La Presse Pontissalienne 222 - Avril 2018

PONTARLIER

La Presse Pontissalienne n° 222 - Avril 2018

15

ENSEIGNEMENT Classe à projet La musique, source d’épanouissement scolaire Les élèves de seconde 4 du lycée Xavier-

met en place la musique d’un court-métrage, indique Marie. On est bien encadré. Ce type d’ate- lier nous permet de jouer à plu- sieurs. On apprend à mieux se connaître.” Ses deux amies par- tagent le même enthousiasme. “Cela crée des liens” , note Can- dice. “On a aussi pris l’habitu- de de se retrouver en dehors de cette séance à la salle de musique pour jouer entre nous” , complè- te Lucie. Tous les élèves de la classe, qu’ils soient musiciens ou pas, parti- cipent à ces ateliers animés par

Marmier sont dans une classe à projet associant la culture et la pratique musicale. Ambiance.

L éo participe deux fois par semaine aux ateliers ani- més par Noé Michaud, ingénieur du son qui vient initier les élèves de seconde 4 aux technologies numériques. “On fait de la compositionmusi- cale. C’est difficile au début mais on se familiarise assez vite avec le logiciel” , explique Léo, plutôt

doué dans l’exercice qui consis- te au final à créer une partition de deux minutes à partir d’une musique existante. Dans la salle de musique voisi- ne, Candice, Lucie, Marie et d’autres élèves suivent avec attention les indications d’Éric Santato, le guitariste qui anime un autre atelier de pratique. “On

Les élèves, musiciens ou pas, se retrouvent pour s’initier ou approfondir leurs pratiques dans des ateliers encadrés par le professeur de musique Éric Santato.

février dernier à Paris où ils ont visité notamment l’Opéra Bas- tille : une ruche avec 23 sous- sols et 1 200 personnes. “J’y retourne enmai” , confirme Lucie visiblement encore sous le char- me de cette visite grandiose. Au fil de toutes ces actions, ces

des intervenants extérieurs. “Ils préparent un clip et un filmd’ani- mation conçu en partenariat avec le ciné-club de Pontarlier. Ce tra- vail sera restitué le 29 mai au théâtre Blier.Après la séance du ciné-club, ils présenteront aussi un spectacle musical et une piè- ce de théâtre” , annonce Éric Par- net, enseignant en histoire-géo impliqué dans cette classe à pro- jet. Les élèves apportent aussi leur contributionmusicale dans l’animation du lycée. Ils font quelques concerts et spectacles internes. Quelques profession- nels de la musique : guitariste flamenco, programmateur du festival des Eurockéennes vien- nent aussi témoigner et parta- ger leur expérience avec la clas- se. Au menu, un voyage qu’ils ne sont pas près d’oublier en

de la démarche. Chaque ensei- gnant aborde ainsi régulière- ment lamusique sous des angles culturels, historiques, techniques, socio-économiques…Les entrées sont multiples : musiques du monde, rapport de la musique à l’image, travail sur le son, recherche d’algorithmes, bio- graphies de grands musiciens, comédie musicale…Lamusique devient une matière transver- sale qui fédère l’équipe pédago- gique. Une vraie richesse dans un milieu souvent cloisonné qui n’a pas toujours l’occasion d’œu- vrer de concert. À noter qu’il y a six classes à projet au lycée Xavier-Marmier, ce qui laisse à tous les élèves la possibilité de vivre différem- ment leur scolarité. n F.C.

“On fait de la composition musicale”, explique Léo en évoquant les séances d’initiation aux technologies numériques animées par Noé Michaud, ingénieur du son.

expériences nou- velles hors du pro- gramme scolaire, la classe a trouvé une certaine cohé- sion. L’esprit de groupe l’emporte et cela donne une bonne ambiance de classe. Lamusique, c’est aussi un sup- port qui peut se décliner dans toutes lesmatières. C’est tout l’intérêt

Au menu, un voyage qu’ils ne sont pas près d’oublier.

Publi-information D-sign Cuisine, la vraie cuisine sur-mesure Installé à Dommartin, le magasin D-sign Cuisine se distingue sur le marché par sa capacité à proposer des cuisines vraiment sur-mesure. Son gérant David Joncour crée par exemple des meubles qui montent jusqu’au plafond. L’esthétisme se marie à la valorisation de l’espace de rangement.

V ous cherchez un cuisiniste capable de vous proposer un agencement personnalisé avec desmeubles véritablement sur- mesure ? Alors rendez-vous à Dommartin chez D-sign Cuisine. Ce magasin qui a ouvert ses portes il y a

qui allient l’esthétisme, la fonctionna- lité et l’optimisation de l’espace. Une des marques de fabrique de D-sign Cuisine, ce sont les meubles qui vont jusqu’au plafond. Alors que la plupart des cuisinistes sont limités dans les hau- teurs et les largeurs demeubles,lui peut

ment un frigo américain afin de ne pas le faire dépasser des meubles et garan- tir des lignes épurées et une harmonie visuelle dans la cuisine” poursuit David Joncour. Si l’entrepreneur peut répondre à une telle demande, c’est parce qu’il a choisi des fournisseurs spécialisés dans le sur- mesure. Il s’agit de Comopi et d’Unis- sima, deux marques qui fabriquent des cuisines et du mobilier contemporain. Installées au Portugal depuis 40 ans, elles sont désormais présentes en Fran- ce grâce à D-sign Cuisine. Au regard de la qualité des produits, l’enseigne de Dommartin se positionne sur le haut de gamme, un marché sur lequel elle est très compétitive en termes de prix. Les lignes des projets réalisés par David Joncour sont contemporaines. Les cuisines peuvent se décliner dans toutes les couleurs, et dans divers effets matières tels que le bois. Chaque pro-

David Joncour accompagne et conseille les clients. Il réalise les plans d’implantation des cuisines. La pose est

utiliser tout l’espace dispo- nible si le client le souhaite. Résultat, la surface de ran- gement augmente, la cuisi- ne dans son ensemble est

un an,sous lemême toit que les “Antennes Paquette”, se distingue sur la place pour la qualité du mobilier qu’il commercialise autant que

assurée par des professionnels.

“L’électroménager vient de France.”

mieux finie, et il n’est plus nécessaire de faire la poussière au-dessus des meubles. “Nous sommes dans du sur- mesure à 100 %. Nous faisons ce que nos concurrents ne peuvent pas faire. Par exemple, j’ai étudié un agencement spé- cifique de manière à intégrer parfaite-

par sa capacité à le proposer dans toutes les dimensions. À cette adresse, la seu- le limite est l’imagination du client. “Chez moi, chaque cuisine est fabriquée pour un client. Je n’ai pas de stock” insis- te le gérant David Joncour. Il rompt avec les standards pour créer des cuisines

jet fait l’objet d’une simulation en 3D. Cela permet de découvrir la cuisine implantée dans son nouvel environne- ment. Si les meubles sont fabriqués au Por- tugal, leurs charnières sont produites en Allemagne. “Tout l’électroménager

que j’installe vient de France” ajoute David Joncour qui travaille avec des marques de référence. Il décline son savoir-faire dans d’autres domaines. Il implante des dressings et des salles de bains…toujours sur-mesu- re ! n

ESPACE PAQUETTE 1, Les Ravières - DOMMARTIN 06 68 98 12 24 - joncour.david@comopi.net

Made with FlippingBook - professional solution for displaying marketing and sales documents online