Journal C'est à dire 250 - janvier 2019

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L’hôpital n’a toujours pas de directeur Morteau Depuis le départ en octobre de Delphine Uring, l’hôpital Paul-Nappez de Morteau n’a plus de direction attitrée. C’est le directeur de l’hôpital de Pontarlier qui fait l’intérim. En attendant (ou pas) la nomination d’un nouveau.

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communal de Haute Comté (C.H.I.H.C.) dont le siège est à Pontarlier qui assure la direc- tion temporaire. “Depuis novembre, on est sous la coupe du directeur de Pontarlier, il est présent à Morteau tous les mar- dis” indique un cadre de l’hôpi- tal. Depuis le départ de Delphine Uring, Morteau ne devrait plus avoir de directeur à proprement parler. Un directeur adjoint, dépendant de celui de Pontar- lier, doit être nommé en ce début d’année. “Le poste a été publié” confirme l’Agence régionale de santé (A.R.S.) qui précise que cette future recrue “aura pour

ment de 1 000 Communautés professionnelles territoriales de santé (C.P.T.S.) pour mailler le territoire national à l’horizon 2022 ainsi que la labellisation dès 2020 des premiers “Hôpitaux de proximité” dont j’imagine que Morteau fera partie. J’ai confian- ce en l’avenir de cet hôpital” note le maire qui écarte toute pos- sibilité de voir l’hôpital mor- tuacien fusionner avec celui de Pontarlier. Il souhaite aussi que Morteau bénéficie d’un direc- teur, certes adjoint du directeur de Pontarlier, mais qui soit à temps plein à la tête de l’éta- blissement mortuacien. n J.-F.H.

mission de préparer une direc- tion commune entre le centre hos- pitalier de Morteau et le C.H.I.H.C.” Le début d’un rap- prochement administratif entre les établissements mortuacien et pontissalien. “À terme, il se pourrait bien que Morteau entre le giron de Pontarlier” note une source proche du dossier. Le maire de Morteau Cédric Bôle, qui est également prési- dent du conseil de surveillan- ce de l’hôpital, attend lui aussi la nomination d’un directeur adjoint. “Nous sommes en dis- cussion avec l’A.R.S. dans le cadre du plan “Ma santé 2022” qui prévoit notamment le déploie-

D elphine Uring, la jeu- ne directrice de l’hô- pital de Morteau arri- vée il y a moins de 5 ans à la tête de l’établissement de soins mortuacien, a quitté le Haut-Doubs en octobre, laissant l’hôpital sans tête. La jeune direc- trice de 29 ans a été nommée à la tête d’un autre centre hos- pitalier à Beaugency, dans la région d’Orléans. Depuis le 1 er novembre, les équipes du centre hospitalier mortuacien attendent donc la nomination d’un successeur. En attendant, c’est Olivier Volle, le directeur du Centre hospitalier inter-

Depuis le départ de Delphine Uring (en haut), c’est Olivier Volle, le directeur de l’hôpital de Pontarlier qui assure la direction pro- visoire (photos archives Càd).

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Un poste de “directeur adjoint” a été ouvert par l’A.R.S. pour l’hôpital de Morteau.

Le policier municipal bientôt armé ? La commune a toutes les autorisations pour munir son nouveau policier d’une arme létale. Décision au prochain conseil municipal prévu fin janvier. Les Fins

L es Fins a-t-elle vrai- ment besoin d’un poli- cier municipal muni d’un pistolet à la cein- ture ? “Il suffit d’une fois” rétorque le maire Bruno Todes- chini. Loin des flambées de vio- lence ou des attaques à main

la sécurisation de la voirie près de l’école, la petite délinquan- ce, les conflits de voisinage, la chasse aux dépôts d’ordures sauvages. À ce titre, la commune des Fins a déjà pris la main dans le sac des individus venus jeter leurs détritus. Elle a fait payer l’enlèvement. La com- mune réfléchit à la mise en pla- ce - sur certains secteurs - de vidéoprotection. “Nous avons l’opération “voisins vigilants” qui nous a permis de faire bais- ser sensiblement le nombre de cambriolages puisque 300 habi- tants peuvent signaler des voi- tures ou individus suspects. La gendarmerie a pu interpeller dernièrement un dealer suite au renseignement d’un habitant” évoque la mairie. Aux Fins, il y a les yeux pour surveiller… et bientôt l’arme pour dissuader. n

demande au préfet et sous-pré- fet. L’État avait plutôt proposé une arme non létale type taser. Depuis, nous avons fait de nou- velles démarches. La préfectu- re nous autorise : il ne reste plus que la décision des élus.” Pour les “pro”-arme létale, un pis-

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tolet à l’achat coûterait moins cher qu’un taser. Encore faut-il trouver le bon agent et qu’il accepte. Tous ne sont pas formés ou habitués

armée, la commune est proche de donner la possibilité à son agent de défendre la popu- lation et sa personne en cas de légitime

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à manier un revolver. Le futur policier municipal qui prendra ses fonctions le 1 er février semble remplir les conditions. Ancien agent à Morteau, c’est un gen- darme de formation. L’agent finois bénéficiera d’un gilet pare-balles, d’un bâton télescopique et d’une gazeuse. Ces missions premières restent

défense. “La décision sera pri- se en conseil municipal. Il faut qu’il y ait un débat parce que les élus vont donner une res- ponsabilité physique et mora- le au policier s’ils décident de l’armer” précise le premier magistrat. Lui semble plutôt “pour”. “Après les attentats de Nice en 2016, j’avais fait la

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