Journal C'est à dire 208 - Mars 2015

É C O N O M I E

42

Le Crédit Agricole soutient les initiatives locales Solidarité L’agence de Morteau du Crédit Agricole a accordé une subvention à quatre initiatives locales. L’une d’elle concerne l’association “Nos enfants d’ailleurs” qui a développé un kit d’apprentissage de l’alphabet et de la lecture destiné aux enfants autistes.

Santé Les adolescents face au mal-être

qui coordonne les interventions des différents acteurs concer- nés par la prise en charge des adolescents. Les thèmes de la violence, du respect, des conduites à risque, des relations intra-familiales sont autant d’éléments qui peuvent entrer en ligne de compte dans le mal- être exprimé par un adolescent. Parfois les parents comme les jeunes sont désemparés face aux difficultés rencontrées. Mais il existe des structures dans le Doubs pour les épauler et les aider à trouver des solutions adaptées.

Les problèmes des adolescents évoluent en même temps que la société change. Entre l’addiction aux jeux vidéo et la phobie scolaire, les difficultés que rencontrent les ados sont multiples.

L es semaines d’information sur la santé mentale vien- nent de s’achever. Elles avaient pour thème “Être ado- lescent aujourd’hui”.Vaste sujet.

ments dépressifs qui traversent les âges. Ce qu’on observe aujour- d’hui, ce sont les troubles addic- tifs liés aux jeux vidéo par exemple. C’est aussi le harcèle-

Le 3 mars, lors de son assemblée générale, le Crédit Agricole a remis 10 000 euros de chèques répartis entre quatre associations dont la banque a salué l’initiative.

S’ils ont à leur disposition une multitude de moyens de communication dont ils usent parfois à l’excès, les ados de la génération hyper-connectée ne sont pas épargnés par le mal-

ment à l’école, les réseaux sociaux qui amplifient le phénomène de rumeur, de mise à l’écart. La phobie scolaire est également très présente. Ses causes peu- vent être multiples. Elle

“La phobie scolaire est très présente.”

être et les conduites addictives. Les difficultés évoluent au fil des années en même temps que la société change. “Il y a des élé-

peut être liée, notamment, à un problème familial” indique un médecin qui intervient dans le cadre de Res’Ado, un réseau

Renseignements : Res’Ado Haut-Doubs Tél. : 03 81 46 87 12

L e Crédit Agricole de Franche-Comté, par le biais de ses caisses locales subventionne chaque année des projets pour la plupart associa- tifs. En 2014, ce sont donc 68 initiatives qui ont reçu le sou- tien financier de la banque.

1 500 euros à la M.J.C. de Vil- lers-le-Lac et 1 178 euros à l’association “À hauteur d’homme auteur d’humanité” qui intervient au Népal. Enfin, la banque a remis un chèque de 2 000 euros à

re la lettre plus tard. Ce kit faci- lite également la visualisation en 2D des lettres favorisant ain- si le développement des abs- tractions. Ce projet porté par “Nos enfants d’ailleurs” et soutenu par l’agence locale de Morteau vient d’être retenu au niveau régio- nal du Crédit Agricole suite au vote des sociétaires internautes qui étaient amenés à élire les meilleurs projets dans chacu- ne des quatre catégories (amé- nagement du territoire, déve- loppement économique et social, éducatif et sportif, patrimoine) dans lesquels sont réparties les différentes initiatives.

l’association “Nos enfants d’ailleurs” qui a dévelop- pé un outil innovant des- tiné à l’apprentissage de l’alphabet et de la lectu- re pour les enfants

Un projet plébiscité au niveau régional.

Ainsi, le 3 mars, à l’occasion de son assem- blée générale, le Crédit Agricole de Morteau a

remis un chèque à quatre struc- tures dont il a salué l’investissement. La mairie de Montlebon tout d’abord a per- çu une aide de 5 000 euros pour la rénovation du cloître. Le Cré- dit Agricole a versé également

autistes. Il s’agit d’un kit per- mettant un apprentissage sen- soriel à l’enfant qui découvre du bout des doigts les lettres de l’alphabet découpées dans une matière spéciale. Il acquiert ain- si petit à petit le geste pour écri-

Il existe dans le Doubs des structures où les ados peuvent exprimer leur mal-être dans le cadre d’un accompagnement par des professionnels de santé.

À chacun son spa ! Les établissements Bérion de Mamirolle sont spécialisés dans la vente et l’installation de spas. Pour eux, le conseil du client pour l’aider à choisir un appareil est primordial. Seule sa satisfaction importent Frédéric et Stéphane Bérion.

Publi-information

Stéphane et Frédéric Bérion vous accueillent à Mamirolle dans leur show-room où plusieurs modèles de spa sont à découvrir.

I nstaller un spa chez soi, c’est faire le choix du bien-être à la maison. C’est une parenthèse ouverte dans l’agitation du quo- tidien pendant laquelle on prend le temps de se relaxer dans l’eau, seul, en famille ou entre amis. Mais pour être assuré de se détendre dans les meilleures conditions de confort, il est important de faire appel à un professionnel qui sau- ra vous guider dans le choix de votre spa. Ce conseil personna- lisé, vous le trouverez auprès de Frédéric et Stéphane Bérion. Ins- tallés dans la zone du Noret à Mamriolle (au bord de la 2 x 2 voies) où ils ont leur show-room ,

les deux frères sont spécialisés depuis 6 ans dans la vente de spas. Ils commercialisent en exclusivi- té sur le secteur la marque “Dimension One Spas”, une réfé- rence dans le monde.

“Un véritable

achat plaisir.”

C’est pour cela que Stéphane et Frédéric Bérion prennent le temps de discuter avec leur interlocuteur pour cerner sa demande et lui pro- poser le spa qui va lui correspondre. “Aux personnes qui cherchent un spa pour apaiser des douleurs cor- porelles nous proposerons un appa- reil d’hydrothérapie. Il sera dif- férent d’un spa conçu uniquement pour la relaxation. Le spa ne sera pas le même non plus s’il est des- tiné à une personne de grande taille, où à une autre plus corpulente. Nous commercialisons vingt modèles de la marque Dimension

te de l’appareil. Ils s’occupent de son installation sur place, de sa mise en service et donnent tous les conseils d’utilisation du bas- sin au propriétaire. Les clients qui le souhaitent peuvent souscrire à un contrat d’entretien pour un check-up annuel complet de leur spa. Dans ce cas, Stéphane ou Fré- déric se déplace pour contrôler la machine. L’installation d’un spa chez soi ne nécessite pas de travaux impor- tants. C’est un autre avantage de ce genre d’appareil qui offre un bien-être immédiat.

One Spas. La gamme est suffisam- ment large pour nous permettre d’apporter une réponse adaptée à toutes les demandes et à tous les budgets” ajoutent Frédéric et Sté- phane Bérion. À l’offre des spas de 2 à 6 places, s’ajoute celle des spas de nage de 4 à 6 mètres de long. Passionnés par leur métier, les deux frères fournissent une pres- tation sur-mesure. C’est ce ser- vice de qualité que viennent cher- cher les clients auprès de la mai- son Bérion de Mamriolle. “Nous voulons qu’ils soient satisfaits.” Leur travail dépasse la simple ven-

Le duo conçoit son travail que dans un seul objectif : la satisfaction du client. “L’achat du spa est vérita- blement un achat plaisir. Cela fait partie du cocon que les gens se construisent chez eux” disent-ils.

Le spa peut être installé à l’intérieur comme à l’extérieur. Ce n’est qu’une question de goût.

BERION PISCINES ET SPAS REVENDEUR AGRÉÉ Z.I. du Noret 25620 MAMIROLLE > Tél. 03 81 55 82 03

PORTES OUVERTES LES 11 ET 12 AVRIL

Made with FlippingBook - Online magazine maker