Journal C'est à Dire 149 - Novembre 2009

A G E N D A

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Livre Panique à la fromagerie L’auteur Jean-Claude Barbeaux immerge ses personnages dans l’impitoyable monde de l’agro-alimentaire. Comtois, rends-toi, nenni ma foi !

Études Supérieures Que faire après le Bac ? Le monde de l’enseignement supérieur ouvrira bientôt ses portes aux futurs bacheliers du Doubs (plus de 8 000 en 2009). Le 3 ème salon Stu- dyrama a lieu le 5 décembre à Besançon-Micropolis.

I l se passe des choses curieuses ducôtédesmontagnesduJura. À peine débarquée à Pontar- lier, pourquoi la bien jolie Marie- Ange Métella met-elle le grappin surun important responsable agri- cole ? Comment l’écrivain Albert Clapointre et le journalisteAdrien Monque en sont-ils venus à s’acharner sur la famille du sage Jules-César Boisguilbert, le pré- sident de la Rochante, une puis- sante union de coopératives ? Et cetAlexis Poicaut,que veut-il ? Lui qui, sous prétexte de vendre des

alimentspourlebétail, arpente la campagne en ébranlant les cer- titudes des coopéra- teurs ? À y regarder de plus près, cela ressemble à une vaste opéra-

Ce livre se lit comme un roman.

2 600 personnes avaient fréquenté le salon de l’orientation l’an dernier.

Q uellevoiechoisir:l’université, uneécole,uneformationen alternance, un cursus à l’étranger?Quelle forma- tionpourquelmétier?Quefaireaprès unBac+2:poursuivre ses études ou entrerdanslavieactive?Commentse réorienteraprèsuneannéed’échec?

tion de déstabilisation de la bel- le filière qui assure jour après jour la réussite du comté. Qui tire les ficelles de cette conspi- ration ? Ce livre se lit comme un roman : comment un géant de l’agro-ali- mentaire organise un complot, digne d’un épisode de “Mission impossible”, pour mettre la main sur la production du comté et comment tout cela échoue lamen- tablement… Derrière la farce, ce roman est aussi un prétexte pour raconter une certaine réalité.

L’espace d’une journée, ce salon donnera la possibilité aux futurs bacheliers et étudiants de décou- vrir de nombreux établissements, d’échanger avec les profession- nels et de se repérer parmi les milliers de formations existantes. “Le Salon des Études Supérieures

ou encore l’environnement, la plupart des disciplines seront présentées à Micropolis. Le der- nier salon, en 2008, avait atti- ré 2 600 visiteurs. 9 712 élèves étaient inscrits au Baccalauréat général cette année dans l’académie de Besançon, 89,9 % d’entre eux ont été admis. Studyrama Samedi 5 décembre, de 10 heures à 18 heures Besançon-Micropolis Entrée gratuite

Pour répondre à toutes les interrogations des jeunes en matière d’orientation supérieure, Studyrama organise la troisième édition du

de Besançon accueillera cette année une soixan- taine d’exposants : uni- versités, B.T.S., écoles de commerce et d’ingénieurs, écoles de métiers, C.F.A.

89,9 % de bacheliers cette année.

Salon des Études Supérieures de Besançon, le 5 décembre. L’Université de Besançon, la mai- rie de Besançon et le C.R.I.J. s’associent à l’événement.

(Centre de Formation d’Apprentis), I.U.T…” énumère l’organisation. Les sciences, les arts, le com- merce, la santé, l’informatique

Panique à la fromagerie Éditions Cabédita

Renseignements sur www.studyrama.com

Un complot local digne de “Mission impossible”.

Morteau

Venez découvrir

À l’image du Dalaï-lama, 250 000 Tibétains ont quitté leur pays occupé par la Chine depuis 1949. La plupart ont trouvé refu- ge au Népal et en Inde, notam- ment dans la province du Lada- kh considérée comme le petitTibet. “Ces exilés sont le plus souvent rassemblés dans de vastes camps. Comme ils ne bénéficient d’aucun statut, ils vivent dans des conditions plus que pré- caires” , explique Armelle Roy, acquise à la cause tibétaine au même titre que son mari Patrick Roy. Ils sont tous deux délégués régio- naux de l’association Aide à l’Enfance Tibétaine qui se mobi- lise pour venir en aide aux réfu- constitue d’abord l’opportunité de se familiariser avec l’histoire de ce peuple, ses traditions, les conditions de vie dans les camps de réfugiés… “On va présen- ter une centaine de photogra- phies.” Images d’enfants, de pay- sages, de cérémonies ou encore de courses de chevaux très pri- sées par ce peuple nomade, tous les clichés feront l’objet de com- mentaires. L’association expo- sera aussi des ustensiles de la vie quotidienne, des instruments de musique. “Comme on se rap- proche de Noël, on proposera à la vente un peu d’artisanat” , conclut Armelle Roy. Le Tibet, un peuple, une cause, une exposition L’association Aide à l’Enfance Tibétaine organise les 28 et 29 novembre au château Pertusier une exposition de photographies et d’objets artisanaux. Entrée libre. Expo “Aide à l’Enfance Tibétaine” 28 et 29 novembre Château Pertusier à Morteau giés tibétains. “On agit dans plusieurs domaines. L’action prioritaire consiste à parrainer des enfants ou des adultes qui n’ont pas les moyens d’accéder aux soins, à la scolarité. L’objet est de leur apporter une aide sans pour autant tomber dans l’assistanat. On n’intervient plus par exemple quand une famille retrouve les moyens de vivre cor- rectement.” Les fonds récoltés par l’association servent à finan- cer toutes sortes de projets : creusement de puits d’alimentation en eau potable, mise en place des clôtures autour des camps contre les incursions d’éléphants… L’exposition présentée fin novembre au château Pertusier

la nouvelle C3

et le reste de la gamme lors de nos

GARAGE BIZE 19, rue Payot - 25500 MORTEAU Tél. 03 81 67 00 16 e-mail : garage.bize@wanadoo.fr PORTES OUVERTES DU 28 ET 29 NOVEMBRE !

Le nomadisme fait partie intégrante de la culture tibétaine.

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