La Presse Bisontine 70 - Octobre 2006

L’ÉCONOMI E

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Le traiteur Defer membre des compagnons du goût I ls sont deux dans le Grand Besançon à avoir été choisis par des principaux four- nisseurs français en produits charcutiers comme “compagnons du goût” : l’établis- sement Roger Masson à Devecey et Defer Traiteur à Besançon. “Nous avons été rete- nus grâce à notre choix en matière de vian- de, nos prestations de traiteur et l’accueil dans notre magasin” se félicite Franck Defer. Pour fêter cette distinction, le traiteur Defer organise une découverte de son nouveau magasin de la rue de Vesoul le 6 octobre prochain. “Une façon de lancer officielle- ment l’adhésion à cette charte.” L’enseigne tenue par Franck et Laurette Defer, présente rue des Granges et désormais rue de Vesoul, emploie cinq ouvriers et trois apprentis. “C’est grâce à cette équipe-là qu’on en arri- ve là aujourd’hui” commente le jeune trai- teur de 35 ans, ancien élève de chez Baud.

É TUDE Revenus des ménages : de Planoise à la Mouillère D’ après la dernière étude de l’I.N.S.E.E., Besan- çon est la ville de Franche-Comté où la dif- férence entre le secteur où les revenus annuel sont les plus faibles (le quartier Île-de-France avec un revenu fiscal médian de 6 100 euros) et celui aux revenus les plus importants (laMouillère avec 21 000 euros) est la plus forte. Dans six quartiers de Besançon, tous situés en zone urbaine sensible, plus de 40% des ressources des ménages sont constituées de prestations familiales. La proportion de 47%pour le quartier Île-de-Fran- ce est ainsi trois fois plus élevée que celle du quar- tier Villarceau (15%). Le secteur Diderot à Planoi- se compte près de 20%de RMIstes. Cette proportion est de 16% dans le quartier de la Grette. Un nouveau salon de beauté à Besançon S i le centre Saint-Pierre, rebaptisé “le Répu- blique”, subit des fermetures de commerces, d’autres enseignes s’y installent. C’est le cas ce mardi 19 octobre avec l’ouverture d’un nouvel institut de beauté baptisé “Anima Corpus”, “l’âme du corps”. Un nom loin d’être anodin pour Corinne Planquois, la gérante des lieux. “Pour moi, l’amincissement par exemple, ce n’est pas la beau- té mais la santé. L’idée est d’être bien dans son corps, donc dans sa tête” justifie-telle. Les enve- loppements aux algues ou à la boue, la pose de bijoux dentaires comptent parmi les spécialités de cette nouvelle adresse consacrée à la beauté. Deux esthéticiennes sont à la disposition des clients du mardi au samedi en journée continue. Rens. :Auré- lie au 06 03 71 05 33. C OMMERCE 28, rue de la Rép.

Rue de Besançon à PIREY - au rond point de Pouilley-les-Vignes 03 81 52 06 13 - www.achard-restauration.com Restaurant - Traiteur Midi - 7j/7 Restaurant traditionnel ouvert à tous Le dimanche : formules boissons comprises Midi et soir - 7j/7 toutes réceptions sur réservation 2 ème vendredi de chaque mois, SOIRÉE DANSANTE AVEC ORCHESTRE à compter du 13 octobre : * Dîner (boissons comprises) : 28 € /pers * Retrouvez le détail de ce programme sur notre site Internet

C OIFFURE Une pointure internationale À l’exigente école de Claude Tarantino Nul besoin d’aller à Paris pour suivre les dernières tendances en matière de coiffure. Un salon du centre-ville a fait venir à lui une référence, membre de la Haute Coiffure française et ambas- sadeur d’une grande marque de cosmétiques.

Franck et Laurette Defer ont ouvert un deuxième point de vente au 46, rue de Vesoul où le laboratoire a été transféré.

C’ aude Tarantino. Si ce nom ne vous dit rien, il est pour- tant une des références inter- nationales actuelles en matière de coiffure. Si bien que ce membre de la Haute Coiffure fran- çaise a été choisi par l’Oréal pour

zo Serretti à Saint-Vit et le salon Marinette à Battant, bientôt rebap- tisé Lorenzo Serretti. Claude Taran- tino a passé deux jours début sep- tembre à Besançon dans le salon créé par M. Robelot. “L’idée est de deve- nir sur Besançon un salon référence

devenir un de ses ambas- sadeurs. Sa mission : faire la mode. En collaboration avec les grands couturiers, c’est lui qui donnera le ton en matière de style, de coupes ou de couleurs pour les prochaines saisons.

en matière de ten- dances et de coupes, confie Jean-Christophe Robelot. Je voulais montrer qu’à Besan- çon aussi on peut trou- ver des coiffeurs qui font des choses avec

En collaboration avec les grands couturiers.

108 880 € * 714 206 F

Persuadé qu’il n’est pas nécessaire de “monter” à Paris pour découvrir les dernières tendances, le coiffeur bisontin Jean-Christohe Robelot a préféré inviter ce grand maître des ciseaux pour former la douzaine de salariés que le Bisontin emploie dans ses trois salons - les Barbiers de Saint-Amour (rue Proudhon), Loren-

des gens de renommée internationa- le. Toute mon équipe est formée deux fois par an par Claude Tarantino. Cela va de l’accueil du client au télé- phone jusqu’aux techniques de cou- pe. Je souhaite montrer à mes clients que, sas pour autant être franchisé, on peut leur apporter la meilleure technicité.”

107 480 € * 705 023 F

Claude Tarantino a apporté de précieux conseils à l’équipe du coiffeur bisontin Jean-Christophe Robelot. (photo Marie-Caroline Lixon).

* Tarif jusqu’au 30/09/06 - hors adaptation au sol, V.R.D., p.p. peintures, moquettes, aménagements extérieurs et zone sismique.

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