Journal C'est à dire 203 - Octobre 2014

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P L A T E A U D E M A Î C H E

Social L’épicerie sociale ne connaît (malheureusement) pas la crise Créée en 2010, l’épicerie sociale “Le petit cabas” continue à recevoir chaque semaine des personnes qui doivent faire face à des difficultés financières passagères. Une solution de dépannage qui responsabilise les bénéficiaires malheureusement de plus en plus nombreux.

Le Russey La discothèque ne se fera pas Malgré l’accord de principe donné par la mairie, la boîte de nuit ne s’installera pas sur la zone des Butiques. Faute d’argent.

P résident de l’association depuis quelques mois, Gérard Mauvais est à la tête d’une équipe d’une quinzaine de bénévoles présents et motivés

les bénéficiaires. “Ils nous sont envoyés par les assistantes sociales par le biais du S.I.A.S. (syndicat intercommunal d’action sociale) ou du C.M.S. (centre

vieillesse “et quand ils doivent faire face à une grosse facture ou une charge importante, nous sommes là pour les aider.” Les jeunes et les familles ne sont pas épargnés par la crise…Mais attention, ici, on ne souhaite pas installer les gens dans l’assistanat longue durée. Au contraire. “D’abord, les bénéfi- ciaires paient 10% de la valeur des denrées qu’ils achètent, ce qui permet de les responsabiliser et cela reste un geste symbolique comme tout autre consomma- teur. Ensuite, notre aide est ponctuelle. Souvent de 1 à 6 mois. Et ils sont accompagnés avec un projet pour se sortir de leur sit- uation difficile.” Une approche concluante puisque rares sont ceux qui reviennent à l’épicerie sociale après un premier coup de pouce. Une éclaircie face à des chiffres qui inquiètent. L’association recherche de nouveaux bénévoles pour aller chercher la marchandise, la réceptionner ou accueillir le public. S’adresser au président

par cette action solidaire dont tout lemonde pour- rait un jour ou l’autre avoir besoin. “Nous recevons les produits de

médico-social), les deux entités à l’origine de la création de cette épicerie” souligne le président.

Un paiement symbolique.

Malheureusement, pas de crise en vue pour le petit cabas. “Le nombre de bénéficiaires a beau- coup augmenté passant sur une année de 90 à 130” déplore Gérard Mauvais qui constate la venue de nombreux retraités qui survivent avec le minimum

la Banque alimentaire. Une fois par mois pour les denrées sèch- es et chaque semaine pour ce qui est frais.” Outre les déplacements pour l’approvisionnement, il faut approvisionner ensuite ce mag- asin pas comme les autres puis y recevoir une fois par semaine

La zone des Butiques continuera à vivre exclusivement de jour…

L a commune n’avait plus eu de boîte de nuit depuis “La nuit des temps”. Au- delà de l’expression, c’était le nom de l’établissement basé au Russey il y a un quart de siècle

revenu. “Le conseil municipal avait donné son accord de principe” souligne le maire Gilles Robert qui avec l’accord du con- seil municipal avait réservé à cet entrepreneur une parcelle

“Les prêts ont été refusés et ce, uniquement à cause du type d’établissement et non pas à cause de la viabilité du projet qui était bien réelle” déplore l’initiateur désabusé face à l’attitude des banques et qui tient à ajouter : “On avait pour- tant la chance d’avoir à nos côtés une municipalité prête à nous accueillir.” Gilles Robert prend acte. La page est d’ores et déjà tournée et la parcelle qui aurait pu accueillir cette boîte de nuit est déjà sollicitée pour d’autres activités, diurnes celles-là.

déjà. Depuis, plus rien. Il a fallu aux jeunes du Plateau se déplac- er à Fuans, aux Fins et même plus loin.

à proximité de la caserne des pompiers. À l’époque dans nos colonnes, l’élu abordait sereinement une telle

“Les prêts ont été refusés.”

Alors, quand un entrepreneur s’est fait connaître lorsque la zone des Butiques est sortie de terre pour présenter son projet de boîte de nuit, l’espoir est

installation, suffisamment loin des habitations pour ne pas créer de nuisances. Tout était alors suspendu depuis deux ans aux financements…

Gérard Mauvais au 06 80 92 42 60

L’équipe de l’épicerie sociale est inquiète de voir le nombre de bénéficiaires croître de cette façon.

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