Journal C'est à dire 239 - Janvier 2018

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Musique L’orchestre Victor Hugo Franche-Comté à Morteau L’orchestre Victor Hugo Franche-Comté investit la scè- ne du Théâtre de Morteau le jeudi 25 janvier pour pré- senter son concert “Nuage Rouge”. Ambiance Amérique des grands espaces garantie.

Musique The Dustburds, de la soul, du fun et du punch Pendant trois ans, le batteur Maximilien Maire s’est immer- gé dans la culture pop des années soixante pour aboutir à la création de The Dustburds. Son groupe reprend les codes des sixties et joue une musique soul parfaitement arran- gée, avec des bases rock musclées. Du fun et du punch !

dans un espace-temps irréel. C’est “l’éter- nelle question de l’existence” que pose Charles Ives avec The Unanswered question (La Ques- tion sans réponse), œuvre qui a déchaîné tant de commen- taires…Tandis que les couleurs pointillistes et les nappes sonores de Tres mitos Andinos, œuvre du compositeur franco- argentin Esteban Benzecry, convoquent les mythes andins. Le comédien Nicolas Dufour donnera vie à cette histoire poé- tique, parfois drôle et toujours captivante en lisant le texte de Vincent Cuvellier, sur une mise en scène de Guillaume Dujar- din. n Tarif réduit : 8 euros Réservations à l’Office de tourisme de Morteau Nuage rouge Jeudi 25 janvier à 20 heures Théâtre de Morteau Tarif normal : 10 euros -

A vec The Dustburds, son nouveau groupe, Maximilien Maire plonge dans une musique aux influences pop, rock et soul des sixties qu’il affec- tionne particulièrement. À bien- tôt 40 ans, le batteur mortua- cien qui œuvre plutôt dans le genre metal, punk, de la scène alternative, ouvre une paren- thèse avec ce projet qui sonne le retour aux sources. “Je vou- lais retrouver les sonorités liées aux origines de toute cette scè- ne pop sixties que mes parents écoutaient et par laquelle je suis venu à la musique” raconte Maximilien Maire qui a fondé The Dustburds en septembre. La naissance du groupe est l’aboutissement de trois ans de travail qu’il a consacré à écri- re des morceaux, à en arranger d’autres, à trouver une signa- ture sonore vintage qui trans- pire la soul avec en plus des bases rock musclées. Max s’est immergé dans les décennies 60- 70, dont il apprécie la musique autant que le cinéma. Il n’a rien laissé au hasard dans sa démarche qui a abouti à l’en-

N uage Rouge, c’est l’his- toire des États-Unis au début du XIX ème siècle. Créée par Vincent Cuvellier, pour le texte, et Jean-François Verdier, pour la musique, Nua- ge rouge raconte la rencontre d’Eagle, un Indien de la tribu des Arapahos et de Jim, un ouvrier afro-américain, clari- nettiste de jazz. Les spectateurs pourront se laisser séduire et emporter dans l’univers des deux artistes, accompagnés par le comédien Nicolas Dufour, qui

s’approprie les mythes améri- cains et les légendes indiennes afin de raconter la rencontre poétique de ces deux person- nages. “Derrière les musiciens, les spectateurs pourront voir la projection sur écran des dessins de Baron Brumaire (Spi- rou, Fluide glacial…) qui retra- cent les péripéties des deux héros de l’histoire” note le service cul- turel de la mairie de Morteau. Cette œuvre riche pour orchestre et deux trompettes solos immergera les mélomanes

registrement avec des musiciens pros du premier album “Sum- mer Pleasures”. Il sort le 16 février en C.D. et en vinyle. Le projet a été soigné dans ses moindres détails, jusque dans la pochette de l’album qui est en cohérence parfaite avec l’am- biance musicale générale : gara- ge soul, section rythmique pos- sédée, cuivres et orgue ham- mond. À l’écoute, The Dustburds est un pur bonheur ! C’est efficace, entraînant, dansant. Du fun comme on en trouve dans la B.O. des films de Tarantino. “J’ai dû m’entourer de musiciens qui cor- respondaient à cet univers que je défends. C’est Benjamin Cahen, bassiste, qui le premier m’a sui- vi dans cette aventure” remer- cie Maximilien Maire. “Summer Pleasures” comprend 12 morceaux, dont six sont des reprises réarrangées “de légendes oubliées de la soul comme Erma Franklin ouWillie Mitchell.” Les six autres sont des compositions instrumentales “influencées par l’univers underground et déca- lé des 60’s, 70’s.” The Dustburds se produira pour

la première fois sur scène au théâtre de Morteau le samedi 17 février lors d’une soirée ori- ginale ciné-concert. Elle débu- tera à 20 heures par la projec- tion du film The Party (1968) de Blake Edwards avec Peter Sellers en partenariat avec la M.J.C. Un film drôle, devenu culte, qui introduit parfaitement l’ambiance du concert qui sui- vra. Un bon moment de cultu- re pop des sixties ! n Film The Party à 20 heures Concert The Dustburds à 22 heures Tarif : 4€ pour le film, 8€ pour le concert, 10€ pour film + live Renseignements : 03 81 67 04 25 www.thedustburds.com contact@thedustburds.com Premier clip “That driving beat” Batteur et designer, Max Maire assume son appétence pour la culture pop des années 60 et 70. Samedi 17 février soirée ciné-concert

Du grand spectacle en perspective sur la scène du Théâtre de Morteau (photo C. Stiefvater).

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