Journal C'est à Dire 104 - Octobre 2005

36

A G E N D A

Rétrospective sur le cinéma d’auteur indien Le 16 ème festival du Film de Morteau, organisé par le cinéma l’Atalante, se déroule du 26 octobre au 5 novembre au théâtre. Une trentaine de projections pour décou- vrir ou redécouvrir les cinémas de l’Inde et du sous-continent indien. Morteau

Quand Georges Oudot rencontre Paul Decrind Les œuvres du sculpteur bisontin et du peintre originaire de Maîche, tous deux disparus, sont réunies pour la première fois. Sur le thème de “la femme”. À voir à Maîche, dans le cadre du centenaire du Rotary. Maîche

D estination dans l’air du temps, l’Inde est actuellement à la mode. Comme à son habitude, l’équipe de l’Atalan- te plus que jamais fidèle au ciné- ma d’auteur a défini une pro- grammation adéquate. “Le ciné- ma indien qui nous intéresse, je veux dire, le cinéma d’auteur, a toujours cheminé à la marge du cinéma commercial et continue de mériter son nom de cinéma parallèle ou indépendant” , explique Pascal Binétruy de l’équipe de programmation. Plutôt qu’un voyage à la ren- contre des cinéastes indiens des années 60-70, la rétrospective

proposée se veut plus contem- poraine en se fixant comme point de départ l’année 1992 qui coïn- cide avec la mort du grand réa- lisateur Satyajit Ray. Ce périple cinématographique intègre une trentaine de projections de films dont la diffusion dans les salles

sement de clichés culturels et exotiques sur fond de roman- ce ou de mélodrame. Une place de choix est donc accordée aux films plus per- sonnels montrant un tout autre visage de la société indienne. “Nous y avons ajouté des films

L e Rotary International fête son 100 ème anniver- saire cette année. Pour fêter l’événement, le Rotary-club du comté de Maîche met sur pied une exposition inédi- te qui regroupera les œuvres de deux artistes Francs-Comtois disparus : Georges Oudot et Paul Decrind. On connaît certainement mieux le premier, le second est moins médiatique. Pourtant, Paul Decrind est un enfant du pays. Né à Maîche en 1916, il est pas- sionné de dessin dès l’enfance. Son père, très musicien, lui fait découvrir la peinture au musée de Besançon. Il a 10 ans. À 13 ans, il peint ses premières toiles marquantes. Après la guerre et un interminable service mili- taire, il s’engage à fond dans sa passion qui l’amènera à visi- ter les plus grands musées d’Eu-

françaises reste trop souvent confidentiel- le, victime d’une impa- rable logique com- merciale. L’occasion était donc appropriée de prendre le contre-

venus du Pakistan, du Bangladesh et surtout du Sri Lanka dont les cinémas méritent d’être découverts.” Collabo- rateur aux cahiers du Cinéma depuis 1979,

Repas indien servi à 21 h 15

à la salle des fêtes.

pied de cette tendance sans pour autant ignorer le phénomène dominant Bollywood, lequel se limite trop souvent au ressas-

connaissant particulièrement bien le cinéma asiatique, Charles Tesson sera présent les samedi 29 et dimanche 30 octobre. Nul doute que son regard avisé sur le cinéma indien d’aujourd’hui en facilite la compréhension. La soirée de clôture débutera le samedi soir à partir de 20 heures avec la remise du prix du “Jury lycéen” suivi du spectacle “L’arbre en fleurs”. Les festi- valiers pourront ensuite prendre part au repas indien servi à 21 h 15 à la salle des fêtes. Pen- dant toute la durée du festival, une exposition de la photographe Louise Gunnell sur le thème “Artisans de la musique en Inde” sera présentée dans le hall du théâtre. O

Exposition visible du 29 octobre au 1 er novembre à Maîche.

qui le conduira aussi à Colliou- re, à Bordeaux, à Belle-Île, ou en Espagne, source de nom-

“La réunion de ces artistes est une première, noteAlain Bertin, président du Rotary-club du com- té de Maîche. Tous les bénéfices de l’exposition seront destinés à aider Mélinda, une jeune fille de Charquemont atteinte d’une maladie rare.” Une quinzaine de sculptures d’Oudot et une trentaine de toiles de Decrind seront exposées à la salle de l’Union de Maîche. O

rope. Puis il a peint et dessiné le Paris de la rue, des instants de vie témoins de son époque. L’attrait important

breuses compositions. La fréquentation du cirque fait aussi par- tie de ses grandes émotions, soit le Cirque d’Hiver à Paris

“La réunion de ces artistes est une première.”

Réservations nécessaires pour le spectacle et le repas au 03 81 67 04 25

pour sa région d’origine fait qu’il établira son atelier à Maîche, tout en gardant son esprit curieux

où il était un fidèle, soit les petits cirques itinérants d’où il rap- portait une moisson de croquis.

Le cinéma indien, et plus largement sri-lankais, pakistanais et bangali, à l’honneur à Morteau.

P U B L I - R E P O R T A G E Personnaliser votre communication PAR L’OBJET Quelque peu délaissé au profit d’autres médias promotionnels, l’objet retrouve la place qui était la sienne

P iocher dans un cata- logue un modèle de tee-shirt ou de cas- quette pour y imprimer tel ou tel logo, messa- ge, slogan est à la portée de tout publicitaire, voire d’un internau- te un tant soit peu débrouillard. L’exercice prend une tout autre encore franchement à désirer question originalité. Exploiter toutes les potentialités de la communication par l’objet, c’est justement la spécialité de l’agence Axe Impact qui est installée à Pontarlier. avant l’avènement des nouvelles technologies. Si ce support revient aujourd’hui au premier plan, son utilisation laisse

Chaque famille s’étend des articles les plus basiques aux plus tech- niques ou raffinés. Tee-shirts, cas- quettes, vestes, polos, habits de travail, linges, cravates pour ne citer que quelques exemples tex- tiles. Post-it, jeux de cartes, sous- bocks, classeurs, sacs papier et autres cousins de la catégorie imprimés. Stylos, briquets, para- pluies, boîtes d’allumettes, baga- gerie, clefs U.S.B., accessoires de téléphonie, appareils numériques, la liste des objets pouvant valo- riser l’image d’une entreprise n’a de limite que celle qu’on veut bien lui fixer. La force d’Axe Impact réside dans sa capacité à créer des produits sur mesure, hors des créneaux standards tout en restant compé- titif sur le plan qualité-prix. Quoi de plus percutant pour un dirigeant que d’associer l’image de sa socié- té à une marque de prestige mon- dialement connue ? C’est tout à fait possible chez Axe Impact qui DES PRODUITS SUR MESURE.

tournure dès qu’il s’agit de trou- ver, de concevoir, d’imaginer, de produire en petite ou grande série des objets publicitaires originaux, simples ou très élaborés suscep- tibles d’apporter ce regain de noto- riété qui fera toute la différence. “Comme il n’y avait pas d’agence spécialisée dans ce domaine sur le Haut-Doubs, j’ai décidé de m’im- planter à Pontarlier” , justifie Fré- déric Deleule. Avec dix années d’expérience, le gérant de cette nouvelle agence

maîtrise toutes les facettes de la communication, notamment par l’objet. Axe Impact propose à ses clients

Vous recherchez des objets publicitaires originaux et personnalisés ? Axe Impact, l’agence gérée par Frédéric Deleule, saura vous proposer des solutions adaptées à vos attentes.

une prestation complète intégrant conseil, accompagnement mar- keting, rapidité d’exécution autour de 3 supports : textiles, objets et imprimés.

cadeaux de fin d’année offerts au personnel ou à la clientèle.” Fonc- tionnant en partenariat avec une agence similaire intervenant sur toute la Suisse romande, Axe Impact couvre ainsi tout le mar- ché de distribution européen et suisse. De quoi éviter bien des tra- casseries douanières et admi- nistratives pour des sociétés pré- sentes des deux côtés de la fron- tière. O

travaille avec des licences de dis- tribution l’autorisant à agir de la sorte. “On peut pousser la réflexion beaucoup plus loin en se posi- tionnant comme l’interlocuteur pri- vilégié, garant de l’image d’une entreprise sur tous ses supports visuels. La démarche s’étend de la personnalisation des habits de travail à la conception de produits de sponsoring en passant par tous les objets de stimulation et autres

Made with FlippingBook - Online Brochure Maker