Journal C'est à dire 203 - Octobre 2014

V A L D E M O R T E A U

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Édition C’est à dire :

et maintenant, le livre ! Près de vingt ans d’actualité compilés dans un livre collector : “C’est-à- dire ?”, le livre, sort en librairie le 4 novembre. Vendu au prix de 27,50 euros, il comprendra plus de 200 articles remis au goût du jour et riche- ment illustrés. Une idée de cadeau, pour soi, ou pour faire plaisir.

U n fait divers, un mou- vement social, la créa- tion d’une piscine, l’anniversaire d’une association : l’actualité est tou- jours en mouvement. Depuis vingt ans, le journal C’est à dire couvre à sa manière cette riche actualité dans un territoire non moins riche de ses habitants, de son tissu économique et de son milieu associatif : le Haut- Doubs. Entre 1995 et 2014, ce territoire a fortement évolué. C’est pour tenter de mesurer

Le livre recèle des photos inédites jamais parues dans les colonnes de C’est à dire, comme celle-ci sur la sécheresse de 2003.

articles ont été réécrits, enrichis et remis au goût du jour juste- ment pour en mesurer l’évolution. Actualité, anecdotes, interviews, récits, comptes ren- dus et réactions s’enchaînent,

vente du Haut-Doubs, de Morteau à Maîche. L’histoire de C’est à dire est singulière parce qu’à l’époque de son lancement (le journal a été conçu en 1995 pour un pre- mier numéro sorti en 1996), ses fondateurs créaient sans le savoir un des tout premiers journaux d’informations gra- tuits de France. Et au fil des ans, dans un environnement où la presse nationale tradi- tionnelle est en souffrance, l’équipe de C’est à dire a réus- si le pari de conforter la place

de ce journal dans le paysage médiatique local, réunissant autour de ce périodique tou- jours plus de lecteurs et d’annonceurs, fidèles à ce ren- dez-vous mensuel. Ce livre “collector”, à déguster au fil des pages, se lit avec plaisir et donne l’occasion de se remémorer des épisodes de la vie locale qu’on avait presque déjà oubliés pour certains. Un savoureux retour sur l’actualité du Haut-Doubs en plus de cent pages. J.-F.H.

cette évolution et pour poser ces valises l’espace d’un livre que l’équipe du journal C’est à dire a souhaité éditer un livre qui

dans tous les thèmes qui font le quotidien de ce territoire : l’économie locale, la vie associative, les événements, les faits divers, les personnages,

Un savoureux retour sur l’actualité.

restera comme le témoin d’une époque. Dedans, le lecteur pour- ra y retrouver le meilleur des informations parues dans C’est à dire durant les deux dernières décennies, depuis la création de ce journal local. Les meilleurs reportages ont été sélectionnés. Mais ce livre n’est pas une com- pilation d’articles mis bout à bout. Mieux que cela, tous les

etc. Rien n’est oublié. Les textes sont enrichis de photos, dont une bonne partie sont inédites. Une manière de donner aux nombreux lecteurs du journal C’est à dire l’occasion de se rep- longer dans l’actualité du Haut- Doubs avec du recul. Ce livre sera vendu au prix de 27,50 euros à partir du 4 novembre, dans de nombreux points de

C’est-à-dire ? Le livre En vente à partir du 4 novembre dans tout le Haut-Doubs Prix : 27,50 euros Renseignements au 03 81 67 90 80

Ce livre de plus de 100 pages sera en vente à partir du 4 novembre.

Morteau

Nicolas Siron, pilote de drone Spécialiste de la prise de vue, Nicolas Siron utilise des drones dans le cadre de ses activités professionnelles afin de réaliser d’étonnantes images vidéo de paysages.

habilitées à le faire. Car il faut détenir des agréments spéci- fiques pour faire voler ces appa- reils dans un cadre profession- nel. Nicolas Siron a dû passer le brevet théorique U.LM. De nombreux prestataires ont déjà fait appel à ses compétences. “J’ai travaillé pour T.F.1, Euro- sport et contribué à la réalisa- tion d’un certain nombre de reportages institutionnels. Nous avons utilisé le drone pour la Radio Télévision Suisse pour faire des images au-dessus de Montreux. Il fallait filmer un homme de 92 ans qui faisait de l’escalade.” Lorsqu’il travaille avec un dro- ne, Nicolas Siron fonctionne en binôme. Lui pilote pendant que l’autre contrôle les images. Ain- si, il collabore régulièrement avec Marc Perrey, Mathilde Faivre et Cyril Alabouvette.

D mprod.net (Digital Média Productions) de Morteau est spécialisée dans les prestations audiovisuelles et la réalisation de films. Dans le cadre de ses activités professionnelles, Nicolas Siron, à l’origine de l’entreprise, est amené à utiliser un drone. L’engin volant qu’il pilo- te est équipé d’une caméra qui lui permet de réaliser de sur- prenantes prises de vue aériennes. C’est à ce titre qu’il a été sollicité récemment par deux réalisateurs, Dominique Deba- ralle et Marc Perroud. Avec eux, il a réalisé des images pour deux reportages qui seront diffusés prochainement sur France 3 dans le cadre de l’émission “Pourquoi

chercher plus loin ?” Le premier a pour thème l’absinthe. Le second, programmé par la chaî- ne le 9 novembre, parle de la fron- tière franco-suisse. “Pour ce repor- tage, nous avons survolé Gou- mois, le barrage du Châtelot, les bassins du Doubs. On a fait éga- lement des prises de vue du Col- France. Grâce au drone, on peut sublimer la région. En filmant les bassins du Doubs, on arri- ve à créer un effet de canyon éton- nant” explique Nicolas Siron qui déjà collaboré à la réalisation de treize sujets pour cette émis- sion. Cela fait deux ans et demi qu’il pilote les drones comme 900 autres personnes en France

Nicolas Siron (à gauche) en compagnie de Marc Perrey, affairés après un drone.

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