La Presse Bisontine 248 - Février 2023
28 Le Grand Besançon
La Presse Bisontine n°248 - Février 2023
MARCHAUX
Service à domicile Fini le casse-tête pour faire garder ses animaux Passionnée d’animaux, Emmanuelle Marcoux propose depuis un an sur le secteur de
Besançon-Est un service de garde à domicile et de promenades pour chiens, chats, chevaux, perroquets et autres petits compagnons.
S on nom circule depuis quelques mois parmi les propriétaires d’animaux et les visites sur sa page Facebook se multiplient avec le bouche-à-oreille. Et pour cause. En se déplaçant directement au domicile des particuliers, Emma nuelle Marcoux enlève une épine du pied à bien des maîtres en convalescence, en cours d’hos pitalisation ou même en quête de vacances. Car faire garder son chien ou son chat peut vite devenir compliqué. Surtout quand ces derniers ont leurs petites habitudes. “J’ai des clients qui m’ont avoué qu’ils ne partaient plus en vacances, en voyant que leur animal suppor tait difficilement la pension.” Cette professionnelle, ex-ani malière salariée de la S.P.A. de Chalezeule, propose en prime un service à la carte. “Le bien être des animaux prime pour moi” , avoue-t-elle. “Je prends le temps qu’il faut et je ne fais rien d’autre quand je suis avec eux. Je suis à leur totale disposition. Ils ont, en plus, l’avantage d’être
dans leur environnement avec leurs odeurs et leurs habitudes.” Que ce soit pour du gardiennage ou des promenades, Emma nuelle a pris ainsi l’habitude de s’adapter. “Je peux revenir deux à trois fois dans la même journée pour des animaux qui mangent en fractionné ou ceux qui ont un traitement.” Après une pré-visite, un contrat professionnel avec forfait horaire et indemnités kilométriques est établi avec chaque maître, qu’elle préfère appeler “gardien” (sans lien de domination). “Je me déplace pour une demi-heure minimum, toujours dans l’idée du respect de l’ani mal.”
Emmanuelle Marcoux, ici avec sa petite chienne, Mya, âgée de 6 ans.
patients.” Elle n’a jamais tota lement rompu le lien avec les animaux non plus, accompa gnant le recours à l’équithérapie ou aidant à l’accueil d’un chat dans la structure. Concentrée aujourd’hui sur son activité de gardiennage, elle offre en parallèle ses compé tences en communication ani male à partir de photos et d’échanges avec les animaux. “Je peux aider à identifier l’ori
gine de certains troubles du com portement, ou accompagner la fin de vie ou la maladie. Les ani maux sont très empathiques et renvoient des émotions ou des sensations physiques à partir des questionnements qu’on lui pose.” Une méthode qui certains pourront juger étrange ou “cava lière”. Sans mauvais jeu de mots… Pour Emmanuelle, “c’est une relation de cœur à cœur.” n S.G.
nelle, qui renoue avec sa passion. Passée à ses débuts par des éle vages canins et un salon de toi lettage, elle avait opéré un virage à 180° ces dernières années dans le milieu médical. “J’ai exercé comme aide-soignante dans un hôpital psychiatrique pendant 12 à 13 ans. Puis c’est devenu compliqué avec la crise sanitaire. Il y avait de moins en moins de sens dans la prise en charge et moins de temps pour les
dent de la vie, en perte de mobi lité, en passant par les employés de nuit ou les salariés partis en formation professionnelle, elle reçoit diverses sollicitations. “Mes clients sont généralement très contents, y compris sur les longues absences. Ils me disent qu’ils retrouvent leur animal comme s’ils l’avaient quitté la veille avec zéro stress.” Une satisfaction d’autant plus grande pour cette profession
Zéro stress pour l’animal.
Installée à Mar chaux, elle inter vient dans un rayon de 15 à 20 km alentour. Et ce ne sont pas les demandes qui manquent. Des femmes enceintes aux personnes vic times d’un acci
MONTFERRAND-LE-CHÂTEAU Le Domaine des Sœurs Un programme immobilier d’exception à l’entrée du village
L’entreprise bisontine Seguin Actions Immobilières lance un concept innovant à contrepied des tendances actuelles de l’habitat : de grandes parcelles au cœur d’un parc arboré, clos et sécurisé. Pour une clientèle exigeante.
quitte à rogner sur l’agrément de vie. Sans artificialiser cette belle parcelle et en lui conservant ce qui fait son atout numéro 1, la végétation abon dante, Seguin Actions Immobilières a souhaité faire le choix d’un projet exi geant en créant un habitat qui épouse véritablement l’élément végétal. “Dans ce projet baptisé le Domaine des Sœurs, nous avons mis tout ce que nous savons faire en poussant les curseurs partout : dans un emplacement exceptionnel, ce programme offrira de grandes parcelles, dont certaines de plus de 10 ares, avec d’immenses espaces verts, de grands arbres, des allées arborées et perméables à l’eau, le tout dans un site fermé et sécurisé. Ici, ce ne sont pas les arbres qui s’adapteront aux maisons, mais l’inverse” résume Jean-Marie Seguin. Avec ce nouveau programme, Seguin Actions Immobilières s’adresse ainsi à des familles qui souhaitent habiter dans une belle propriété au sein d’un environnement protégé. L’exceptionnel a un prix : environ 200 euros le mètre carré de terrain. “Les prix qu’on trouve à Besançon, mais dans un environne ment privilégié” résume Alexis Ramaux, le responsable de la commercialisation de ce futur programme. L’autre spécificité du Domaine des Sœurs sera la possibilité offerte aux futurs acquéreurs de s’appuyer sur les
D ans cette opération immobi lière située à l’entrée de Montferrand-le-Château, en campagne, tout en étant à 5 minutes de Châteaufarine, Jean-Marie Seguin aurait pu trans former ce havre d’1,7 hectare en un
lotissement d’une trentaine de maisons chacune dotée de son petit lopin de terrain. Ce n’est pas le choix qu’a fait le pro moteur bisontin qui a justement sou haité prendre le contrepied de la ten dance actuelle à réduire les surfaces
Jean-Marie Seguin et son collègue commercial Alexis Ramaux.
pour l’entretien de leur espace. Au total, à peine 11 parcelles sortiront de terre au sein de ce domaine privé. Après l’obtention du permis d’aménager en ce début d’année, les premiers tra vaux de viabilisation pourront démarrer au printemps et les premières maisons pourraient commencer à sortir de terre à l’automne. n J.-F.H.
connaissances d’architectes locaux pour concevoir leur future résidence sur mesure. “Nous souhaitons en effet faire de cet endroit un lieu différent, quelque chose qui n’existe pas dans la proche périphérie de Besançon” ajoute Jean-Marie Seguin. Le promoteur a souhaité pousser le curseur de l’écologie jusqu’au bout en obligeant les futurs acquéreurs à réutiliser l’eau de pluie
Le futur Domaine des Sœurs prendra place à l’entrée de Montferrand-le-Château au cœur d’un parc arboré d’1,7 hectare.
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