Journal C'est à dire 208 - Mars 2015

P L A T E A U D E M A Î C H E

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Bonnétage L’E.H.P.A.D. accueille ses premiers résidents Attendue tant par des familles à la recherche d’une solution pour l’accueil de leurs aînés que par des candidats à l’emploi, l’E.H.P.A.D. a ouvert ses portes depuis quelques semaines au cœur du village de Bonnétage avec une équi- pe diplômée et professionnel dans un cadre raffiné.

A vec une capacité d’accueil de 90 lits, l’établissement d’hébergement pour per- sonnes âgées dépendantes (E.H.P.A.D.) est ouvert depuis le début dumois de février explique le directeur au cours d’une visi-

te guidée qui permet de découvrir un bâtiment évidemment entiè- rement neuf.Tout est fait ici pour que les résidents se sentent bien, presque comme à la maison. Le mobilier et la décoration ont été particulièrement étudiés pour cela. Les espaces détente sont en effet

nombreux et agréables tout com- me le réfectoire, à faire pâlir de jalousie plus d’un restaurateur. “Nous misons beaucoup sur le bien-être avec par exemple un salon de coiffure où une pro- fessionnelle locale viendra régu- lièrement.” Un détail qui peut paraître futile mais très impor- tant pour les résidentes surtout. “Nous avons aussi une salle très bien équipée pour accueillir le kinésithérapeute et une autre pour la balnéothérapie” pour- suit le directeur, évoquant ensui- te les animations : “On propo- se de multiples moments de convivialité, ne serait-ce par exemple qu’autour de la lectu- re quotidienne de la presse ou encore des après-midi lotos, la venue d’un accordéoniste et bien- tôt un journal interne…” Une vie en collectivité qui se met peu à peu en place avec la dizaine de résidents déjà installés qui seront rejoints au fil des mois par d’autres pensionnaires et dans le même temps de nou- veaux employés. “Lorsque nous serons au complet, soixante per-

Les lycéens des M.F.R. des environs sont invités à venir découvrir l’établissement et peut-être leur futur lieu de travail.

sonnes travailleront ici” conclut le directeur qui espère arriver à cet objectif avant la fin d’année prochaine.

Gilles Chambaz est comme annoncé dès le début du pro- jet de “répondre à une attente de la population quant à l’accueil

des résidents. Un ancrage local que l’on retrou- ve dans le recrutement, avec par exemple des échanges avec les maisons familiales et rurales des environs, mais aussi dans le fonctionnement : “Nous fai- sons en effet travailler les com- merçants et artisans des envi- rons, que ce soit le pharmacien, le coiffeur ou le boulanger.” D.A.

Ce projet privé vient d’ouvrir ses portes à Bon- nétage après des années de discussions entre les collectivités locales et le

des personnes âgées en lien avec le territoire et la proximité.” Des entre- prises locales ont été employées tout au long

Dans le secret des garages…

groupe Vendôme, propriétaire de cette résidence “la maison de Fannie”. L’objectif du directeur

du chantier avec à la clé une cin- quantaine de créations d’emplois au fur et à mesure de l’arrivée

Cernay-l’Église

Une cloche chez les rugbymen Les sportifs ont souvent des gris-gris et autres porte-bonheur pour les aider dans leurs performances. Quand celles-ci ne sont pas au rendez-vous, ils ont aussi parfois des traditions qui peuvent s’apparenter à des gages pour les malheureux élus. Exemple avec les rugbymen du pays maîchois.

Le directeur est fier d’offrir des prestations de qualité aux résidents. Ici la salle où ils prennent leur repas.

“C’ est une tradition dans de nombreux clubs de rugby” explique Germain Miny, joueur et vice-président du club. Tra- dition qui existe aussi dans d’autres sports mais qui colle bien à l’état d’esprit de ces adeptes des troisièmes mi-temps. Car, c’est là que tout se joue. Ici,

O re de printemps

pas de poisson rouge dans son bocal ni de tête de chevreuil empaillée, mais une cloche. Une

celui qui n’a pas été épargné par les désignations. Le principe est simple. Après

simple clarine pein- te aux couleurs rou- ge et noire du club. “Avant, on avait un

chaque match, dans le secret du vestiai- re, joueurs et diri- geants nomment

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Élection à l’applaudimètre.

ceux qui n’ont pas été très à l’aise sur le terrain lâchant par exemple le ballon au moment fatidique d’aplatir dans l’embut adverse ou se trompant même parfois de ligne, sans oublier une entrée sur le stade avec deux chaussures différentes. Les exemples ne manquent pas. “Une fois les noms annoncés, c’est à l’applaudimètre qu’est élu le futur détenteur de la cloche” poursuit Germain Miny qui voit dans cet exercice de démocra- tie directe et humoristique un moyen de dédramatiser les erreurs des joueurs et de se rap- peler que ce n’est qu’un jeu, “même si la maladresse nous a parfois coûté la victoire.” Affublé de sa cloche dans les vestiaires dès son élection acqui- se, le récipiendaire ne la porte- ra certes pas au cou jusqu’à la prochaine rencontre mais devra quand même l’avoir à portée de mains. Car s’il devait croiser un membre du club ou en avoir un au téléphone sans pouvoir fai- re rapidement la preuve de la présence très proche de la cla- rine, il devra s’acquitter à leur prochaine rencontre d’une tour- née générale.

mouton gonflable… C’est vrai que pour l’heureux gagnant, ce n’était pas simple” se souvient

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