La Presse Bisontine 50 - Décembre 2004

BESANÇON

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En bref

L’enseigne Ikéa peut-elle s’installer à Besançon ? I MPLANTATION Dijon en 2005 Le projet a été évoqué par le géant suédois du meuble qui a choisi Dijon pour ouvrir un nouveau magasin l’année prochaine. Besançon faisait partie des sites étudiés.

Maison de retraite : une première pierre symbolique A VANNE -A VENEY 30 millions d’euros L’union syndicale des retraités du Doubs fait preuve d’iro- nie en programmant la pose de la première pierre du centre de long séjour d’Avanne-Aveney, le 17 novembre, alors que les travaux ne devraient pas débuter avant 2006.

! Combattants La section bisontine de la fédé- ration nationale des combat- tants prisonniers de guerres et combattants d’Algérie-Tuni- sie-Maroc organise son grand banquet des rois, dimanche 23 janvier 2005 au Grand Kur- saal de Besançon. Réserva- tions au 03 81 52 06 62 ou au 03 81 57 08 76. Famille Familles Rurales Fédération du Doubs et l’association des familles de Besançon propo- sent le service “Éclaircies” : des consultations auprès de psychologues ou de conseillères conjugales et fami- liales destinées aux familles qui le souhaitent. Objectif : améliorer les relations et la communication dans la famil- le. Renseignements au 03 81 40 11 67. U.R.S.S.A.F. Un nouveau service internet (www.compte.urssaf.fr) est destiné aux artisans, com- merçants et professions libé- rales. Il lui permet d’accéder directement sur son compte U.R.S.S.A.F. pour visualiser les éléments-clés de son dos- sier. ! !

L a première pier- re du futur magasin Ikéa a été posée à Dijon le 5 novembre dernier. Le géant du meuble et de la décoration ouvri- ra ses portes dans la capitale bourguignonne le 31 août 2005. À 5 minutes du centre-vil- le, le magasin d’une sur- face de 23 000 m 2 sera implanté sur la friche

ce dans nos parkings et les files d’attente aux caisses. On réfléchit donc àmultiplier le nombre de nos points de vente. C’est pour cela qu’il n’est pas du tout impossible que l’on suive cette politique de rapprochement.” À l’image d’un pays com- me l’Allemagne où à cer- tains endroits, deux magasins Ikéa cohabi- tent à moins de 100 km d’intervalle. Avant cela, d’autres implantations sont pré- vues dans les deux pro- chaines années, notam- ment Saint-Étienne, Montpellier et Francon- ville (région parisienne). Actuellement, Ikéa pos- sède 14 magasins en France dont 5 en région parisienne. La réflexion autour d’un Ikéa bison- tin “pourrait être réacti- vée d’ici trois ans” selon la direction. " J.-F.H.

1 million d’habitants, explique Richard Vathai- re, directeur de l’immo- bilier d’Ikéa France. L’agglomération de Besançon nous avait sol- licités, il n’y avait pas a priori de problèmes de terrain, mais l’implan- tation dijonnaise s’est révélée plus intéressan- te.” À terme, cela ne signifie pas pour autant que l’ar-

L e 17 novembre, c’est une action symbolique en for- me de pique lan- cée contre l’État, quemène l’union syndicale des retrai-

restant du surcoût sont supportés par l’établisse- ment lui-même, qui a recours à l’emprunt. “Aujourd’hui, nous sommes dans l’avant-projet som- maire. L’Agence Régiona- le d’Hospitalisationdevrait l’approuver d’ici la fin de l’année. Ensuite, il restera notamment unephased’étu- de et à consulter les entre- prises. Début 2006, les tra- vaux devraient débuter” indique Jean-Paul Essert, directeur de ce centre qui sera reconstruit dans sa totalité à l’exception d’un bâtiment administratif. Actuellement, l’établisse- ment Jacques Weinman accueille 290 résidents. " T.C.

sur ce chantier, fixant ain- si l’addition finale à 30mil- lions d’euros. L’État et le Conseil géné- ral duDoubs sont co-finan- ceurs de cette opération à

rivée d’Ikéa à Besançon soit totalement condamnée. “En remettant à plat notre politique d’ex- pansion, on s’est aperçu que

hauteur de 2,25 millions d’euros chacun. LeDépar- tement s’est enga- gé à assumer le surcoût de 5 mil- lions d’euros à hauteur de 25%. L’État a été solli-

tés du Doubs, en posant la première pier- rede la recons- truction du centrede longs séjours et d’ac- cueil Jacques Weinman à

de l’ancienne S.E.I.T.A., au milieu d’un terrain de 7 hectares en bordure de la rocade Est. Le choix de Dijon a été

“Le potentiel de Dijon nous a parus plus élevé.”

“Nous sommes dans l’avant- projet sommaire.”

cité pour qu’il fasse un ges- te dans lesmêmes propor- tions. Selon l’union syndicale, cette demande est “sans réponse à ce jour.” Finalement, le Conseil général prend à sa charge la part de l’État et les 50%

Avanne-Aveney. En réali- té, le projet inscrit au contrat de plan et lancé en 2000 n’est pas aussi avan- cé. Il accuse un léger retard suite à une polémique qui a suivi l’annonce d’un sur- coût de 5 millions d’euros

préféré à celui de Besan- çon, suite à une étude effectuée en 2002. “ Le potentiel de Dijon nous a paru plus élevé. À moins d’une heure de route, il y a un potentiel de 400 000 ménages, soit

l’enseigne Ikéa est connue, appréciée, et que les gens n’hésitent pas à faire jus- qu’à deux heures et demi de route pour venir chez nous. Le revers de la médaille, ce sont les dif- ficultés à trouver une pla-

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