La Presse Bisontine 94 - Décembre 2008

La Presse Bisontine n° 94 — Décembre 2008

DOSSIER

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ALIMENTAIRE

Les retraités 120 bébés bisontins mangent aux Restos du Cœur

La campagne hivernale des Restos du Cœur démarre le 1 er décembre. Les bénévoles bisontins s’attendent à un afflux encore plus important de demandeurs.

500 tonnes de produits alimentaires sont distri- buées

Les Franc-comtois aiment ce qui dure ; plus qu’ailleurs, le bouche à oreille est un facteur déterminant dans la réussi- te d’une société. Ce n’est pas un hasard si l’Association Nationale “MAISONS DE QUALITE”, créée à l’initiative d’As- sociations de défense des intérêts des consommateurs, n’a agréé que 3 sociétés en Franche Comté: Maisons BATILOR, Maisons MOYSE et Maisons GARDA- VAUD : tous trois constructeurs de père en fils depuis plusieurs décennies. En affichant leur label “Agréé Maisons de Qualité”, ces 3 Constructeurs affi- chent leur engagement à respecter et incarner les valeurs de l’Association Maisons de Qualité. Engagement sur la Qualité de Construction Engagement sur la Qualité de son Organisation Engagement sur la Qualité de sa Relation Dans ces périodes de grande incertitude, il est plus que primordial, au moment de faire un choix, de pouvoir s’appuyer sur des bases solides. L’Association met à votre disposition une ligne gratuite, service d’information pour les Consommateurs. N° Vert : 0 800 77 56 65 Publi-information Repères Les Restos en chiffres Sur le plan national : - 91 millions de repas distribués lʼan dernier. - 700 000 bénéficiaires. - 51 500 bénévoles. - 65 000 tonnes de produits dis- tribués dont 18 millions de litres de lait. - 3 000 semi-remorques envoyés dans toute la France pour appro- visionner les centres locaux. Sur le Doubs : - 528 000 repas distribués. - 2 124 familles aidées. - 5 340 adultes et 275 bébés. À Besançon : - 804 familles aidées. - 2 114 personnes. - 117 bébés. - 11 000 repas servis en un hiver. Les Restos accueillent désormais des étudiants. ZOOM INFORMATION

C oluche n’aurait peut-être pas trouvé matière à plai- santer avec ce chiffre consternant : ses Restos duCœur ont distribué l’an dernier 91mil- lions de repas. Un chiffre qui n’a jamais été aussi élevé. Et cette année, il risque encore de crever les plafonds, crise obli- ge. Lors de la dernière cam- pagne, l’augmentation a été enco- re de + 3,5 % pour la délégation locale des Restos. “Tous les ans, ça augmente et on s’attend cet- te année à quelque chose de plus important encore. On commen-

l’augmentation du nombre de personnes bénéficiaires d’abord, le souci de qualité des repas (ils recherchent de plus en plus l’équilibre) et le coût desmatières premières alimentaires qui a flambé : + 60 % pour les pâtes, + 25 % pour le lait. C’est dire si les dons (et les subventions publiques) sont attendus de pied ferme du côté du siège des Res- tos, rue Pergaud à Besançon. Là aussi, la typologie du public a évolué au guichet des Restos. Les personnes retraitées affluent. “Des veuves de com- merçants qui touchent une pen- sion de réversion misérable, on en voit” reconnaît ChristianKue- ney. Mais ce n’est pas tout, les Restos accueillent désormais des étudiants. “Ceux qui n’ont pas le choix que celui d’être auto- nomes essaient d’avoir un petit boulot, mais ce n’est pas suffi- sant. Ils viennent nous sollici- ter.” Les femmes seules avec enfants constituent un gros bataillon de bénéficiaires, “un bon tiers à Besançon. Depuis deux ans, la tendance de ces nou- veaux publics est forte” consta-

dans les neuf centres dépar- tementaux du Doubs chaque saison.

ce à peine les inscriptions que les tendances sont déjà à la hausse” confir- me Christian Kueney, le pré- sident départe- mental et en charge de l’an- tenne bisonti- ne. Cette année, les Restos sont confrontés à un triple souci :

te le président départemental. 804 familles ont bénéficié des repas servis par le centre de Besançon, soit 2 134 personnes et… 117 bébés. Et tous les demandeurs ne peuvent pas être servis par les Restos. Un

dossier d’inscription préalable est nécessaire. Mais personne ne repart les mains vides du centre de distribution des Res- tos, rue du Professeur Haag. “On donne un panier-repas à tout le monde,même si ceux pour

lesquels on estime que leur res- te à vivre est suffisant.” Maigre consolation pour ceux qui n’ont d’autre choix que de pousser la porte des restos pour la pre- mière fois. J.-F.H.

ASSOCIATION “MAISONS DE QUALITE” Vous souhaitez Construire, ayez le réflexe

Une Transparence Totale entre Acquéreurs et Constructeurs

• Mécaniciens CNC avec programmation (fraisage / tournage / centre d'usinage) • Mécaniciens faiseurs d'étampes • Mécaniciens CNC • Mécaniciens outilleurs

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• Horlogers de laboratoire • Polisseurs boîtes de montres et bracelets • Tailleurs en horlogerie • Rouleurs en horlogerie • Angleurs • Sertisseurs

Entretien avec David BAUDIQUEY , Président de la Société BATILOR, à Ecole-Valentin (25480) L’UMF, notre syndicat professionnel se bat depuis des années pour faire res- pecter la loi en matière de construc- tion (respect de la loi du 19/12/1990), mais il est vrai que l’information a par- fois du mal à passer, et que le particu- lier peut être tenté de succomber à des belles promesses émanant de pseudo- constructeurs. Gare toutefois à ne pas se tromper, car la croissance de ces dernières années a masqué beaucoup de problèmes qui réapparaissent avec le ralentissement actuel. Un constructeur qui prétend faire du “solide” doit d’abord l’être lui- même et il est indispensable, avant de concrétiser un projet, de vérifier la soli- dité financière de la société avec laquel- le vous allez vous engager. Une socié- té qui ne publie pas ses comptes a souvent quelque chose à cacher. Notre démarche Qualité est une démarche volontaire qui permet d’être agréé au terme de différents audits : Audit technique,Audit financier,Audit juridique, Audit organisation, Audit thermique, et enfin, point d’orgue de notre transparence : 1 enquête de satis- faction réalisée auprès des clients livrés au cours des 12 derniers mois.

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contacté très rapidement après le dépôt de mon CV sur le site. En 1 mois, tout était réglé. J’ai été très agréablement surpris, le direc- teur de l’agence de recrutement était très sérieux, a respecté tous les engagements pris.Dans l’entreprise, j’ai été très bien accueilli.” lendemain du dépôt de mon CV, j’avais un entretien avec le directeur de l’agence qui connaissait très bien tous les métiers de l’in- dustrie, dont le traitement de surface. Il m’a proposé deux entreprises qui recherchaient mon profil, une a donné son accord rapide- ment. Je travaille donc en Suisse, ce pays n’hé- site pas à faire confiance à des personnes de plus de 50 ans, contrairement à la France. J’ai été très satisfait des services proposés par www.swiss-emploi.fr.”

Sébastien “Je me suis inscrit sur le site www.swiss- emploi.fr. C’est la première fois que je pas- sais par un cabinet de recrutement, j’ai été Patrick “Je travaillais en France depuis plus de 30 ans dans le traitement de surface. Mon entreprise a fermé, j’ai été au chômage et à plus de 50 ans, il est très difficile de trouver un emploi en France. Je me suis donc tourné vers la Suis- se. J’ai déposé des C.V. sur différents sites et le seul qui m’a rappelé est l’agence de recru- tement partenaire de www.swiss-emploi.fr. Le

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