Journal C'est à Dire 164 - Mars 2011

P U B L I - I N F O R M A T I O N Morteau Immobilier joue la proximité L'agence qui fête ses quatre ans cette année a bâti

sa notoriété sur sa connaissance

L’ agence Morteau Immo- bilier doit son efficacité à sa volonté de ne travailler que sur le périmètre réduit du Val de Morteau. Cédric Valion et Alexandre Bonnet, fondateurs de l'enseigne, ont donc, avec leurs collaborateurs, une connaissance exacte du marché de l'immobilier sur ce territoire, pous- sée jusque dans le détail des rues. “Nous avons des références de prix secteur par secteur. On connaît les copropriétés, leur fonctionnement, les charges” explique Cédric Valion. Dans leur approche du métier, les approximations n'ont pas leur pla- ce. “Nous sommes très spécialisés et nous sommes recon- nus pour cela. On ne peut pas être un bon agent immobi- lier si on ne connaît pas le secteur” complète Alexandre Bonnet. L'agence fête ses quatre ans d'existence cette année. C'est en jouant la carte de la proximité qu'elle parfaite du marché de l'immobilier qui se cantonne dans leur cas, au Val de Morteau. “Être le plus fiable possible.”

La petite équipe de Morteau Immobilier vous accueille. Cédric Valion, Alexandre Bonnet, Sindy Trouillot, Cyril Bourgeois, Adeline Giroz.

s'est construite sa notoriété auprès d'une clientèle souhaitant vendre un bien sur Morteau et les environs, ou au contraire en acheter un pour s'y installer. Ce n'est pas un hasard si cette enseigne vient de recevoir la charte qualité attribuée par la Chambre de Commerce et de l'Industrie du Doubs. Les acqué-

reurs et les vendeurs qui viennent à la rencontre de ces professionnels ont l'assurance d'une qualité de ser- vice. “Dès le départ, nous avons tou- jours cherché à être le plus fiable possible dans nos estimations. On y parvient grâce à une connaissance exacte du secteur sur lequel on tra- vaille” disent-ils.

Lorsqu'un bien se vend, c'est qu'il correspond au prix du marché. Sur- estimer un appartement ou une mai- son dans le seul but de décrocher un mandat de vente n'est pas le gen- re de ces professionnels. Il y a beau- coup trop de risques pour le ven- deur qui aurait contracté par exemple un prêt-relais en attendant

que son bien soit vendu pour finan- cer un nouveau projet immobilier. “La relation avec nos clients n'est pas que financière” expliquent Alexandre Bonnet et Cédric Valion. Le respect est au cœur de leur démarche, car ils savent que l'achat d'une habitation est pour beaucoup d'entre nous le projet d'une vie.

AVIS D'EXPERT “Je m'occupe de tout”

ou gestion, notre tarification est la même. Comment se comporte le marché locatif dans le Val de Morteau ? S.T. : Il est dynamique, et la deman- de reste supérieure à l'offre. En effet, il est difficile de proposer cer- tains types de biens comme une maison avec 4 chambres. Beaucoup de propriétaires hésitent à louer car ils redoutent les loyers impayés, les dégradations. Quelles garanties leur appor- tez-vous ? S.T. : Avant de louer un apparte- ment, on se prémunit d'un cer- tain nombre de documents auprès du futur locataire afin de garan- tir le bon fonctionnement du ser- vice. Comme on estime un bien pour le vendre, y a-t-il une estimation du loyer en loca- tion ? S.T. : En effet, on procède toujours à une estimation locative pour que le loyer corresponde au prix du mar- ché. Dans le secteur de Morteau,

Responsable du service gestion-location de l'agence Morteau Immobilier, Sindy Trouillot accompagne les propriétaires bailleurs comme les candidats à la location.

passant par les dégâts des eaux et la gestion des assurances. Néan- moins, je ne prends aucune ini- tiative sans l'accord du propriétai- re. Par exemple, s'il faut changer un système de chauffage, je deman- de un devis et je lui soumets. Beau- coup de propriétaires croient qu'en passant par une agence ils sont dépossédés de leur bien. Ce n'est pas le cas. Qui perçoit les loyers ? S.T. : Je tiens une comptabilité de tiers, c'est à dire que l'agence encaisse les loyers, avant de le ver- ser chaque mois au propriétaire, déduction faite des charges, des éventuels travaux, et frais de ges- tion. Cette formule est idéale pour les propriétaires investisseurs qui ne veulent pas se soucier de la ges- tion de leur bien. Je rappelle que quelque soit la prestation, location

priétaire continuera de gérer son bien. Il peut aussi nous en confier la gestion. C'est la seconde phase. Dans ce cas, s'il ne veut pas avoir affaire à son locataire, c'est moi qui prends le relais en m'occupant de tout. Vous vous occupez de tout pour le comp- te du propriétaire, c'est-à-dire ? S.T. : Cela va d'une ampoule à chan- ger à un problème de chauffage, en

Vous êtes responsable du service gestion- location. Autour de quels principes s'articule votre métier ? Sindy Trouillot : Il y a deux phases : la location et la gestion. La première concerne des proprié- taires qui ont un bien vide à louer. Pour eux, je vais effectuer des visites gratuites, établir un compte rendu, et si nous sommes d'accord sur un locataire, nous mettons en pla- ce la location. À partir de là, le pro-

Sindy Trouillot gère ce service depuis un an.

un bien doit se louer vite. Dans le cas contraire, c'est que le loyer est inadapté. Pour le locataire, votre démarche est aus- si une garantie ? S.T. : Il a l'assurance de louer au meilleur prix. Je suis apte à lui dire rapidement les charges qui lui incombent et celles qui incombent au propriétaire.