La Presse Pontissalienne 249 - Septembre 2020
PONTARLIER
La Presse Pontissalienne n°249 - Septembre 2020
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EN BREF
LOISIRS
Aucune date de reprise La Première tire un trait sur la rentrée
Champignons La société d’histoire naturelle du Haut-Doubs organise son traditionnel salon du champignon les 19 et 20 septembre à la salle Toussaint-Louverture à Pontarlier. Renseignements au 07 86 03 81 28. L’Esperluète Le café littéraire L’Esperluète (rue Vannolles à Pontarlier) a rouvert ses portes le 1 er septembre. Ce lieu, associatif, est ouvert à tous, sans obligation de consommer, du mardi au samedi de 10 heures à 18 heures Les places pour la prochaine animation culturelle : Concert Roy de Chœur (reprises de variétés version acoustique) samedi 5 septembre à 20 h 30 (entrée libre, participation “au chapeau”). Les places sont limitées. Réservation obligatoire : 06 33 66 20 71 Les portes ouvertes de l’unité locale de la Croix Rouge à Pontarlier auront lieu le 11 septembre de 10 heures à 19 heures au local historique des casernes Marguet. L’occasion de découvrir les activités : secourisme, formation, aide alimentaire, vesti-boutique, alphabétisation, transport d'utilité sociale, Samu social. ou 03 81 39 34 27 ou esperluetepontarlier @gmail.com Croix Rouge
À la discothèque pontissalienne, plutôt que de se lamenter, le gérant Marc Vernier a fait le choix de rénover en totalité sa boîte de nuit. En attendant des jours meilleurs.
L es discothèques ne sont pas à la fête en 2020, c’est le moins que l’on puisse dire. Le durcisse- ment des restrictions n’annonce rien de bon. “Quand on entend parler de zone rouge, quaran- taine, couvre-feu à 23 heures, on sait qu’on ne rouvrira pas La Première à la rentrée comme je l’espérais” , explique Marc Vernier qui garde néanmoins le moral. La preuve, il profite de ses arrêts forcés pour refaire sa discothèque. “On pourra pro- poser un nouveau concept au public dès qu’on sera autorisé à ouvrir.” La Première est aussi une entreprise qui emploie une quinzaine de salariés. La plu- part sont à temps partiel et ont un autre emploi. “Tous nos salariés bénéficient actuelle- ment du chômage partiel. La situation n’est pas catastro- phique. On tient le coup. On a la chance d’avoir fait de bons exercices depuis l’ouverture de La Première en 2016. On est
dans l’attente de la publication d’un nouveau décret qui per- mettrait de couvrir les charges fixes des trois derniers mois.” Bien sûr, la profession estime que tout le monde n’est pas logé à la même enseigne en voyant les aberrations de rave- parties , de soirées bondées sur les plages, de spectacles à forte affluence. Pour autant, Marc Vernier préfère encore patien- ter plutôt que de travailler dans des conditions alambi- quées. “On veut rouvrir sans
La Première fait peau neuve pendant ette fermeture imposée à toutes les discothèques de France.
cas pour La Première.” La situation est la même pour une des autres boîtes de nuit du Haut-Doubs, le 3 ème Club aux Fins. Là aussi, les charges fixes tombent à chaque fin de mois. Elles sont évaluées pour le 3 ème Club à 10 000 euros par mois. “Jusqu’au 30 octobre, ce sont 75 500 euros de charges que je dois payer !” , compte Fré- déric Chapuis, le responsable. Ouverte le 24 mai 2019 après une année de fermeture, la boîte de nuit a trouvé sa clien-
tèle et son rythme de croisière avant que le virus ne coupe cet élan. “Nous étions dans l’eu- phorie de la première année, avec une très bonne clientèle, présente en nombre. Aujourd’hui, le secteur de la culture et celui de l’amusement se sentent délaissés. Nous avons eu des réunions avec le minis- tère de l’Économie et le préfet du Doubs mais on se sent délaissés ! Certes, nous avons le chômage partiel…mais nos charges fixes sont toujours là.
risques pour nos clients. On sait très bien que la distanciation dans une disco- thèque, c’est impossible à gérer. On attend donc, c’est le jeu. Je pense qu’avec le Covid, on va entrer dans une nouvelle ère et ce sera aussi le
On dit à l’État :“ne nous laissez pas crever !” En France, 1 600 établisse- ments de nuit sont comptabi- lisés. Entre 200 et 300 étaient déjà en difficulté avant la crise. Combien tiendront-ils le choc ? En Suisse voisine, les disco- thèques demeurent ouvertes mais la Confédération a annoncé le 19 août dernier une limitation à 100 personnes. Une pièce d’identité et numéro de téléphone sont demandés aux fêtards. n
“On attend donc, c’est le jeu.”
Publi-information C’est le moment de s’installer à Métabief !
Le promoteur Seguin Actions Immobilières engage, au centre de Métabief, la rénovation d’un bâtiment qui deviendra la Résidence Armel. Elle comprendra dix logements de standing, du T1 au T4. La commercialisation démarre.
T4. “Il y a dans cette petite copropriété à taille humaine deux T4 avec chacun une terrasse de 40 mètres carrés exposée plein sud. Il s’agit d’une rénovation lourde. Ce projet équivaut pratiquement à une reconstruction à neuf en respectant les normes en vigueur. Les travaux sont réa- lisés par des entreprises locales” souligne Jean-Marie Seguin. Chaque appartement est vendu avec un garage et deux places de parking. L’installation électrique des logements est prévue pour développer toute la domotique “qui va permettre de gérer la lumière, de détecter une pré- sence…, au final d’augmenter le niveau de confort des occupants tout en réalisant des économies d’énergie.” La commercia- lisation de la Résidence Armel vient de démarrer. Pour aider les futurs acquéreurs à se
C ela fait 25 ans maintenant que Seguin Actions Immobilières réalise des programmes immo- biliers principalement à Besan- çon et dans le Haut-Doubs. Il s’agit de constructions à taille humaine, de 15 à 20 logements, bien intégrées dans leur environnement comme en souhaitent les municipalités. La qualité du bâtiment, le confort thermique, l’agencement des volumes, l’apport de la domotique font partie du cahier des charges des projets portés par cette entreprise créée par
L’installation électrique de chaque logement est prévue pour y déployer la domotique.
Jean-Marie Seguin. Chaque opération immobilière qu’il engage avec ses équipes est guidée par la recherche d’une qualité de vie pour les futurs occupants. C’est avec cette philosophie que Seguin Actions Immobilières engage la rénova- tion d’une grande maison au centre de Métabief, rue du Télésiège, pour en faire la Résidence Armel (en hommage à la personne qui portait ce prénom et qui a construit cette maison). Une fois les tra- vaux terminés, le bâtiment accueillera dix appartements de standing du T1 au
projeter dans leur logement, Jean-Marie Seguin utilise les nouvelles technologies. Lorsqu’il vend un appartement sur plan, il en propose la visite virtuelle à 360°. “Cela permet au client de se projeter dans son futur logement que nous per- sonnaliserons à sa demande.” Lorsqu’il parle immobilier, Jean-Marie Seguin ne perd jamais de vue la qualité de service qu’il peut apporter à ses clients. Pour les investisseurs, le service passe aussi par des conseils en défiscalisation pro- digués par des conseillers patrimoniaux indépendants. l
Seguin Actions Immobilières c’est… l 25 années d’expérience l Des nouveaux locaux à Besançon - Immeuble Clover l Un bureau de maîtrise d’œuvre l De l’aménagement de lotissements libres constructeurs selon les projets l La recherche de la qualité de vie pour les futurs occupants l Du conseil et des services
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1, route de Franois ( à côté du Grill du Trappeur) Immeuble Clover - 25000 BESANÇON Service commercial : 03 81 81 03 01 - E-mail : commercial@seguin-immobilier.com www. s e g u i n - i mmo b i l i e r. c om
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Jean-Marie SEGUIN : “Ce projet équivaut pratiquement à une reconstruc- tion à neuf”
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