Journal C'est à Dire 109 - Mars 2006

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P L A T E A U D E M A Î C H E

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Le “Franch’Country” délocalisé à Besançon De Trévillers, le Franch’Country devrait être délocalisé à Besançon-Micropolis. Des contacts sont en cours entre un représentant du comité d’organisation du festival et la direction du parc des expositions. Maîche

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L’ avenir du Fran- ch’Country semble passer aujourd’hui par sa délocalisa- tion. Il est probable qu’il quitte Trévillers, non pas pour se dérouler dans différentes communes du Plateau de Maîche comme cela avait été dit, mais pour Micropolis à Besançon ! Un représentant du comité d’orga- nisation du festival de musique country s’est rapproché de la direction du parc des expositions de la capitale régionale. “Cette personne est venue nous voir, pour nous demander si nous pou- vions accueillir le Fran- ch’Country” précise Jean-Louis tique, l’organisation du festi- val sur ce site ne pose aucun pro- blème. “Nous disposons d’un espace vert pour recevoir les visi- teurs à cheval, d’un restaurant, d’un hall avec des gradins per- manents pour les animations équestres” et évidemment d’une salle de concert. Le choix de Besançon se révèle économique pour les organisa- teurs du Franch’Country. Selon Jean-Louis Tissot, l’option Micro- polis engendrera des frais de Tissot, le directeur de Micropolis qui s’ap- prête à remettre un devis à son interlocu- teur. A priori , d’un point de vue logis-

logistique deux fois moins éle- vés qu’ils ne l’étaient jusqu’à pré- sent à Trévillers où il fallait notamment louer les chapiteaux. L’organisation évite aussi le risque de subir les effets d’une météo désastreuse pour un évé- nement en plein air et les béné- voles seront alors moins solli- cités. “En revanche, le fait de venir à Besançon ne diminue pas le coût des artistes, ni ceux de la communication pour promou- voir la manifestation.” La direction de Micropolis est prête à ouvrir ses portes aux Franch’Country qui n’est pas encore sorti du mauvais pas financier dans lequel il se trou- nons en charge la restauration et que nous avons besoin de consommables, nous pouvons col- laborer en priorité avec les anciens fournisseurs du Franch’Coun- try” termine Jean-Louis Tissot. Dans ce scénario, le festival sera toujours programmé au mois d’août. Son nom ne changera pas ou presque, puisqu’il s’appelle- rait “Franch’Country in Micro- polis” et non plus “in Trévillers.” Une question n’est cependant pas réglée : “Il faut être sûr que ve. La direction est prête à aller jusqu’à travailler avec des créanciers du festival qui courent après leur argent. “Si nous pre-

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“Venir à Besan- çon ne diminue pas le coût des artistes.”

Maîche : les bars devront fermer plus tôt

Selon Jean-Louis Tissot, directeur de Micropolis, la survie du Franch’ Country Festival passe par une délocalisation.

J usque-là, la mairie de Maîche distribuait assez facilement des autorisations d’ou- verture tardive aux bars de la ville. Toute les semaines, au moins un café avait le droit de tirer le rideau à 3 heures du matin au lieu d’une heure pour un concert. Cet- te époque est révolue. Invoquant le bruit et la consommation d’alcool qui ont des “répercussions sur la vie de la cité” , le conseil muncipal vient de voter à l’unanimité la limitation des fermetures tardives des débits de boisson. Désormais, une autorisation par mois

et pour un seul bar sera donnée. Cette mesure indigne les cafetiers de la place, dont certains estiment que cette décision “pri- ve une fois de plus la jeunesse de Maîche d’animation. C’est vrai que les concerts génèrent du bruit. Mais si on nous inter- dit de faire cela, il ne se passera plus rien sur le Plateau” déplore l’un deux. Qu’importe, la décision est prise, mais des négociations sont en cours entre la muni- cipalité et les cafetiers. T.C.

le transfert du festival est réa- liste. Nous ne sommes pas cer- tain que le public vienne à Besan- çon.” Les interrogations sont aussi pour le Haut-Doubs qui est en passe de perdre une de ses mani- festations culturelles des plus importantes de l’été au bénéfi- ce de la capitale régionale dès cette année.

“Il ne se passera plus rien sur le Plateau.”

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