sur le site non officiel de la commune de Frasne (http://www.frasne.net/). Son auteur ne se gêne pas pour dénoncer les moindres déra-
la plus juste. Seconde alterna- tive : inverser tout simplement les prix des tranches 1 et 3 et facturer à partir de la premiè- re tranche.
SPORT
Partisan du jeu global
tranches 2 et 3. Pour 1 000 m 3 consommés en tranche 2,montant de la facture : 650 euros. Laissez couler 1 m 3 sup- plémentaire pour basculer dans la tranche 3 au tarif
Première idée : le prix unique.
Le C.A.P. rugby fait confiance à
Jean-Pierre Azémar Le nouvel entraîneur sollicité en remplacement de François Quer- ry reprend avec enthousiasme les rênes du club. Confidences.
L a Presse Pontissalienne : Que vous inspire ce retour 10 ans après avoir mené le club en Fédé- rale 1 ? Jean-Pierre Azémar : Je suis ravi de revenir. La montée en 1999 s’appuyait sur un grou- pe intéressant et volontaire avec lequel il était facile d’être exigeant. La situation a évolué. Il serait prématuré d’avoir des ambi- tions de ce style sans connaître les joueurs, leurs qualités, leurs rendements. On va d’abord essayer d’être dans le haut du tableau. L.P.P. : Comment comptez-vous y parvenir ? J.-P.A. : En constituant le staff qui soit le plus complet possible aussi bien sur le plan médi- cal, préparation physique, encadrement des jeunes. Je considère que j’ai plutôt un rôle fédérateur en charge de l’équipe senior avec des idées pour les juniors et les cadets. Il n’y avait pas assez des jeunes il y a 10 ans pour se maintenir en Fédérale 1 d’où le sou- ci d’apporter de la cohérence entre toutes les catégories. L.P.P. : Privilégiez-vous un style de jeu en particu- lier ? J.-P.A. : Le jeu global, c’est le rugby. Il faut trouver un bel équilibre entre un paquet d’avants costaud et mobile et des arrières qui se font des passes et savent aussi défendre. L’avenir est dans la polyvalence. L.P.P. : Y a-t-il du recrutement dans l’air ? J.-P.A. : On tenait d’abord à conserver tous les joueurs. C’est fait et ils ont envie de pour- suivre l’aventure.Tous les membres du staff admettent qu’il manque peut-être quelques joueurs. Des contacts sont établis. Je pré- fère miser dans un premier temps sur un recrutement régional. La porte est ouverte à tous ceux qui ont envie de tenter leur chan- ce au C.A.P. Ils peuvent venir. Je m’engage même à les laisser repartir en cours de sai- son dans leur club. Il sera peut-être perti- nent de trouver plus tard un ou deux joueurs de très bon niveau même si ce n’est pas la priorité actuelle. L.P.P. : Peut-on revenir sur les raisons qui ont moti- vé votre départ du club de Lons-le-Saunier ? J.-P.A. : Comme j’étais en désaccord avec les
dirigeants, j’ai préféré partir plutôt que de cautionner quelque chose de malsain. Je n’ai pas signé de contrat avec le C.A.P., seu- lement un engagement moral. Je suis en train de caler les choses avec mon activité professionnelle (N.D.L.R. : manager dans le travail temporaire). L.P.P. : Ce poste d’entraîneur au C.A.P. n’est donc pas un emploi salarié ? J.-P.A. : Non. Le club ne pourrait pas se le permettre. On essaie de trouver une solu- tion de rémunération légale. Je fais confian- ce à Jean-Louis Gagelin (le président) pour ça. L.P.P. : Cette année, ne craignez-vous pas un cham- pionnat à deux vitesses avec les différences de bud- get des clubs qui joueront dans la poule de Pontar- lier ? J.-P.A. : Ça pourrait être le cas si l’on se réfè- re uniquement aux budgets. Mais heureu- sement, la cohérence et la motivation d’un groupe ne reposent pas uniquement sur des considérations financières. Je pense que Pontarlier a les moyens de faire des trucs. Pour moi, c’est le début d’une aventure tota- lement nouvelle. Je ne ferai jamais le paral- lèle avec ce qui s’est passé il y a 10 ans. Propos recueillis par F.C.
Jean-Pierre Azémar veut privilégier la complémentarité entre les lignes avants et arrières, à la base du rugby global.
PONTARLIER ET ENVIRONS
La Presse Pontissalienne n° 118 - Août 2009
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EN BREF
SOCIÉTÉ Étiquettes illisibles Eau : la grande foire des appellations Bien au fait du sujet avec son projet d’eau du Mont d’Or, Robert Droz-Bartholet dénonce la zizanie qui règne autour de l’eau en bouteille. Mise au point.
Jougne “Jougne, petite cité comtoise de caractère”, ouvrage sorti récemment aux éditions “Lieux dits”. Lectures de textes par les comédiens des Nuits de Joux en liaison avec l’exposition Portraits du XIX ème siècle dans les musées comtois et les collections privées au musée de Pontarlier les samedis 25, juillet, 1 er et 8 août. Renseignements au 03 81 38 82 14. Vacances La ville de Pontarlier propose des stages pour les plus jeunes cet été. Stages pour les 7/9 ans (musique et peinture, handball, rugby), pour les 10/12 ans (atelier cinéma, soldats du feu, Robinson Crusoé, catamaran, planche à voile, rugby). Et stage pour les 13 ans et plus (atelier cinéma, escalade, aviron, voyage au pays des arbres, boule lyonnaise, catamaran, planche à voile). Renseignements au 03 81 38 82 46. escalade, aviron, boule lyonnaise, roller, handball,
L a seule certitude dans l’eau, c’est H2O. Pour le reste, c’est prati- quement du cas par cas. Bien dif- ficile de s’y retrouver quand on n’est pas un spécialiste des appellations ou des propriétés physico-chimiques. “On mélange tout. Rien n’est fait pour éclai- rer le consommateur” , observe Robert Droz-Bartholet, le pharmacien engagé depuis plusieurs années dans son pro- jet O’Barth. Sa finalité étant d’exploiter commercialement l’une des sources du Mont d’Or.
tation, filtration et désinfection finale à l’ozone. En clair, c’est de l’eau du robinet mise en bouteille mais pas vendue au même prix.” L’eau de source désigne quant à elle de l’eau potable sans traitement, toujours issue d’une origine souterraine dont la qualité varie très peu. Dans cette catégorie, la palme revient à la
“Il faut s’arracher les yeux sur l’étiquette pour trouver les propriétés de l’eau” dénonce Robert Droz- Bartholet.
Rien n’est fait pour éclairer le consommateur.
On distingue quatre types d’eau en bou- teilles. En premier lieu la plus basique : l’eau de boisson. Rendue potable par traite- ment, elle correspond tout simplement à de l’eau du réseau. “Dans ce domaine, c’est pro- bablement la ville de Besançon qui a réus- si le plus beau coup marketing avec sa Bisontine.Tout est écrit sur l’étiquette. Décan-
Cristalline, qui réussit le tour de force de mélanger 20 sources différentes dans un seul et même produit. Autre produit très en vogue, ces eaux légèrement aromatisées dont l’étiquette annonce boisson à base d’eau de sour- ce. De quoi y perdre son latin. “On peut aussi différencier l’appellation eau de source de montagne réservée aux sources à plus de 500 mètres d’altitude.” La quatrième et dernière catégorie se réfère aux eaux minérales du type Vit- tel, Volvic, Évian, Vichy Saint-Yorre… Toujours d’origine souterraine, elles
fecter correctement les mains. Le devoir d’information est pourtant parfaite- ment respecté sous réserve que le consommateur fasse l’effort de lire les étiquettes. Mieux vaut avoir une bon- ne vue pour déchiffrer les caractères minuscules qui renseignent sur la caté- gorie et les propriétés physico-chimiques. “Ce serait beaucoup plus simple d’afficher un tableau récapitulatif et plus lisible aux rayons eau” , suggère Robert Droz- Bartholet. Mais cela ne coule pas enco- re de source… F.C.
ont une composition constante et pré- sentent en plus des propriétés inté- ressantes pour la santé. “Certaines de ces eaux peuvent ne pas être potables selon les normes de potabilité. On peut citer l’exemple des eaux ferrugineuses prescrites seulement sur avis médical.” Robert Droz-Bartholet se montre plu- tôt sceptique sur l’utilisation qu’on fait des bonbonnes à eau. Souvent placés à proximité des toilettes, ces distribu- teurs peuvent être de véritables pièges à bactéries quand les utilisateurs ne prennent pas la précaution de se désin-
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