Journal C'est à Dire 107 - Janvier 2006

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R E T O U R S U R I N F O

La rue de la Diligence n’est quand même pas une autoroute

ÉDITORIAL

L’actualité bouge, les dossiers évoluent. C’est à dire revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”. “I l y a 80% de chances pour que le Fran- ch’Country ait lieu en 2006.” Éric Murat, l’organisateur de ce qui est devenu un évé- nement musical incontournable dans le Haut-Doubs, est main- tenant optimiste. Pourtant, le fes- tival de Trévillers n’est pas enco- re sorti de la mauvaise passe financière dans laquelle il se trou- ve. Il manque encore 120 000 euros pour remettre les comptes à flot. Mais l’appel lancé aux col- lectivités, aux partenaires privés et aux particuliers un peu par- tout en France et à l’étranger sous forme de souscription, don- ne bon espoir à toute l’équipe du Franch’Country Festival de parvenir à passer ce cap diffi-

Impulsion Lentement, discrètement, le Haut- Doubs dit “horloger” a opéré sa mutation industrielle. S’il reste sur son sol quelques fleurons de l’horlogerie qui ont su résister au raz-de-marée suisse et asiatique, la plupart des entreprises se sont reconverties, sur la base de leur savoir-faire horloger, dans des domaines très diversifiés, s’ap- puyant sur le socle qui a fait la réputation de la région : le tra- vail minutieux, la précision du geste au service d’un domaine d’activité, la microtechnique. Vou- lant accompagner l’évolution de l’économie locale, le syndicat mixte du Pays Horloger a récem- ment commandé une étude pour tenter d’appréhender les forces et les faiblesses du tissu indus- triel local dans les filières du luxe et de la finition soignée. Première surprise de l’étude : plus de 120 entreprises installées entre Mor- teau et Saint-Hippolyte travaillent dans ce domaine d’activité. À elles seules, elles totalisent plus de 25% de l’emploi total de la zone. Selon l’anglicisme appro- prié, le Pays Horloger répond à une véritable logique de clus- ter , c’est-à-dire un regroupement d’entreprises travaillant dans le même secteur d’activité et ins- tallées sur un territoire délimi- té. Ces constats dressés, il appar- tient aujourd’hui aux industriels locaux de prendre conscience de la force collective que repré- sente cette formidable concen- tration de forces, dans un domai- ne - le luxe - qui est certaine- ment un des seuls qui sachent résister à la récession. Cette étu- de stratégique a été financée par une entité politique, le Pays Hor- loger. Voici l’illustration sans dou- te parfaite du rôle que doit jouer ce genre d’institutions dont on a parfois douté de l’utilité : celui d’incitateur, de facilitateur, d’im- pulsion. Maintenant, il faut que cette initiative soit suivie d’actes : cela doit se traduire par le lan- cement d’une dynamique col- lective entre les entreprises concernées, qui passe entre autres idées, par un centre de recherche et développement commun ou encore des actions concertées en matière de pros- pection commerciale, etc. Pour cela, il est nécessaire que les entreprises locales ne répètent pas l’erreur commise il y a tren- te ans quand elles ont joué au jeu mortel du chacun pour soi. ■

“I l n’y a pas de contre-indica- tion, c’est une rue comme les autres” confirme la gendar- merie de Morteau. Cette affirmation ne met pas de l’eau au moulin des habitants de la rue de la Diligence aux Fins qui se plaignent, pétition à l’appui, de la circulation trop inten- sive à cet endroit. Ils déplorent que cette rue soit empruntée à l’excès par des automobilistes qui n’ont pas à la prendre car ils ne sont pas rive- rains du lotissement. Le problème est que la tentation est forte pour les chauffeurs de gagner du temps en passant par la rue de Diligence qu’ils considèrent comme une alternative à la côte des Fins où ils pourraient être retardés, par exemple, par la pré- sence d’un camion. En passant par cette rue qui se situe entre le gara- ge Mougin et le lieu-dit Sous-la-Roche, ils ont la certitude d’éviter les poids lourds. Aujourd’hui, quoi qu’on en dise, aucun panneau, aucune réglementation n’in- terdit les automobilistes de procéder ainsi. Pour autant, cela ne les dis-

pense pas de respecter les limi- tations de vitesse dans le lotis- sement. Dans son numéro de décembre, le journal C’est à dire s’est fait l’écho de ce dossier. En réaction, la rédaction a reçu le courrier d’André Jay, habitant de la rue de la Diligence. Il parle d’un “réel problème de circu- lation” et estime que le “quar- tier a perdu, du fait de ce tra- fic “externe”, son caractère rési- dentiel. Les conséquences en sont la perte de sécurité, la per- te de tranquillité, la pollution de l’air croissante et le risque certain de diminution de la valeur immobilière des biens.” Il a estimé également que la rédaction faisait “preuve d’in- civilité en publiant que les conducteurs extérieurs au lotissement sont dans leur bon droit en empruntant la rue de la Diligence où aucun panneau n’interdit la circu- lation extérieure.” Et pour- tant, c’est le cas. ■

VAL DE MORTEAU

La sécurité routière en question rue de la Diligence Des riverains de la rue s’insurgent contre le traficdevéhiculesà cetendroit du village qui sert de raccourci aux automobilistes qui veulent éviter les ralentissements au centre des Fins. Les Fins

En bref

Orduresménagè Sur lePlateau deMaî coûtglobalde collecte tementdesdéchetsde l munautédeCommunes teauMaîchois passe d million d’euros en 200 93,8 euros par habita moyenne, à 1,12million ros en 2005 soit 104,3 par habitant.Cette aug tationestdueà lahauss coûtsde traitement. Loto Le comitédes fêtesdes tenellesorganisesonsuper à lasalledu lycéeagricolesa di 26 novembre 2005 à p de20heures.Denombreux l sontàgagnercommeunvo ge pour deux personnes laCostaBrava, une télévisi de55cm,un lecteurD.V.D., home cinéma,produits régi naux, appareilsménagers des bons d’achat.Une parti des recettesseraverséeà l’a sociation “Semons l’Espoir.” Cinéma Dans lecadreducycleconnais- sancedumonde, le film“Cana- da :deTerreNeuveàVancou- verseraprojetéaucinéma l’Ata- lante àMorteau le lundi 12 décembre à20h30.

D ébutnovembre, les élus de la com- mission voirie de lamunicipalitédes Fins se sontdépla- cés ruede laDiligence.L’objet de la visite était d’envisager des aménagements sur la chausséepour réduire lavites- se des automobilistes à cet endroit du village. C’est une demande des riverains. Lors du dernier conseilmunicipal d’octobre, une trentaine d’ha- bitants de la rue s’est présen- téeà l’assembléepourdire son “ras-le-bol” faceau traficobser- védans le lotissementde “véhi- cules qui n’ont rien à y faire” indique un riverain. Le 11novembre,unepersonnedu quartier estmême allée jus- qu’àappelerEurope1pour fai- re part de son indignation et demanderàun spécialiste juri- diquedansquelle “mesure elle pouvait créer une association afin de faire pression.” Car la rue de laDiligence est

un raccourci trèsprisédesauto- mobilistes qui viennent de Besançon.EnarrivantauxFins, ils quittent laR.D. 461, s’en- gouffrent dans le lotissement par laruede laDiligence (àhau- teurdugarageMougin)et res- sortent plus bas, sur la dépar- tementale au lieu-dit Sous-la- Roche. Ilsévitentainsiunepar- tiede la côtedesFinsetne ron- gentpas leur freinderrièreun éventuel camion qui pourrait lesgênerdans leurprogression. En roulant assez vite, ils ont aussi le sentiment de gagner du temps.La circulation s’est accentuéependant les travaux dans la côte desFins. “Le but estdoncde créerdes obstacles” indique lamunicipalité pour que cesautomobilistes repren- nent de bonnes habitudes en passantpar laR.D.461.Pour- tant, les conducteurs sontdans leurdroitenempruntant la rue de laDiligence où aucun pan- neau n’interdit la circulation aux personnes extérieures au

La circulation estdenseauxheuresdepointe ruede laDiligence.

lotissement. Cela ne veut pas dire que la situation n’est pas source de danger. “C’est vrai ça circule beaucoup, surtout lematinaux heures de pointes, à 6heures, quand les frontaliers partent

au travail.Après, il faut tout demême dire que la circula- tion s’estompe.Je croisqu’ilne faut pas exagérernon plus.Et de toute façon, on ne peut pas mettre un gendarme derrière chaque automobiliste” tempè-

re une habitante. Des travaux devraient cepen- dant être réalisés etune com- missiondequartier sera créée. Elle servira d’intermédiaire avec la collectivité. O T.C.

Loto Le28novembre,à20h30, l’as- sociation de la Jeanne d’Arc organiseson traditionnel lotoà la salledes fêtesdeMaîche.

P U B L I - I N F O R M A T I O N Goûtez au bio par nature

Le Haut-Doubs préserve son dynamisme Le nombre d’autorisations de construire dans le département du Doubs et en particulier dans le Haut-Doubs reste très dynamique. Logement

Santé, beauté, bien-être, lemagasin “NouvelleNature” vous inviteàdécou- vrir un ensemble de produits bios qui améliorent la qualité de vie.

NOUVELLENATURE tous lesproduits biologiques santé, beauté,bien-être 7, ruede laGare MORTEAU Tél./Fax :0381672298

L a direction départementale de l’équipe- mentvientdepublier lesderniers chiffres concernant lesautorisationsde construi- re enFranche-Comté.Dans ledépartementdu Doubs en 2005, par rapport au troisième tri-

“N ouvelle Nature” à Morteauestunpeu le magasin de “la qualitédevie.” C’est en toutcascommecelaque ledéfi- nissent ses gérantsChristophe et ValentineDrezet.Situé7, ruede la GareàMorteau,cetteenseignene proposeàsaclientèlequedespro- et sont cultivés ou fabriquésdans le respectde l’environnementetde la personne. Derrièrecetteenseignequi tient sa placedans lepaysagecommercial local, se dégage finalement une certaine sérénité.Onpasse lapor- te de “NouvelleNature” soit par sensibilité pour le bio, soit pour duitsbiosausensnobledu terme.C’est-à-dire qu’ils ne représentent pas d’agressivitépour l’homme

risé est supérieur à 20%. LeDoubsn’apasd’équivalentpar rapportaux autresdépartements franc-comtois.Parexemple dans le Jura en 2005, la direction de l’équipe- ment a relevé une stabilité par rapport aux

acheterdesproduitsqu’onne trou- ve pas dans les commerces clas- siques.Onvientégalement icipour l’accueil et le conseil, deux élé- ments essentiels pourChristophe Drezet. Dans les rayons de cette épicerie sont présentés tous les articles nécessaires à la consommation courante.Eneffet, lemagasins’ar- ticuleautourde trois thématiques. Tout d’abord l’alimentation géné- rale “avecdesproduits fraisetsecs.” Il y a du pain (il est livré deux fois par semaine), des fruits, des légumes, du vin, du fromage, du lait, des surgelés, des huiles, des pâtes,du thé,des tisanes,des jus “On vient ici pour l’accueil, le conseil et le libre service.”

mestre 2004, la tendance est en “nette amélioration aussi bien dans le logement indivi-

“Netteaméliorationdans le logement individuel.”

autorisationsde construire.Par contre, dans le détail, les ser- vicesadministratifs remarquent

de fruits, des céréales.Du petit- déjeunerausouper, “NouvelleNatu- re” vend tous les ingrédients d’un bon repas équilibré tout en bio. La secondepartiedumagasin est

duel (+40%) que collectif (+78,7%)” précise la D.D.E.Laprogression est également constatée au niveau desmises en chantier. Ces chiffres confirment que lemarchéde l’im- mobiliera toujours leventenpoupedansnotre département.Une foisdeplus, le secteur leplus dynamique est la bande frontalière ainsi que les secteurs deMontbéliard et deBesançon. Dans ces zones, lenombre de logements auto-

que le secteurdu logement collectif est enbais- se de - 27,3%, alors que le secteur individuel augmente de 19%.Même constat dans leTer- ritoire-de-Belfort, oùmalgré une hausse de 38,5%dans l’individuel, “c’estun reculde14,5% des autorisations de construire qui est enre- gistréau3 ème trimestre2005par rapportà2005.” Cette baisse est également constatée en ryth- me annuel de l’ordre de - 25%. O

réservée à la naturopathie. C’est de lamédecine natu- relle à base de plantes et d’huiles essentielles.C’est aussidescomplémentsnutri-

tionnels.ChristopheDrezet a une quinzaine d’années d’expérience en naturopathie. L’objet principal de sa démarche est d’abord de prendre le tempsd’écouter lepatient pour l’orienter ensuite sur un pro- duitquicorrespondà sesbesoins. Le troisième volet de ce commer- ce est le produit de beauté et de bien-être. “Çavade la teinturepour lescheveuxàunensembledepro- duitscosmétiques,enpassantpar lesgels-douche.Touscesproduits sont fabriqués leplusnaturellement possible” poursuitValentine.Àcela s’ajouteuncertainnombredepro- duits d’entretien de lamaison.

Pour satisfaire le client et garantir la qualité des produits, “Nouvelle Nature” travailleavecunensemble deproducteursbiosqui respectent le cycle des saisons et n’utilisent pasdeproduitsadditifsdans lacul- ture.À l’arrivée,c’est l’assiettequi a du goût. O

“Nouvelle Nature” s’étend sur 100m 2 .

Lenombrede logements individuels est encore enaugmentationdans leDoubs.

Téléthon : une mobilisation toujours plus forte

Le Franch’Country n’a pas dit son dernier mot

cile. “Nous ne baissons pas les bras. Le festival a sa place. Nous n’avons pas non plus travaillé pendant huit ans pour monter cette animation, pour que tout s’arrête. On se bat.” Les 15 premiers jours de janvier seront décisifs. Éric Murat va reprendre son bâton de pèlerin pour aller frapper en priorité à la porte du Conseil général et du Conseil régional dans le but d’ob- tenir des garanties financières. “Je compte voir des élus. Sachant que la S.A.C.E.M. est derrière nous pour nous soutenir, c’est déjà une aide précieuse. Le Cré- dit Mutuel, qui est la banque du Franch’Country, est lui aus- si toujours là” confirme l’organi- sateur.

Pour le mois de février, une mani- festation de soutien est en pré- paration. La date n’est pas enco- re arrêtée, mais plusieurs groupes de country music auraient d’ores et déjà répondu présent à une action de mobilisation destinée à sauver le festival. L’avenir de ce rendez-vous cul- turel se dessine encore en poin- tillés. Mais l’enthousiasme et l’éner- gie déployés par l’équipe d’orga- nisation laisse à penser que l’édi- tion 2006 devrait avoir lieu. En tout cas, il n’est pas trop tard pour y croire encore. Éric Murat a désor- mais suffisamment de contacts dans le monde du spectacle pour parvenir à mettre au point un pro- gramme étonnant. ■

DOSSIER

13 Téléthon 2005 : le Haut-Doubs dans le coup

Jamaisunemanifestationn’adéclenchéune tellemobi- lisation dans le Haut-Doubs. Le Téléthon est devenu incontournable. Chaque année à lamême époque des bénévoles se mobilisent, les associations collaborent ensemble, les communes se serrent les coudes. Le temps d’un week-end, les querelles de clocher tombent pour servir cette grande fêtenationalequ’estdevenu le Télé- thon.Toutestmisenœuvrepour collecterunmaximum de dons tout en faisant la fête. C’est unemanière sou- riante d’être solidaire. Car derrière les sommes collec- tées, ce jour-là ce sont des chercheurs qui disposent demoyens financierset techniquespour travailleretdes malades atteints de myopathie qui espèrent. La dyna- miquemise en place par l’A.F.M. (l’association françai- se de lutte contre les myopathies) a trouvé un écho auprès de la population. Dans le Haut-Doubs plus qu’ailleurs et en particulier dans le Val de Morteau où depuis 1996, année du Téléthon télévisé à Morteau, cetévénementestdevenuunphénomène. Ici, çamarche ! Tous les ansun villageprend le relaisde l’organisation de la fête.Cette fois-ci, c’est au tourde la communedes Fins de sortir le grand jeu. Cette édition s’annonce aussi prometteuse que les précédentes.

Le Val de Morteau face au Téléthon Le Téléthon est devenu un événement incontournable dans le Haut-Doubs. Le 2 et 3 décembre, la fête battra son plein aux Fins. Événement

L e Val deMorteau ne désa- morce pas! Ici, le Téléthon déclenche toujoursune joyeu- se ferveur populaire. Cet engagementdeshabitants,desasso- ciations et des

Téléthon soientmontés dans chaque canton duHaut-Doubs” commente PierreVaufrey. Avec une tellemobilisation, aussi pérennedans le temps, leValdeMor- teauestunca d’é l d l

vaillé.” Dans leHaut-Doubs, leTéléthon est devenu une aventure humaine qui requiert à la fois l’adhésion dumon- deassociatif etdescollectivités Pour

conviviale où s’enchaînent les ani- mationsestundesprincipauxmoteurs du Téléthon. Et si en plus, s’amu- ser conduità lagénérosité,alors c’est encore i !

déjàdes inscriptionspour2007 et2008. Villers-le-Lac etMontlebonattendent à leur tour d’être village Téléthon.” Lamécaniqueestbienhuilée l’en

L e Haut-Doubs n’a pas failli à sa réputation ! La mobi- lisation pour le Téléthon est restée intacte. Elle s’est même accentuée, en particulier dans le Val de Morteau où c’était au tour des Fins d’accueillir le vil- lage Téléthon. Le premier bilan se conclut par un satisfecit géné- ral. Car à cette occasion, selon Pierre Vaufrey, coordinateur départemental de l’opération, “61 000 euros ont été collectés a minima . C’est super, comp- te tenu des charges supplé- mentaires qui sont venues se greffer aux Fins puisqu’il a fal- lu notamment chauffer le cha- piteau” dit-il. C’est mieux que l’année précédente. Au fil des éditions, les habitants du sec- teur semblent de plus en plus généreux. Pour Maîche, Pontarlier et le vil- lage Téléthon de Gilley très ani- mé, les comptes ne sont pas encore arrêtés. Mais il est pro-

bable que là aussi, les résultats soient étonnants. Ce dynamisme des associa- tions, des bénévoles et du public en général, témoigné pour cet- te fête de la solidarité apporte de l’eau au moulin de Morteau qui espère être centre de pro- messe télévisé en 2006 com- me en 1996. La ville a déposé sa candidature en ce sens. Mal- heureusement, l’A.F.M. et Fran- ce 2 ne tiennent pas seulement compte de “l’engouement. C’est un bon argument mais il ne suf- fit pas” ajoute Pierre Vaufrey. Il reste à proposer un thème qui donne à voir à l’ensemble des téléspectateurs. Le thème rete- nu sera “le bois à travers le siècle, de 1900 à 2006.” Tout se passerait à Morteau ou cha- cun des huit villages de la com- munauté de communes racon- tera une partie de l’histoire à partir de costumes et de musique d’époque. ■

Jean-François Hauser

est édité par “C.H.T. Diffusion” 5 bis, Grande Rue B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 et de la rédaction : Jean-François HAUSER Direction commerciale : Éric TOURNOUX et Éric CUENOT Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction : Thomas Comte, Frédéric Cartaud, Solène Davesne, Jean-François Hauser. Ont collaboré à ce numéro : Jean-Marie Steyner (mots fléchés) E-mail : publipresse@wanadoo.fr Directeur de la publication

Imprimé à I.P.S. - ISSN : 1275-8825 Dépôt légal : Janvier 2006

Crédits photos : C’est à dire, Anim’15, Anita Bailly, Jean-Michel Blanchot, Citystars, Gaspachos, Claude Jacquard, Didier Jacquot, mairie des Gras.

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