Journal C'est à Dire 171 - Novembre 2011

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V A L D E M O R T E A U

Humanitaire

Pauline Inglada, reine de l'accordéon Villers-le-Lac La jeune musicienne originaire de Villers-Le-Lac a remporté mi-novembre la coupe de France d'accordéon, en catégorie excellence. D epuis sa qualification obtenue lors du concours régional au printemps

“Un toit contre le cancer”, c’est possible

taines, au choix. C’est une nou- velle façon de donner. “En revanche, on souhaite que ce soient les enfants des écoles qui achè- tent les parpaings à 1 euro. Il faut 1 500 parpaings pour construi- re une maison” poursuit Pascal Roussel. Pour la construction du bâtiment, cet homme énergique a mobili- sé des entreprises duHaut-Doubs qui sont prêtes à jouer le jeu béné- volement. “C’est une façon de participer qui est différente des autres. On aide la recherche et tout en faisant le bonheur d’une famille. Pascal Roussel est incroyable” explique Thierry Sau- vanet, président de Réagir, qui a été blessé dans sa chair suite au décès de son fils Quentin, emporté par un cancer à l’âge de 6 ans et demi. Depuis, il s’investit sans relâche dans cette associa- tion pour faire avancer la recherche en versant des dons. La pose de la première pierre de la première maison est prévue fin juin à Sancey-le-Grand sur un terrain cédé pour 1 euro sym- bolique par la commune. “Elle se fera sous l’expertise de Maisons Optimal.” Pour fêter cela, Pas- cal Roussel prévoit un grand spectacle avec des concerts d’artistes d’une notoriété natio- nale. Catherine Laborde la mar- raine de l’association devrait fai- re le déplacement. C’est à Char- quemont que sera construite la seconde maison.

L’association Réagir donne un nouvel élan à la soli- darité. Pour récolter des dons pour la recherche, elle lance l’opération “Un toit contre le cancer”.

aujourd’hui, c’est le travail avec Béatrice mon professeur et les heures d’exercices qui m’ont permis de décrocher ce titre national” commente avec émo- tion la jeune musicienne de 17 ans. En interprétant “Perrigo de

La jeune étudiante va désor- mais se consacrer à ses études de médecine, même si son ins- trument effectue chaque semai- ne le voyage à Besançon : “C'est en musique que je peux me détendre et faire les pauses nécessaires dans mon travail. Et puis il est toujours agréable d’animer les réunions de famil- le ou les rencontres entre amis. Mon accordéon est un peu un compagnon fidèle” dit-elle. À noter que neuf élèves du Club des Sapins avaient décroché leurs qualifications pour les finales au printemps dernier, six jeunes musiciens ont pu fai- re le déplacement en région parisienne pour retrouver leurs homologues venus de toute la France.

dernier, l'élève de Béatrice Pugin (Club des Sapins à Morteau) n'a pas cessé de s'entraîner avec en ligne de mire, ce rendez-vous de novembre à Rungis où se

E nseptans,l’associationRéagir aversé150000eurosauPôle de recherche des cancers pédiatriques de l’Institut Curie à Paris. Cette somme est le fruit de la mobilisation des bénévoles qui organisent depuis 2004 des actions afinderécolterdesfonds. “Mais là, on change de vitesse” annonce Pascal Roussel, président d’honneur de Réagir. Il a eu l’idée de l’opération “un toit contre le cancer” qui prend forme. Le but est de construire partout en Fran- ce des maisons vendues 75 000 euros à des familles qui n’ont pas accès à la propriété compte tenu des niveaux de prix constatés sur le marché de l’immobilier. Le cas échéant, la

totalité des 75 000 euros sera reversée directement au pôle de recherche parisien. “L’objectif est de montrer comment on peut apporter notre pierre à l’édifice au sens propre du terme dans ce combat contre le cancer. Par ailleurs, l’aspect solidaire est double, puisqu’on permet à une famille d’accéder à la propriété” poursuit Pascal Roussel. L’originalité du dispositif est que tout le monde peut apporter sa pierre à l’édifice, quand il le sou- haite, en se connectant sur le site www.untoitcontrelecancer.fr Via Internet chacun peut acheter un des composants de la maison, des fondations à la faîtière, pour quelques euros ou plusieurs cen-

déroulait la finale de la Coupe de France, tro- phée A.P.H. Cette récompense vient cou- ronner 10 ans de pra- tique instrumentale

Segovie”, un paso-doble rythmé aux nombreuses difficultés, Pauline a montré sa dextérité et ses qualités face au jury composé de profession-

“De vraies réductions, jusqu’à 70 %.”

pour Pauline Inglada qui a pour- suivi sa formation musicale parallèlement aux études de médecine qu'elle a entamées à Besançon. “J’ai toujours vou- lu jouer de l’accordéon, mes parents ont bien voulu investir dans l’achat de l’instrument et

nels, cinq minutes de tension extrême pendant lesquelles la mémoire et la technique ne doivent pas être défaillantes. Elle a pu ainsi rapporter dans le Haut-Doubs le titre national dans la catégorie la plus éle- vée.

Pauline Inglada, la lauréate nationale, au côté de Béatrice Pugin du Club des Sapins.

Les maisons seront vendues 75 000 euros. La somme sera reversée en totalité à la recherche.

Le parc du couturier de l’automobile comprend une cinquantaine de voitures et utilitaires

Publi-information Gilbert Salvi, le couturier de l’automobile Vos désirs sont des réalités chez Gilbert Salvi Automobiles. Ce professionnel mettra tout en œuvre dans la recherche du véhicule qui vous correspond le mieux. Du sur-mesure.

rigoureusement sélectionnés et garantis.

Gare aux arnaques

sur Internet C omme tout le monde, Gil- bert Salvi reconnaît qu’il est tentant d’acheter une voiture sur Internet. Mais la vigilance s’impose. L’explosion des sites de vente en ligne n’est pas sans dérive. Mieux vaut se méfier des offres particulièrement allé- chantes et éviter de verser tout acompte sans avoir vu le véhi- cule en question. “On retrou- ve même nos voitures à vendre sur des sites à des prix très inférieurs aux nôtres.” La chas- se aux pigeons est toujours ouverte sur le web . Prudence.

G ilbert Salvi a plutôt réussi un joli coup médiatique en devenant “Le couturier de l’automobile qui vous offre l’heure” sur une radio locale. Le refrain a eu son petit effet. Personne ne reste indifférent. Ceux qui le connaissent le taquinent sur le ton de l’humour, ceux qui ne le connaissent pas encore s’interrogent sur le sens de la formu- le. Bref, c’est tout bénéfice. Lui s’en amuse et apprécie ce surcroît de notoriété qui le rend encore plus sympathique et compétent. Il partage plusieurs points communs avec le monde de la haute couture. D’abord le souci de la qualité irréprochable. Dans le commer- ce, on appelle ça la satisfaction client. Com- me le couturier qui déploie tout son savoir- faire dans le choix des tissus, Gilbert Salvi s’appuie sur 25 ans d’expérience pour trouver des produits sans vice caché. “On s’efforce de bien sélectionner dès le départ. On évite ain- si des frais de remise en état ou des retours sur garantie. Chaque véhicule mis en vente par nos soins fait systématiquement l’objet de contrôles rigoureux sur la mécanique, la car- rosserie. Les défauts ou les pannes sont répa- La société Gilbert Salvi Automobiles roule désormais au carburant familial depuis l’arrivée du fils Romain.

voitures et utilitaires exposés en permanence devant la société. Du prêt-à-porter au prêt-à- partir, il n’y a qu’un parc à visiter sans tarder au 21, rue Denis-Papin à Pontarlier. Les perfectionnistes branchés sur une marque, un modèle, une couleur, tel ou tel équipement et rien d’autre, opteront pour le service à la carte. “Les gens nous confient la recherche du véhicule et des options adéquates. On pas- se alors en mode personnalisé. C’est ce qu’on

appelle le sur-mesure.” La prestation s’applique également aux véhicules zéro kilomètre. Pour ce faire, Gilbert Salvi adhère à une centrale d’achat. “Grâce à ce réseau, nous proposons des prix très attractifs pouvant aller jusqu’à 40 % de remise.” La prestation ne s’arrête pas là puisqu’elle inclut la reprise du véhicule à remplacer. Chez Gilbert Salvi Automobiles, on a la remise et la reprise. Avec en prime l’assurance de pouvoir compter sur une société locale bien engagée sur la voie de la transmis- sion familiale. Romain Salvi, le fils, travaille en effet depuis un an aux côtés de son père. Bon sang ne saurait mentir.

rés par des opérateurs locaux. On s’appuie sur un réseau de fidèles partenaires. Nos clients ont droit aux formules de paiement existantes. La garantie peut s’étendre jusqu’à 60 mois sous conditions de financement” , indique Gil- bert Salvi. À chacun sa voiture, à chacun sa façon de fai- re chez Gilbert Salvi Automobiles. Les prag- matiques qui se décident sur le terrain trou- veront leur bonheur parmi la cinquantaine de

21, rue Denis-Papin - 25300 PONTARLIER Tél. : 03 81 46 79 78 Site : www.gilbertsalvi.fr

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