La Presse Bisontine 181 - Novembre 2016
Services et aide à domicile : DOMIDOM, un partenaire d’excellence !
“sans engagement”, DOMIDOM prend en charge l’ensemble des for- malités administratives, sans frais d’adhésion, ni frais de dossier ou frais de déplacement additionnels. DOMIDOM France vient récem- ment de racheter Adhap services. 150 agences en France. DOMIDOM est agréé par l’État et permet de bénéficier de 50 % de réduction d’impôt ou d’un crédit d’impôts sur l’ensemble des pres- tations. L’agence est en relation avec la plupart des mutuelles et tra- vaille avec la totalité des caisses de retraite, le Conseil départemental (A.P.A., P.C.H., la C.A.F. Paje) per- mettant une prise en charge finan- cière des prestations. d’enfants combinée à du repassage, auxiliaires de vie réalisant des tâches ménagères… Les services sont flexibles et bénéficient d’une tarifi- cation unique et fixe, non soumise à majoration. Une offre qui place DOMIDOM, comme l’un des acteurs majeurs sur le marché du service et de l’aide à domicile. n 20, faubourg Rivotte 25000 BESANÇON 03 39 21 00 09 besancon@domidom.fr pontarlier@domidom.fr Domidom Besançon www.domidom.fr La grande polyvalence de chacune des inter- venantes permet de proposer des presta- tions haut de gamme personnalisées : garde
Connue et reconnue pour ses valeurs de proximité, de confiance, de solidarité et de qualité de services, DOMIDOM est rapidement devenu un partenaire de choix pour toutes les prestations de services et d’aide à domicile.
pagnés de formations internes assu- rant une qualité de prestation sans équivalent. Enfin, l’agence bisonti- ne est également l’une des seules à régulièrement contrôler et faire mesurer par sa Chargée de Quali- té, l’ensemble des prestations réa- lisées (ménage-repassage, garde d’enfants, aide aux seniors et aux handicapés)… Employée à 100 %, elle est l’unique Chargée de Quali- té locale Infirmière diplômée (rom- pue aux strictes règles d’hygiène et dont les spécialités sont la gériatrie et la pédiatrie). Instaurer des relations de confian-
P U B L I - I N F O R M A T I O N
L’ agence DOMIDOM inter- vient sur le Doubs et la Haute-Saône, mais elle tire sa force d’un réseau natio- nal de notoriété - constitué de 80 agences réparties sur l’ensemble du territoire - tout en gardant la réac- tivité et le dévouement propre à une entreprise locale à taille humaine.
Un savoir-faire connu et reconnu Ménage, repassage, garde d’enfants, aide à domicile pour seniors ou per- sonnes handicapées, accompagne- ment véhiculé… Que cela soit en matière de confort ou de dépendance, les services proposés par DOMI- DOM garantissent un haut niveau de compétences et sont assurés par
du personnel 100 % qualifié et expé- rimenté, non étudiant. Pour les ser- vices liés à la dépendance, DOMI- DOM est la seule agence sur les alentours à proposer des aides-soi- gnantes ainsi que des auxiliaires de vie 100 % diplômées et expérimen- tées. Les critères de recrutement sélectifs et rigoureux, sont accom-
ce, pérennes et solides, tel est l’engagement de l’agence, réputée pour sa dimension à taille humaine. Proche de ses clients et de ses inter-
La proximité à taille humaine.
venantes, avec qui elle souhaite s’in- vestir sur des collaborations à long terme et tisser des liens uniques, elle place l’humain au cœur de ses préoccupations. Une fidélité tri- partite qui fait aujourd’hui toute la différence dans un secteur soumis à de forts taux de turnover. Prestataire de services militant du
DOMIDOM, l’un des acteurs
majeurs sur le marché du service et de l’aide à domicile.
DOUBS ET HAUTE-SAÔNE
DOSSIER
La Presse Bisontine n° 181 - Novembre 2016
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l Besançon Ventilation double flux Plus loin que la norme R.T. 2012 Lionel Moyse (Maisons Moyse) a conçu son habitation avec une exigence forte en matière d’économies d’énergie. Le résultat va au-delà des normes actuelles.
C e n’est pas une maison pas- sive, mais ça y ressemble. 165 m 2 au sol, sur trois niveaux, voilà un an que Lionel Moyse habite ici avec sa petite famille. Quand il a réalisé son projet de construction, Lionel Moy- se a voulu aller au bout de la démarche en termes d’économies d’énergie, c’est- à-dire “plus loin encore que la norme R.T. 2012 qui régit toutes les nouvelles constructions. J’ai en quelque sorte “customisé” la R.T. 2012” commente ce propriétaire qui a construit cette
maison dans le quartier Bregille à Besançon. Le résultat est probant : “Nous arrivons à des résultats de moi- tié inférieurs aux exigences de la R.T. 2012.”
lation par un doublage de l’isolation intérieure et nous avons également renforcé l’isolation en toiture. Nous avons fait la chasse à tous les ponts thermiques. Toutes les failles poten- tielles ont été systématiquement trai- tées” résume Lionel Moyse. L’escalier en béton, par exemple, a été posé sur de l’isolant avant de poser la maçon- nerie. À l’étage, les plots ont été rem- plis de laine de roche avant la pose. “C’est aussi un bâtiment compact, nous avons évité les décrochements de par- tout.” L’orientation de la maison, avec un maximum de surfaces vitrées au Sud ou Sud-Ouest, contribue égale- ment à son aspect “bioclimatique”. La ventilation double flux est un éga- lement un élément contributeur essen- tiel. “Il n’y a pas d’entrées d’air au- dessus des fenêtres. Il y a des bouches dans lesquels l’air est impulsé. L’air vicié passe dans un échangeur et l’air neuf va récupérer les calories de l’air vicié et les restituer. Avec ce dispositif, 90 %de la chaleur est restituée” explique Lionel Moyse. L’échange optimal des calories entre l’air neuf et l’air vicié permet aussi “d’insuffler de l’air réchauffé en hiver et de l’air refroidi en été.” L’étanchéité à l’air pour laquelle Lio- nel Moyse a apporté un grand soin atteint un coefficient de 0,19 m 3 d’air par heure et par mètre carré. À titre de comparaison, la R.T. 2012 prône
Pour ce faire, tous les paramètres ont été pas- sés en revue par le constructeur Moyse.Alors que ce n’était pas obli- gatoire, Lionel Moyse a d’abord opté pour du triple vitrage. Ensuite, “nous avons renforcé l’iso-
“Entre 5 et 10 % plus cher.”
L’isolation, l’étanchéité à l’air sont des critères incontournables pour atteindre les objectifs.
un coefficient de 0,6. La construction Moyse est donc trois fois inférieure aux exigences de la R.T. 2012. “On n’est pas très loin de la maison passi- ve qui exige un coefficient de 0,15.” Résultat de ces performances : la consommation de gaz pour le chauf- fage est ridicule. “On paye plus cher en abonnement qu’en consommation !” illustre Lionel Moyse. La consomma- tion globale en gaz et en électricité
domestique atteint péniblement les 1 000 euros par an. Ces efforts en matière d’économies d’énergie ont un coût au départ, esti- mé “entre 5 et 10 % plus cher que le coût d’une maison traditionnelle.” Mais le résultat est là : au 15 octobre, malgré les premières gelées matinales, Lionel Moyse n’avait toujours pas relancé le chauffage. n J.-F.H.
Lionel Moyse a conçu sa maison pour qu’elle soit le moins énergivore possible.
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